Tu aimes la musique par dessus tout et je regrette de tout mon cœur de n'être pas comme toi. Il y a bien des choses que j'aime tout autant... J'aime l'art dans son ensemble, dans la vision de tous les arts réunis... [...] Je n'ai jamais ressenti [...] une émotion intérieure en écoutant une œuvre symphonique [...] même de Beethoven, même de Mozart. Je ne suis ému qu'au théâtre, ou lorsqu'il y a des paroles. [...] devant une oeuvre instrumentale je n'éprouve que de l'admiration, mai je ne m'y mêle pas. Une phrase musicale me charme et me ravit mais ne m'émeut jamais : il n'y a que les sentiments qui m'émeuvent.
Reynaldo Hahn au pianiste édouard Rissler
Chanson d'avril (Bizet / Bouilhet). Reynaldo Hahn, s'accompagnant au piano (Columbia D 2021, 1928)
Né à Caracas, le 9 août 1875 ; mort à Paris le 28 janvier 1947.
Sa mère est issue d'une famille espagnole installée au Vénézuela depuis le xviiie siècle, son père, Carlos Hahn, commerçant, Né àHambourg a immigré jeune au Vénézuela. La famille vit dans une grande aisance.
Reynaldo est le plus jeune de 12 enfant, il a trois ou quatre ans quand ses parents s'installent à Paris en 1878, 6 rue du Cirque.
En 1883, il publie chez Delanchy à Paris L'inspiration, une valse pour le piano.
Il entre au Conservatoire en octobre 1885. Il suit les classes de Grandjany pour le solfège, de Descombes pour le piano, puis à partir de 1887, celles de Théodore Dubois et de Lavignac pour l'harmonie, de Massenet, comme élève privé, pour la composition.
Il obtient une troisième médaille de piano en 1888. Il effectue plusieurs voyages en Allemagne en 1889. Il obtient une première médaille de solfège au Conservatoire en 1890.
Il compose des chansons dont certaines deviennent célèbres, et crée chez Alphonse Daudet son cycle Chansons grises sur les poèmes de Verlaine (composition entre 1887et 1890), en présence du poète (avec la soprano Sybil Anderson). Baryton léger, il s'accompagnait au piano.
En 1891, il obtient le 1er accessit en harmonie au Conservatoire dans la classe de Lavignac.
Massenet lui déconseille de se présenter au Prix de Rome : étranger et fortuné, ses camarades auraient sentiment qu'il prend leur place, mais il l'introduit dans le monde musical.
Au printemps 1894 il fait la connaissance de Marcel Proust. Il ont une liaison amoureuse qui dure juqu'en 1896, mais l'amitié et l'intimité les liera jusqu'à la mort de Proust en 1922.
Reynaldo Hahn (...) la tête légèrement renversée en arrière, la bouche mélancolique, un peu dédaigneuse, laissant s'échapper le flot rythmé de la voix la plus belle, la plus triste et la plus chaude qui ne fut jamais, cet « instrument de musique de génie » qui s'appelle Reynaldo Hahn étreint tous les cœurs, mouille tous les yeux, dans le frisson d'admiration qu'il propage au loin et qui nous fait trembler, nous courbe tous l'un après l'autre, dans une silencieuse et solennelle ondulation des blés sous le vent.
Marcel Proust, La cour aux lilas et l'atelier aux roses : le salon de Mme Madeleine Lemaire.
En 1895, Heugel publie une collection de 20 chansons qui le rendent populaire. À la suite de cette publication, Pierre
Loti lui demande d'adapter pour l'opéra sont récit autobiographique Le mariage de Loti, qui est créé en mars 1898 sous le titre de L'île du Rêve, à l'Opéra-Comique de Paris.
En 1896 il fait la connaissance de Sarah Bernard.
Après le décès de son père en 1897, il s'installe avec sa mère rue Alfred de Vigny à Paris.
En 1898, il fait la connaissance de Catulle Mendès,chez la princesse Mathilde. Il séjourne à Aix-la-Chapelle (Aachen en Allemagne).
En 1899 il est critique musical au journal « La Presse »,de 1904 à 1905 au journal « La Flèche ».
L'échec public de son opéra La Carmélite en 1902, le conduit, jusqu'à la fin de la première guerre mondiale à abandonner la musique de scène.
Avec Marcel Proust et Sarah Bernhardt, ses amisintimes, il prend la défense de Dreyfus, victime de l'antisémitisme, et ses représentations publiques furent souvent troublées par desprovocateurs, même après 1906 quand fut reconnue l'innocence de Dreyfus.Cette même année, il dirige Don Juan à Salzbourg et séjourne à Munich.
De 1908-1910, il est critique musical à « Foemina ».
Il est naturalisé français en 1912, la même année samère décède. Il effectue son service militaire en 1913. Mobilisé le 2 août 1914, il est envoyé à Melun et demande à être muté au front en qualité d'interprète. L'armée anglaise refuse son service. Il est caporal le 17 avril 1917 puis sergent au 31e régiment d'infanterie, puis à la 10e division d'infanterie. Il est nommé pendant 6 mois au chiffre au ministère de la guerre l'année suivante. Il a deux citations et la Croix de Guerre. Au front il compose un cycle de cinq chansons sur des poèmes de Robert Louis Stevenson et esquisse son opéra inspiré du Marchand de Venise de Shakespeare.
Reynaldo Hahn en répétition en 1916, la cigarette au coin des lèvres,comme Proust le décrit.
Je ne pourrai jamais souscrire à l'exclusivité patriotique. J'ai vécu en Allemagne, en Angleterre, en Italie, en Russie, ailleurs encore. Ici, et là, ailleurs, j'ai aimé, souffert, travaillé, pensé. J'y ai vu et entendu des choses admirables et je ne peux, du jour au lendemain, brûler ce que j'ai encensé. Que l'on combatte l'Allemagne avec toutes les forces possibles — ce que, d'ailleurs, on ne fait pas — c'est un devoir. Mais qu'on la raille, qu'on la bafoue, qu'on oublie sa grandeur intellectuelle et les services qu'elle a rendus au monde, c'est indigne et cela me répugne, parce que la liberté de l'esprit est la seule dont un homme puisse être vraiment fier. Si, demain, nous devenions les ennemis des Anglais, je n'en aimerais pas moins Dickens et Shakespeare. Mais nous sommes conduits aux abîmes par des gens qui ont juré d'aller jusqu'au bout, tout en restant dans leur fauteuil ! Quel mal aura fait le très loyal, le très estimable, le très nigaud Déroulède : honnête homme, exécrable poète, patriote maladroit et néfaste, il a traversé la vie comme un grand enfant sage, recueillant le fruit de ses sonneries, non de clairon, mais de cornet à piston, mort avant d'avoir vu le résultat de ses gambades tricolores !
Reynaldo Hahn pendant la guerre, après la 20 janvier 1914. Dans GAVOTY BERNARD, Reynaldo Hahn, le musicien de la belle époque. Dans « Musique », Paris, Buchet-Chastel 1976, p. 235.
Reynaldo Hahn dans le grenier d'Auzéville en 1916.
Il a créé à Paris Don Giovanni (qu'il a aussi dirigé à Salzbourg) et la Flûte enchantée de Mozart. En hiver 1919 il dirige l'Opéra du Casino de Cannes. Il participe à l'édition monumentale des œuvres de Jean-Philippe Rameau. En 1923 son opérette Ciboulette connaît un très grand succès.
Il est critique musical à l'« Excelsior » de 1919 à 1921. En 1920, à la création de l'école Normale de Musique à Paris par Alfred Cortot, il est nommé professeur d'interprétation du chant. En 1921 il prépare un livre sur Sarah Bernhard.
En 1924, il est promu Officier de la Légion d'honneur
En 1925, il compose la musique de Mozart, une comédie musicale (livret de Guitry avec Yvonne Printemps son épouse dans le rôle-titre).
Il compose à la fin des années 20 son œuvre orchestrale la plus connue, le concerto pour piano, qui est créé par Magda Tagliaferro puis enregistré avec Hahn à la direction de l'orchestre.
Magda Tagliaferro et Reynaldo Hahn.
Film de 1932.
Il collabore une seconde fois en 1933 avec Sacha Guitrypour O mon bel inconnu. La même année, on filme son opérette Ciboulette. Il est ciritique musical au journal « Le Figaro »
En 1936, il est membre du Conseil supérieur de la radio
Reynaldo Hahn, concerto pour piano en mi majeur. Magda Tagliaferro (piano), direction Reynaldo Hahn. Enregistrement de 1937. 1. Improvisation, 2. Danse, 3. Rêverie, Toccata et Finale.
Pendant le régime fasciste de Vichy (1940-1944), sa musique est interdite, et il doit se cacher. Il s'installe en 1940 dans le Midi avec Guy Ferrand. De 1941 à 1942 il est à Cannes (zone
libre).
En 1942, la reprise de Ciboulette au théâtre Marigny à Paris est interdite par les autorités sous prétexte d'antécédents familiaux juifs. Il engage des démarches pour prouver son ascendance aryenne. Il s'installe à Monte-Carlo, et effectue une tourné en « zone libre » avec Ninon Vallin.
En 1945, il est directeur de l'Opéra de Paris où il fait redécouvrir les œuvres de Méhul. Le 26 mars il est élu àl'Institut.
Reynaldo Hahn par Lucie Lambert (1907).
Etrait de REYNALDO HAHN, L'oreille au guet. Gallimard, Paris 1937. p. 211-213
L'ARDOISE DE BECKMESSER
CHEFS-D'ŒUVRE. - Si, par chef-d'œuvre, on entend unouvrage qui, fût-il inégal, déborde de génie, ou même un ouvrage moins génial où le talent se manifeste fréquemment, un ouvrage capital qui résume ou affirme la personnalité d'un grand artiste, mettant en lumièreses qualités particulières et ses défauts caractéristiques, mais où, enfin, la beauté l'emporte, il y a beaucoup de chefs-d'œuvre.
Par contre, si, en qualifiant un ouvrage dechef-d'oeuvre, on veut indiquer qu'il est parfait, achevé, que la critique n'y peut rien trouver à redire, — la critique objective, bien entendu, celle qui ne se réclame que de la raison, — alors, il y a très peu dechefs-d'œuvre ; oui, vraiment très peu. En outre, ce genre de chefs-d'œuvre est souvent méconnu par la foule, parce qu'il implique chez l'auteur des sacrifices qui privent son ouvrage de ces choses qui forcent le succès traits saillants, formules frappantes, morceaux bien déterminés qui alertent l'attention, se gravent dans le souvenir et finissent par situer l'ouvrage dans l'appréciation générale.
Car le souci de la perfection, de l'équilibre, des nuances, des valeurs, du fini dans le détail, impose à la fois un soin qui, presque toujours, entrave les élans et cette suprême distinction qui répudie ce qui est « voyant », qui réprouve ce qui est disproportionné, qui blâme tout effet obtenu au détriment du goût et de la vérité. Ce qui revient à dire que cette conception du chef-d'œuvre est difficilement compatible avec la réussite populaire.
On peut cependant citer des exceptions, comme, parexemple, Les Noces de Figaro, où, à part certaine petite vocalise (bien charmante pourtant) de Suzanne, le critique le plus pointilleux peut difficilement trouver quelque chose, même d'infime, à critiquer. On peut citer également l'Orphée de Gluck, si, toutefois, on n'épilogue pas trop sur le premier chœur des Enfers qui, à mon humble avis, n'est pas digne des sublimités qui le précèdent et le suivent. La surprise et les menaces des ombres ténébreuses s'expriment, ce me semble, bien sagement et sur un rythme bien régulier (au détriment de la prosodie, du moins dans la version française.) Quant à « l'affreux hurlement de Cerbère écumant », il n'a jamais, je pense, fait peur à personne...
Par contre, Don Juan et La Flûte enchantée, ces prodiges, appartiennent plutôt à la catégorie de chefs-d'œuvre que j'ai mentionnée tout d'abord, ainsi que les quatre autres chefs-d'œuvre de Gluck — avec cette distinction, pourtant, qu' Iphigénie en Tauride est bien plus proche de la perfection que les trois autres. Iphigénie en Aulide, Alceste et Armide, malgré les fulgurations qui les illuminent, offrent au Beckmesser le moins hargneux bien des prétextes à coups de craie, quand ce ne serait, dans Alceste, que l'air « Divinités du Styx », réputé lui-même un chef-d'œuvre et souvent proposé comme un modèle parfait de musique dramatique.
Les quatre premières mesures de la ritournelle ont dela grandeur et le commencement de l'air est magnifique, avec brusque interruption qui sépare l'apostrophe : « Divinités du Styx » et ces mots :
« Ministres de la Mort », prononcés avec effroi. Mais on ne comprend guère l'arrêt prolongé sur de. Oui, pourquoi « Ministres DE... la Mort » ? Voilà la questionque Beckmesser croirait pouvoir poser aigrement au chevalier Gluck... La phrase qui suit est d'un mouvement superbe : « Je n'invoquerai point votre pitié cruelle ! » Mais la réplique de l'orchestre est bien lourde, bien pataude : pan pan pan ! - pan pan pan ! « Je n'invoquerai point... » répète Alceste ; et l'orchestre reprend, un peu plus haut : pan, pan pan ! pan pan pan ! Et Alceste recommence, plus haut également : « Je n'invoquerai point... » Cette montée en arpège sur la même harmonie soulignant les mêmes paroles veut peut-être indiquer l'obstination inébranlable de l'héroïne ; mais n'est-elle pas un peu puérile et surtout bien monotone ? Enfin, Alceste termine sa phrase : « Votre pitié cruelle ! » sur un si bémol aigu, ce qui est d'un bel effet vocal, mais, si l'on y réfléchit, d'un accent bien arbitraire. Puis elle répète, en retombant sur l'octave inférieure : « Votre pitié cruelle ! » ce qui, musicalement, est une conclusion ferme, mais ce qui, pour le simple bon sens, est franchement inexplicable. Voici, en effet, le compte de ce qu'Alceste a proféré dans sa fière harangue : « Divinités du Styx, Divinités du Styx,Ministres de la Mort, je n'invoquerai point votre pitié cruelle. Je n'invoquerai point... Je n'invoquerai point... votre pitié cruelle! Votre pitié cruelle ! » Avouons-le, si Beckmesser signalait rageusement comme absurde la répétition de ces trois derniers mots, il n'aurait pas tout à fait tort. Car on pourrait à la rigueur comprendre qu'Alceste répétât toute sa phrase (mon Dieu, une fois de plus ou de moins...) : «Je n'invoquerai point votre pitié cruelle ! » Mais larépétition des trois seuls derniers mots ne peut se justifier d'aucune façon.
Ce qui suit est d'une expression profondément touchante. Mais quand Alceste recommence par deux fois « Divinités du Styx
», et s'interrompt à nouveau pour ajouter d'un ton lugubre : « Ministre DE- la Mort ! », on est tenté de trouver qu'elle abuse... Les mesures suivantes sont adorables, d'une tendresse ou d'une douceur infinies. Il est regrettable que l'exclamation : « Une vertu si naturelle ! » ne soit pas marquée par un arrêt, par une harmonie, par je ne sais quoi, enfin, qui la détache des paroles suivantes.
Je sais bien qu'à toutes ces chicanes on pourrait répondre que le texte primitif d'Alceste était en italien et que, dès lors, elles ne comptent pas ; mais c'est dans le texte français que le morceau est admiré, prôné, cité comme modèle. De plus, on s'étonne que Gluck, en révisant la version française du bailli Du Rollet, ne se soit pas montré plus exigeant en ce qui concerne ces divers passages.
Continuons. Que dire du presto : « Je sens une forcenouvelle, etc. », avec ses pan pan pan à l'orchestre et son dessin vocalde coupe symétrique, périodique et qui se présente quatre fois identiquement, deux fois en la, deux fois en si bémol, allant ainsi bien correctement de la dominante à la tonique et revenant ensuite à ladominante - savez-vous pourquoi ? pour permettre à Alceste de recommencert oute la première partie de l'air, depuis « Divinités du Styx » jusqu'à « Votre pitié cruelle ». Si, après cela, les dieux infernaux n'ont pascompris qu'elle « n'invoquerait point leur pitié cruelle », c'est vraiment qu'ils n'y mettent pas de bonne volonté !
Catalogue des œuvres
1883, L'inspiration, valse pour le piano. E. Delanchy, Paris 1883
1887-1890, Chansons grises, cycle pour voix soliste et piano sur des poèmes dePaul Verlaine.Heugel, Paris 1893
1888-1933, Le pauvre d'Assise, oratorio sur un texte de Rivollet
1889, Aubade espagnole, mélodie sur une poésie d'Alphonse Daudet
1889, Suite concertante pour piano
1889, Une abeille pour piano
1890, Les impressions pour piano
1890, Musique de scène pour L'obstacle d'Alphonse Daudet ; Aubade espagnole, chanson. Paris, Hartmann 1891
1890, Rêverie, mélodie sur une poésie de Victor Hugo. Heugel, Paris 1890; dans « Recueil de chansons », Heugel, paris 1893 ; Heugel, Paris 1914 ;1924 ; 1926
1890, Si mes vers avaient des ailes, mélodie sur une poésie de VictorHugo. H. Hartmann, Paris 1890 (édition en ut, ré, mi) ; dans « recueil dechansons », Heugel, Paris 1893 ; Heugel, Paris 1924 ; 1926 ; transcriptionpour petit orchestre, Heugel, Paris 1913 ; transcription pour violoncelleet piano, Heugel, Paris 1933, 1966
1890, Paysage, mélodie sur une poésie d'A. Theuriet
1891, Dernier vœu, mélodie sur une poésie de de Banville
1891, Infidélité, mélodie sur une poésie de Théophile Gautier. Heugel,Paris 1893 ; 1929
1891, Offrande, mélodie sur une poésie de Paul Verlaine
1891, Notturno alla italiana pour piano
1891, Aimons Nous ! Poésie de Th. de Bainville
1891, Scherzo lent pour piano
1891, Mai, mélodie sur une poésie de François Coppée. Paris, Hartemann1891 ; Heugel, 1895 ; 1914 ; pour piano seul, Heugel, Paris 1924 ;transcription pour violon et piano, Heugel, Paris1926
1892 (24 avril), Fin d'amour, ballet-pantomime (Eugène Berrier) quasi-représenté auCercle funambulesque. Piano. Ms. 19206 (autographe), Bibliothèquenationale de France, département de la musique
1892 (vers 1892), Hippomène et Atalante, pour piano. Ms.Vma.ms. 991, (autographe),BnF, M.
1892, Au clair de lune (conte en musique). Imprimerie May et Motteroz,Paris 1892 (textes et dessins de Louis Montégut avec une préfaced'Alphonse Daudet)
1892, D'une prison, mélodie sur une poésie de Paul Verlaine ;transcription pour orchestre, Heugel, Paris 1914 [ D'une prison, pour piano seul, Heugel, Paris 1924]
1892, Fêtes galantes, mélodie sur une poésie de Paul Verlaine. Heugel,Paris 1893
1892, Séraphine, mélodie sur une poésie de H. Heine
1892, L'énamourée, mélodie sur une poésie de Théodore de Banville.Heugel, Paros 1892
1892, Seule, mélodie sur une poésie de Théophile Gautier. Heugel, Paris1892 ; dans "recueil de chansons", Heugel Paris 1893
1892, Variations sur un thème de Charles Levadé pour piano
1892, Offrande, mélodie sur une poésie de Paul Verlaine. A Quinzard,paris 1891 ; dans « Recueil de chansons », Heugel, Paris 1893 ; Heugel,Paris 1896 ; Ms. Vma. ms.992, Bibliothèque nationale de France,musique
Paysage, mélodie sur un poème d'André Theuriet. Heugel, Paris1892 ; dans « Recueil de chansons », Heugel, Paris 1893 ; 1914 ;1924 ;1926
1892-1899, Rondels pour voix soliste et piano sur des poèmes de Charles d'Orléans, Théodore de Banville, Catulle Mendès [La paix (Théodore de Bainville), Heugel, Paris 1898. La nuit (Rondel no 11 ; de Banville), Heugel, Paris 1892 ; 1927 ; Rondels sur des poésies de Charles d'Orléans, Théodore de Bainville et Catule Mendès, Heugel, Paris 1899
1893, 3 préludes sur des airs populaires irlandais (extraits du recueil de M. Villiers) , pour piano 4 mains. 1. The little red Lark - 2. My love's an arbustus -3. The willow tree. Paris 1894 ; Ms. 21006, (autographe), BnF (en page de couverture « Ce précieux manuscrit appartient à Mlle Suzette et lui a été donné en souvenir de l'exécution magistrale à laquelle elle contribua et en gage d'amitié R.H. » Au début de la partition « à Augusta Holmès : n° 1 (The litle red lark) ». À la fin, daté et signé « Balcomb Place, 6 et 17 septembre 1893. Douleurs épouvatables au bras droit »
1893, Cimetière de campagne, sur une poésie de Gabriel Vicaire. Heugel,Paris
1893, Recueil de chansons. Heugel, Paris 1893 (Rêverie, Victor Higo ; Si mes vers avaient des ailes, Victor Hugo ; Mai, François Copée ; Paysage, André Theuriet ; L'Enamourée, Théodore de Bainville ; Seule, Théophile Gauthier ; La Nuit, Téodore de Bainville ; Offrande, Paul Verlaine (Ms.Vma. ms. 992, Bibliothèque nationale de France) ; Trois jours de vendanges, Alphonse Daudet (Heugel, Paris 1893 ; 1920 ; Les chants aimés. Les mélodies préférées, Heugel, Paris 1926 ; Infidélité, Théophile Gauthier ; Fêtes galantes, Paul Verlaine ; Cimetière de campage, Gabriel Vicaire ; Fleur Fanée, Léon Dierx ; L'incrédule, Paul Verlaine ; Les Cygnes, Armad Renaud ; D'une prison, Paul Verlaine ; Dernier aveu,Théodore de Bainvlle ; Séraphine, Henri Heine ; Nocturne, Jean Lahor (Heugel, Paris 1896) ; A Phydilé, Leconte de l'Isle ;
1924 ; Dans « Les chants aimés. Les mélodies favorites (n° 10) ».Heugel, Paris 1926
1893, Nocturne, sur une poésie de J. Lahor ; Les cygnes, mélodie sur une poésie d'A. Renaud
1893, Nuit d'amour bergamasque, poème symphonique
1893-1894, Fleur fanée, mélodie sur une poésie de L. Dierx
1894-1896, Portraits de peintres. Pièces pour piano d'après les poésies de Marcel Proust. 1. Albert Cuyp - 2. Paulus Potter - 3. Anton van Dick - 4. Antoine Watteau. Heugel, Paris 1896 (fascicules) ; Ms. Rés. m. Z. 284, BnF, M. Manuscrit autoraphe fac-simile dans M. Proust, Les Plaisirs et les jours, p. 122-134, 1896. Daté à la fin de « Antoine Watteau », Printemps 1894
1894, Six mélodies. Paris 1894 (Cimetière de campagne, Gabriel Vicaire; Fleur Fanée, Léon Dierx ; L'Incrédule, Paul Verlaine ; Les cygnes, Armand Renaud ; d'Une prison, Paul Verlaine ; Dernier Vœu, Théodore de Bainville)
1895, La nativité : crèche de Nurenberg, pour piano. Le figaro, Paris vers 1895 (supplément non identifié du « Figaro », épreuves corrigées, titres de la main de l'auteur)
18965, Musique de scène pour Nocturne de M. Star
1896, Puisque j'ai mis ma lèvre, mélodie sur un poème de Victor Hugo. Heugel, Paris 1896 ; 1917 ; dans « Recueil de chansons, deuxième volume » ,Heugel, Paris ; Dans « Le ruban dénoué »
1896, A Phidylé ! Poésie de Leconte de L'Isle
1896, Cantique sur le bonheur des justes et le malheur des réprouvés, surun poème de Jean Racine pour voix soliste et chœur de femmes. Heugel, Paris 1896
1896, Naguère, au temps des églantines, mélodie sur une poésie deCatulle Mendès
1896, Pièce en forme d'aria et bergerie, pour piano à quatre mains. Heugel, Paris 1896
1896, Trio en fa mineur pour violon, violoncelle et piano (œuvre fantôme ? - cité par Gavoty 1976 ; Grove)
1896, Les Bretonnes, Duo pour deus voix de femmes en cœur ou soli sur une poésie de Charles de Goffic. Heugel, Paris 1896
1897, Caprice pour deux pianos. Heugel, Paris 1897
1897, L'île du rêve « idylle polynésienne » en trois actes sur un livret d'André Alexandre et Georges Hartmann, d'après Pierre Lotti. Créé à l'Opéra-Comique de Paris (salle Favart), le 23 mars 1898. Heugel, Paris1897
1897, Théone, mélodie sur une poésie de J. Moréas
1897, Agnus Dei pour Baryton et soprano. Heugel, Paris 1897
1898, La délaissée, mélodie sur une poésie de Mme Blanchecotte. Heugel,Paris 1898
1898 ; Le souvenir d'avoir chanté, mélodie sur une poésie de Catulle Mendès. Paris, Heugel, 1898 ; dans « recueil de chansons », deuxième volume; Heugel, Paris
1898, Marine, pour orchestre de chambre
1898, Musique de scène pour Esther de Jean Racine (Chœurs, soli et musique de scène. Heugel,Paris 1904 (chant et piano)
1898, Premières valses pour piano. Heugel, Paris 1898
Une soirée chez Madeleine Lemaire.
1899, Le marchand des marrons, mélodie sur une poésie de P. Collin
1899, Le printemps, mélodie sur une poésie de de Banville. Ms. Vma. ms.993, Bibliothèque nationale de France
1899, Quand je fus pris au pavillon, mélodie sur une poésie de Charlesd'Orléans
1899, Musique de scène pour Dalila d'O. Feuillet
1899, Chansons de page ; Adieu ! sur une poésie de Stephan Bordèse. Enoch, Paris 1899
1900, études latines pour voix solistes, chœur et piano sur des poèmes de Leconte de Lisle. Heugel, Paris 1900 ; 1925 (Lydie ; Neère ; Salinum ; Thaliarque ; Lydé ; Vle potabis ; Tyndaris ; Pholoé ; Phidylé ; Phyllis)
1900, La chère blessure, mélodie sur un poème de Blanche Cotte. Au Ménestrel, Paris 1900
1900, Quand la nuit n'est pas étoilée, mélodie sur un poème de Victor Hugo. Au Ménestrel, Paris 1900
1901, A une étoile, mélodie sur un poème d'Alfred de Musset. Au Ménestrel, Paris 1901
1901, La pastorale de Noël «Mystère de Noël» en trois actes, livret de Léonel de La Tourasse & Gaylly de Taurines. Créé au Théâtre des Arts de Paris le 23 décembre 1908. Ms. Vma.ms.1208, Bibliothèque nationale de France (parties de chœurs, titres ajoutés par Jane Bathori) ; Heugel, Paris 1901
1901, Romance, pour alto, violon et piano. Heugel, Paris 1901
1901, Venezia, chansons en dialecte vénitien . Heugel, Paris 1901
1901-1906, Les feuilles blessées. Stances de Jean Moréas pour voix soliste et piano sur des poémes de J. Moréas. Heugel, Paris v. 1905 ; 1907
1902, Sur l'eau, mélodie sur un poème de Sully-Prudhomme. Heugel, Paris 1902
1902, Cadence pour le « Concerto en ut mineur » de Mozart pour piano. Heugel, Paris 1902
1902, Deux cadences pour le « concerto à deux pianos » de Mozart. Heugel, Paris 1902
1902, Juvenilia, petites pièces pour piano (1.Portrait - 2. La Promenade- III. Demi sommeil - IV. Feuillage - V. Phoebé - VI. Les Regards amoureux). Heugel, Paris 1902
1902, La Carmélite, comédie musicale en 4 actes et 5 tableaux sur un livret de Catule Mendès. Créé à l'Opéra-Comique de Paris (salle Favart) le 16 décembre 1902. Heugel, Paris 1902 ; morceaux détachés chant et piano, Heugel, Paris 1902 ; transcription pour piano, Heugel 1902
1902, Musique de scène pour Les deux courtisanes de F. de Croisset
1902, Musique de scène pour Werther de Decourcelle & Grisafulli [Noël ! pour mezzo-soprano et voix d'enfants. Au Ménestrel, Paris 1902]
1902, Les muses pleurant la mort de Ruskin pour voix de femmes, soli et chœurs féminins et lyres. Delanchy, Paris 1902 ; Heugel, Paris 1925
1902-1912, Le rossignol éperdu, poèmes, pour piano. 4 série regroupant 53 pièces : I. (1-30) Frontispice ; Andromède résignée etc. - II. (31-36) Orient - III. (37-45) Carnet de voyage- IV. (46-53) Versailles. Heugel, Paris 1912
O Fons Bandersiae ! Fragment d'une ode d'Horace pour sopransolo et chœur de femmes. Au Ménestrel, Paris 1902
1903, J'ai caché dans la rose en pleurs, mélodie sur un poème d'A.Silvestre
1903, Sarabande, thème variée pour clarinette et piano. Au ménestrel, Paris 1903
1904, 7 Berceuses pour piano 4 mains : Les jours sans nuages ; Berceuse pour la veille de Noël ; Berceuse pour les enfants de marins ; Berceuse des soirs d'automne ; Berceuse créole ; Berceuse pensive ; Berceuse tendre. Heugel, Paris 1904
1904, Variations puériles pour piano à quatre mains, sur une mélodie de Carl Reinecke. Paris 1905
1904, Amour sans ailes (Love without wings) sur un poème de Mary Robinson (Mme Emile Duciaux), texte bilingue français-anglais. Heugel, Paris 1904 ;1911
L'Obscurité, chœur à 4 voix mixtes a cappella sur un texte deVictor Hugo. Heugel, Paris 1904
1904, Oh ! For the wings, mélodie sur un poème de Mary Robinson (Mme Émile Duclaux). Heugel, Paris 1904
Sérénade pour ténor et baryton sur un poème de Victor Hugo. Heugel, Paris 1904
1905, Bacchante endormie, fragment pour piano. Leduc, Paris 1905
1905, Musique de scène pour Scarron de Catulle Mendès
1905, O fons Bandusiae, mélodie sur un poème d'Horace
1905, Pavane d'Angelo pour le drame de Victor Hugo (grande et petite flûte, clarinette, guitare, harpe ou piano, quintette à cordes). Heugel, 1905, 1909 ; transcription pour piano, Heugel Paris 1905
1905, Variations chantantes sur un air ancien (l'opéra Xercès) pour violoncelle et piano. Paris 1905
1906, Au pays musulman, mélodie sur un poème d'H. de Régnier. Au Ménestrel, Paris, 1906
1906, Le bal de Béatrice d'Este, Suite pour instruments à vent, deux harpes et un piano [Entrée de Ludivoc le More ; Lesquercade ; Romanesque ;Ibérienne ; Léda et l'oiseau ; Courante ; Salut final au duc de Milan]. Heugel, Paris 1905 ; Réduction pour piano à 4 mains par André Gédalge, Heugel, Paris 1911 ; transcription pour deux pianos à quatre mains, Heugel, Paris 1906 ; Suite pour instruments à vent, transcription de Laurent Delbecq, conducteur en si bémol. R. Martin, Charnay-les-Mâcons1972
1906, Les rêveries du Prince Eglantine, pour piano. Heugel, Paris1906
1906, Musique de scène pour La vierge d'Avilla de Catulle Mendès
1906, Nocturne, pour violon et piano
1906, Variations pour flûte et piano sur un thème de Mozart. Heugel, Paris 1906
1907-1930, Chansons et madrigaux pour voix soliste et piano sur des poèmes de Charles d'Orléans, J. A. de Baïf, A. d'Aubigné, A. Bœsset. En nous disant adieu ! dans la manière d'Antoine Bœsset ; Coment se peut-il faire ainsi, texte de Charles d'Orléans ; Les fourriers d'été de Charles d'Orléans ; Un loyal cœur ! de Charles d'Orléans. Heugel, Paris 1907 ; III ( Pleurez sur moi, texte d'Agrippa d'Aubigné. Partie de ténor, basse, soprano, contralto, chant seul. Heugel, Paris 1930.
1907, J'ai caché dans la rose en pleurs ! sur une poésie d'Armand Silvestre. Hachette, Paris 1907
1907, Sonatine en do majeur pour piano. Heugel, Paris 1907
1907, La Primavera, chanson vénitienne, paraphrase pour piano. Heugel,Paris 1907
1908, Prométhée triomphant, choral sur un texte de Paul Reboux pour voix soliste, chœur, orchestre. Heugel, Paris 1908 (chant et piano) ; en allemand, pour piano, texte français et allemand, Heugel, Paris 1910
1908, Dans l'été, sur un poème de Marceline Desbordes-Valmore. Heugel,Paris 1908
1910, Faunesse dansante, pour piano (N° 40 du Rossignol éperdu). Ms.19207 (40), (autographe), BnF, M. (signé 1910, Fontainebleau)
1910, La fête chez Thérèse, ballet-pantomine sur un argument de Catulle Mendès, créé à lOpéra de Paris en 1910. Heugel, Paris 1910 (partition d'orchestre) ; arrangement pour fanfare ou harmonie, Evette et Schaeffer,Paris 1911 ; transcription pour piano, Heugel, Paris 1910 ; transcription pour petit orchestre par H. Mouton, Heugel, Paris 1911 (2 suites) ; Valse de Giselle et scène de Mimi, E. Gallet, Paris 1910 ; extrait pour cornet dans Eugène Foveau, Traits difficiles tirés d'œuvres symphoniques etdramatiques. Alphonse Leduc, Paris 1943
1910, L'Ange verrier pour piano. Ms. 19207 (37), (autographe), Bibliothèque nationale de France [N° 37 du Rossignol éperdu, signé R. H. Cathédrale de Bourges]
1910, Les fontaines, mélodie sur un poème d'Henri de Régnier. Heugel, Paris 1910
1910, Romanesque, pour flûte, alto et piano. Heugel, Paris 1910
1910, Thème varié pour le piano. Supplément musical au n° spécial sur Haydn de la revue de la Société Internationale de Musique, janvier 1910 ;thème varié sur le nom de Haydn. Heugel, Paris 1913
1911, Avoir des ailes de colombe, mélodie sur un poème de Mary Robinson (Mme Emile Duclaux) avec traduction française. Heugel, Paris 1911
1911, Deux improvisations sur des airs irlandais, pour violoncelle et piano. Heugel, Paris 1911
1911, Le dieu bleu, ballet sur un argument de Jean Cocteau & Frédéric de Madrazo, créé au théâtre du Châtelet le 13 mai 1912. Au Ménestrel,Paris 1911
1911, Musique de scène pour Méduse, tragédie (légende marine) de Maurice Magre. Heugel, Paris1911 ; deux chansons : 1. Au bord de la fontaine - 2. Danse, petite sirène(avec cœur de femmes, bouche fermée), Heugel, Paris 1912
1911, Aubade athénienne pour voix de femmes, paroles de Paul Reboux. Heugel, Paris 1911
1912, Chanson au bord de la fontaine, mélodie sur un poème de M. Magre
1912, Le bois sacré, ballet-pantomime
1913, A Chloris, mélodie sur un poème de Théohile de Viau. Heugel, Paris 1916
1913, Deux pièces pour flûte et piano : Danse pour une déesse ; L'Enchanteur. Heugel, Paris, 1913
1914, Miousic, opérette en trois actes, livret de P. Ferreir, créé au théâtre de l'Olympia le 22 mars 1914 [avec des musiques de Saint-Saëns, Lecocq, Messager etc.]
1914, En Sourdine, mélodie. Trascription pour petit orchestre,Parisz 1914
1914, L'Heure exquise, mélodie sur une poésie de Paul Verlaine. Heugel, Paris (Les chats aimés. Mélodies favorites n° 9 ; H. Mouton, mélodia n° 31, 1914) ; Heugel, Paris 1924 ; 1926
1915, 5 petites chansons (Five little songs) pour voix soliste et piano sur des poèmes de R. L. Stevenson, adaptés en français par Maurice Léna. [The Swing, la balançoire ; Windy nigt, Nuit de grand vent ; My ship and I, Mon petit bateau ; The stars ; Les étoiles ; A good boy, Un bon petit garçon] Heugel, Paris 1916 ; 1917
1915, Les jeunes lauriers, marche militaire pour piano. Heugel, Paris 1916 ; transcription de L. Chomel pour harmonie avec conducteur en si bémol, Buffet-Crampon, Paris 1934 ; orchestré par H. Mouton, Heugel, Paris1916
1915, Pour bercer un convalescent, pour deux pianos à quatre mains. Heugel, Paris 1916
1917, Le plus beau présent, mélodie sur un poème de Maurice Magre. Hegel, Paris 1917
1917, Le Ruban dénoué, 12 valses à deux pianos. Heugel, Paris 1917 (manque la mélodie de « Puisque j'ai mis ma lèvre »)
1918, Ma jeunesse, mélodie sur un poème de Hélène Vacaresco. Heugel, Paris 1918
1918, A nos morts ignorées, mélodie sur un poème de Louis Hennevé. Heugel, Paris 1918
1919, Fête triomphale, opéra en trois actes, livret de St Georges de Bouhélier, créé à l'Opéra de Paris le 14 juillet
1919, Musique de scène pour L'Homme à la rose de Henri Bataille
1919, Nausicaa, opéra-comique en trois actes sur un livret de René Fauchois, créé à l'Opéra de Monte Carlo le 10 avril 1919. Paris, Heugel 1919 (partition d'orchestre) ; Heugel, Paris 1919 (partition piano et chant) ; Séparés pour chant et piano, Heugel, Paris 1923
1920, Musique de scène pour Andrea del Sarto d'alfred de Musset)
1921, Dans la nuit, mélodie sur un poème de J. Moréas
1921, La douce paix; mélodie sur un poème de Guillot de Saix. Chant et piano. Huegel, Paris
1921, Fumée, mélodie sur un poème de Moréas
1921, La colombe de Bouddha, conte lyrique en un acte sur un livret d'André Alexandre, créé à Cannes le 21 mars. Partition piano et chant, Heugel, Paris s.d.; Morceaux détachés pour chant et piano (Chanson de la jonquille ; Madrigal de Yamoto), Heugel, Paris s.d.
1923, Ciboulette, opérette en trois actes, livret de Robert de Flers& Francis de Croisset), créé au théâtre des Variétés le 7 avril 1923. Salabert, Paris 1923 ; Ciboulette, fantaisie-sélection de Reynaldo Hahn, pour orchestre avec piano conducteur. Arangé par Francis Salabert. Salabert, Paris 1924 (de nombeux airs sont édités en séparés pino et chant; Chanson de route de l'opérette Ciboulette, transcription et arrangement pour chœur à 4 voix d'hommes, par . Dyck. Chant seul, Salabert, Paris 1938 ; Il court, il court le muguet, idem ;
1923, Musique de scène pour Manon, fille galante d'Henri Bataille & A.. Flament. Heugel, Paris 1924 (Préludes et entr'actes : Les Amants ; L'Inconstante ; LaD olente ; L'Enjoleuse ; La Frivotte ; Le Souvenir. Pour piano)
1923, Quintette pour deux violons, alto, violoncelle et piano. Heugel, Paris 1923
1925, Degas, spectacle de danses
1925, La reine de Sheba, scène lyrique en un acte, livret d'Edmond de Fleg, créé au théâtre du Châtelet le 6 mars 1926. Heugel, Paris 1925 (chant et piano)
1925, Mozart, comédie musicale en trois actes, livret de Sacha Guitry, créé au théâtre Edouard VII, le 2 décembre 1925. Heugel, Paris 1926 ; chant et piano, Heugel, Paris 1926 ; version en allemand, Heugel, Paris 1927 ; transcription pour orchestre avec piano conducteur par Henri Mouton, Heugel, Paris1927 ; Morceaux détachés pour chant et piano : 1. Comme c'est facile - 2. Comme elle danse ! C'est exquis - 3. Couplets de Madame d'Epinay. Heugel, Paris 1926
1925, Musique de scène pour Seigneur Polichinelle de Zamacoïs
1926, Le temps d'aimer, comédie musicale en trois actes, livret de Pierre Wolff, Henri Duvernois. Couplets de Hugues Delorme, créé au théâtre de la Michodière le 7 novembre 1926. Heugel, Paris 1926 (chant et piano) ; chœurs de femmes, chœurs d'hommes, chant seul, Heugel, Paris 1927 ;Morceax détachés pour piano seul, Heugel, Paris 1926 ; Morceaux détachés pour chant et piano, Heugel, Paris 1926 ; chant seul, Heugel, Paris1926
1926, Sonate en do majeur pour violon et piano. Heugel, Paris 1926
1926, Une revue, comédie musicale en un acte, livret de Maurice Donnay& Henri Duvernois, créé au théâtre de la Porte-Saint-Martin le 28 octobre 1926. Heugel, Paris 1926 (chant et piano) ; morceaux détachés pour piano, Heugel, Paris 1926, morceaux détachés pour chant et piano, idem ; Morceaux détachés pour chant seul, idem ; Défilé final, Heugel, Paris 1926
1926, L'incrédule, sur une poésie de Paul Verlaine.Heugel, Paris1926
1926, Noctem Quietam pour ténor, solo et chœur. Heugel, Paris 1926
1927, 2 études pour piano. Heugel, Paris 1927
1928, Concerto pour violon et orchestre. Heugel, Paris 1928
1931, Brummell, opérette en trois actes, livret de Rip & Robert Dieudonné, créé au théâtre des Folies-Wagram le 16 janvier 1931. Salabert, Paris 1931 ; 1977
1931, Concerto pour piano et orchestre. Heugel, Paris 1831 (Piano principal et réduction de l'orchestre au second piano)
1931, Divertissement pour une fête de nuit pour quatuor à cordes, venst et percussions
1932, Valses, ballet
1933, O mon bel inconnu, comédie musicale en trois actes, livret de Sacha Guitry, créé au théâtre des Bouffes-Parisiens le 5 octobre 1933. Salabert,Paris 1934 ; Valse pour orchestre et piano coducteur, Saabert, Paris 1934
1934, Musique de film pour La dame aux camelias : C'est à Paris (paroles d'Alert Willemetz) ; [Reyaldo Hahn et Fernand Masson, La Dame aux camélias, musique de chant de Renaldo Hahn, paroles de Willemetz, musique symphonique de Fernand Masson, pour piano. Joubert, Paris 1934] ; Au fil de l'eau, Joubert, Paris 1934 ; Mon rêve était d'avoir sur des parles d'Albert Willemetz. Joubert, Paris 1934
1934, Musique de film pour Sapho
1935, Le marchand de Venise, opéra en trois actes, livret de Miguel Zamacoïs d'après William Shakespeare, créé à l'Opéra de Paris le 25 mars 1935. Ms. Rés A 806 (1-3), Bibliothèque de l'Opéra de Paris ; partition chant et piano, Heugel, Paris 1935 ; le poème de Miguel Zamacoïs, Heugel, Paris 1935
1935, Malvina, opérette en 3 actes sur un livret de Donnay & Henri Duvernois, créé au théâtre de la Gaîté-Lyrique le 23 mars 1935. Heugel, Paris 1937 (chant et piano) ; morceaux détachés pour chant et piano, Heugel, Paris 1935
1936, Beaucoup de bruit pour rien, comédie musicale en, quatre actes, livret de J. Sarment d'après William Shakespeare, créé au théâtre de laMadeleine en mars 1936
1936, Eglogue, trio de vents
1937, Musique de scène pour L'homme avec dix femmes de Zamacoïs
1937, Soliloque et forlane pour alto et piano. M. Eschig, Paris ; B. Schott's Söhne, Mayence 1937 (pour le concours du Conservatoire national de Paris, année 1937).
1937-1938, Aux bosquets d'Italie, ballet, argument d'A. Hermant, créé à l'Opéra de Paris en 1937-1938
1938, Tu es Petrus, motet pour basse solo, chœur à 4 et orgue ad lbitum. Henri Lemoine, Paris 1938
1939, Romance pour flûte, violon alto, violoncelle
1942, Concerto pour 5 instruments et orchestre
1942, Sérénade, pour flûte, hautbois, clarinette et basson.
1943, Quatuor à cordes en la mineur. Heugel, Paris (1943 ; 1944)
1943, L'Alouette, dans abbé Jacques Hemmerlé « Chansons du blé qui lève », éditions ouvrières 1943
1945, Concerto provençal pour flûte, clarinette, basson, cor et cordes
1946, Troisième Quatuor pour violon, alto violoncelle et piano. Heugel,Paris (1946)
1947, Chansons espagnoles pour voix soliste et piano
1949, Le oui des jeunes filles, opéra, livret de Fauchois d'après Moratin (orchestré par Büsser), créé à l'Opéra-Comique de Paris (salle Favart) le 21 juin 1949
1955 (posthume), Concerto pour violoncelle [inachevé, revision et cadence par Ferdinand Pollain sous la direction de l'auteur]. Salabert, Paris 1955 (Partition et parties)
1955, Neuf mélodies retrouvées, pourchat et piano sur des poèmes de Guilot de Saix, Lucien Paté, Catulle Mendès. Salabert, Paris 1955. Je me souviens ; La vie est belle (de Saix) ; L'amitié (Paté) ; Chanson (Mendès) ; La nymphe et la source (?) ; Au rossignol ; Ta main ; Sous l'oranger (de Saix) ;
sd, Effet de la nuit sur la Seine, pour piano (n° 24 du Rossignoléperdu). Ms. 19207 (24), (autographe), BnF, M.
sd., 2 préludes pour orgue
sd., Barcarolle «Per i piccoli» pour piano; Ms. 19207 (25), (autographe), Bibliothèque nationale de France, département de la musique (n° 25 du Rossignol éperdu)
sd., Douloureuse rêverie dans un bois de sapins, pour piano (n° 3 du Rossigol éperdu). Ms. 19297 (3), (autographe), Bibliothèque nationale deFrance, département de la musique
sd., Suite hongroise, pour violon, piano, percussions et cordes
sd., Chœur pour célébrer l'heureuse arrivée d'Edouard Reisslerius (Rissler), pour solo, chœur à l'unisson, piano. Ms. 19205, Bibliothèquenationale de France
sd., Recueil de mélodies, deuxième volume. Heugel, Paris (Quand la Nuitn'est pas étoilée, Victor Hugo ; Cantique, Jean Racine ; La délaissée, Mme Blanchecotte ; Le chère blessure, Mme Blanchecotte ; Théone, Jean Moréas ; Le souvenir d'avoir chanté, Catulle Mendès (Heugel, Paris 1898) ; Quand je fus au pavillon, Charles d'Orléans ; Chanson au bord de la fontaine, Maurice Magre ; Sur l'eau, Sully Prud'homme ; Fumée, Jean Moréas; Le printemps, Théodore de Bainville ; Dans la nuit, Jean Moréas ; Lesfontaines, H. de Régnier ; A chloris, Théophile de Viau ; Le rossignoledes lilas, Léopold Dauphin (Heugel, Paris 1913) ; A nos mortsignorés, Louis Hennevé ; Ma jeunesse, Hélène Vacaresco ; Le plus beauprésent, Maurice Magre ; Puisque j'ai mis ma lèvre, Victor Hugo (Heugel,Paris 1917) ; La douce paix, Guillot de Saix
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WRIGHT ALFRED J., Paroles et musique : Verlaine's composers. Dans « Nineteenth-Century French Studies » (5, 3-4) 1977, p. 308-327 [ISSN:0146-7891]
Discographie
Reynaldo Hahn, Le bal de Béatrice d'Este, Concerto, provençal, Sérénade, Divertissement pour une fête de nuit. Ensemble Initium, Orchestre des Pays de Savoie, Nicolas Chalvin (direction). Timpani 2015 (1C1231).
01 / 145 Songs by Reynaldo Hahn Felicity Lott
Susan Bickley
Ian Bostridge
Stephen Varcoe
Graham Johnson
Graham Johnson, piano
Chris Gould, piano
Hypérion CDA67142 (2 disques) 1996
Disque 1 : Si mes vers avaient des ailes (Hugo) ; Paysage (Theuriet) ; Rêverie (Hugo) ; Offrande (Verlaine) ; Mai (Coppée) ; Infidelité (Gautier) ; Seule (Gautier) ; Les Cygnes (Renaud) ; Nocturne (Lahor) ; Trois jours de vendange (Daudet) ; D'une prison (Verlaine) ; Séraphine (Heine) ; L'heure exquise (Verlaine) ; Fêtes galantes (Verlaine) ; DOUZE RONDELS : Le Jour (De Banville) ; Je me metz en vostre mercy (D'Orléans) ; Le Printemps (De Banville) ; L'Air (De Banville) ; La Paix (De Banville) ; Gardez le trait de la fenêtre (D'Orléans) ; La Pêche (De Banville) ; Quand je fus pris au pavillon (D'Orléans) ; Les Etoiles (De Banville) ; L'Automne (De Banville) ; La Nuit (De Banville). Disque 2 : Le souvenir d'avoir chanté (Mendès) ; Quand la nuit n'est pas étoilée (Hugo) ; Le plus beau présent (Magre) ; Sur l'eau (Prud'homme) ; Le rossignol des lilas (Dauphin) ; A Chloris (De Viau) ; Ma jeunesse (Vacaresco) ; Puisque j'ai mis ma lèvre ... (Hugo) ; ETUDES LATINES (De Lisle) : Lydie Néère Salinum Thaliarque ; Lydé ; Vile potabis ; Tyndaris Pholoé Phidylé Phyllis ; La Nymphe de la Source (anonymous) ; Au rossignol (De Saix) ; Je me souviens (De Saix) ; Air de la lettre ; from `Mozart' (Guitry) ; C'est très vilain d'être infidèle [de '0h mon bel inconnu] (Guitry) ; C'est sa banlieue Y a des arbres ... (de Ciboulette (De Flers, De Croisset) ; Nous avons fait un beau voyage (de Ciboulette) ; La Dernière Valse [de Une Revue] (Donnay, Duvemois)
02 / 145
Reynaldi Hahn Quintette pour quatuor à cordes et piano en fa mineur
Quatuor à cordes en la mineur
Quatuor à cordes en fa majeur Quatuor Parisii
Alexandre Tharaud, piano
Naïve / Auvidis 1999 V4848
03 / 145
Reynaldo Hahn Mélodies
Mady Mesplé
Dalton Baldwin, piano
EMI
CDC 7 49840 1989
04 / 145
Reynaldo hahn Intégrale de l'œuvre pour 2 pianos (1)
Huesyin Sermet, piano
Kun Woo Paik, piano
Valois / Audivis V 4658
01-03. Tros préludes sur des airs irlandais - 04-11. Sept berceuses - 12. Caprice mélancolique - 13. Pour bersce un convalescent - 14-25. Le ruban dénoué.
Enregistré à l'auditorium Maurice Ravel en juin 1991.
Reynaldo Hahn avec le docteur Robert Proust, le frère de Marcel Proust.
Jean-Marc Waszawski
31 mars 2003
révision 5 mai 2003
révision 3-12 avril 2005
Révision 20 juillet 2011
Remis en page, révision de l'iconographie et des exemples sonores, 3 septembre 2016.