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Gounod Charles François
1818-1893

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Né à Paris le 17 juin 1818,  mort à Paris 18 octobre 1893.

Son père, François-Louis Gounod (1758-1823) est peintre, sa mère Victoire Lemachois (1780-1858) est professeur de piano.

Il a cinq ans quand son père décède. Jeune, il est attiré par les arts plastiques, les lettres et la musique. Il entre au Lycée Saint-Louis en 1829 et obtient son baccalauréat en 1835. Malgré l'insistance de sa mère en faveur d'études de droit, il décide de devenir musicien.

A Partir de 1838 il suit des cours avec Reicha, Halévy et Lesueur (à la mort de Lesueur en 1737, avec Paër). A la troisième tentative, il obtient le premier Grand prix de Rome en 1839.

Le 5 décembre 1839, il part pour l'Italie en compagnie d'Hector le Fuel, lauréat du Prix de Rome en architecture. Ils arrivent à Rome le 27 janvier 1840, où la Villa Médicis est dirigée par Ingres.

Pendant son séjour, il rencontre Fanny Hensel, la sœur de Félix Mendelssohn,  et Henri Lacordaire, ancien avocat parisien entré en 1840 au couvent des dominicains de Rome (Mineva),  qui œuvre à  la restauration de l'Ordre. Sous son influence, Gounod compose une messe (Messe de Rome) dans le style de Palestrina et un Requiem. La Messe est jouée 1er mai 1841 à l'église Saint-Louis-des-Français à Rome pour la fête du roi Louis-Philippe.

En 1842 il est à Vienne, sa Messe de Rome est jouée à la Karlskirche sous l'autorité du comte Stockhausen qui préside l'active association des amis de la musique (Gesellschaft für Musikfreunde ). A la fin d'avril 1843, il rencontre Mendelssohn à Leipzig.

En 1843, de retour à Paris,  il est directeur de la musique à l'église des Missions-Étrangères, poste qu'il abandonne en mars 1848.

Gounod. Dessin de Ingres, réalisé à Rome en 1844.

En octobre 1847 il entre chez les carmélites et suit les cours du séminaire de Saint-Sulpice. Sa vocation religieuse dure jusqu'en février 1848 ; il est attiré par  le monde de l'opéra. Il écrit dans ses mémoires : Je sentis au bout de quelque temps qu'il me serait impossible de vivre sans mon art et, quittant l'habit pour lequel je n'étais pas fait, je rentrai dans le monde.

Peu connu dans les milieux musicaux, il a l'appui de l'influente Pauline Viardot rencontrée en 1849. Il obtient une commande de l'Opéra pour une œuvre de lever de rideau en deux actes, sur un livret d'Émile Augier, avec Pauline Viardot dans le rôle-titre : Sapho. La partition achevée pendant l'été 1850 (à Courtavenel, chez les Viardot) est un opéra en trois actes, prévu pour occuper toute le soirée.

Ivan Tourguéniev en visite à Courtavel, demande qu'on modifie certains passages. La création à Paris le 16 avril 1851 ne fait pas grand bruit et sa reprise à Londres le 8 août est catastrophique. Dans le «Journal des Débats» des , 21-22 avril 1851, Berlioz écrit : que le trio du second acte est hideux, insupportable, horrible, mais au troisième acte, C'est une large et poétique conception. Si les deux premiers actes étaient égaux en valeur au III. acte, M. Gounod eût débuté par un chef d'œuvre.

Anna Gounod. Dessin de Ingres, 1859, crayon sur Velin.

Le 20 avril 1852 il se marie avec Anna Zimmerman, fille de Pierre-Joseph Zimmerman, professeur au Conservatoire. La même année il obtient une nouvelle commande de l'Opéra ( La nonne sanglante). Le 30 mai 1852, il  est nommé directeur général de l'enseignement du chant dans les écoles de Paris, et directeur de l'Orphéon de la Ville de Paris, société amateur de chant choral pour laquelle il compose plusieurs œuvres dont la Messe aux Orphéonistes, créée sous sa direction à l'église Saint- Germain- l'Auxerrois de Paris en 1853.

La même année il compose la Méditation sur un prélude de Bach qui devient la mélodie la plus célèbre de son temps (connue comme «l'Ave Maria»). De l'avis de Charles Lalo, l'addition indiscrète de Gounod annule les finesses de la polyphonie interne du prélude.

A la fin de l'année 1854, La nonne sanglante est représentée 11 fois avant d'être retirée de l'affiche.

Charles Gounod, Messe solennelle en l’honneur de Sainte-Cécile (1855), I. Kyrie, II. Gloria, III. Credo, IV. Sanctus, V. Benedictus, VI. Agnus Dei, Barbara Hendricks, Jean-Philippe Lafont, Laurence Dale, choeurs de Radio-France et du Nouvel orchestre philharmonique, sous la direction de Georges Prêtre.
Charles Gounod, Symphonie no 1 en re majeur (1855), Allegro molto, Allegretto moderato, Scherzo et Trio, Finale. Orchestra of St. John's, sous la direction de John Lubbock.

En 1855-1856, l'administration de l'Opéra lui offre un nouveau livret d'Henri Trianon et François Hippolyte Leroy, Ivan le Terrible, grand opéra en 5 actes, centré sur l'assassinat de l'empereur russe. Mais la tentative d'assassinat de Napoléon III à l'Opéra en 1858, pousse Alphonse Royer (directeur) à décommander le projet. Gounod réutilise la musique dans La reine de Sabat, Mireille, Faust.

À la même époque il se lie avec les librettistes Barbier et Carré, et ils se lancent dans l'aventure du Faust. Barbier et Carré viennent d'écrire un Faust pour l'acteur Lemaître, Carvalho, le directeur du Théâtre-Lyrique et époux de la cantatrice  Caroline Miolhan, trouve l'idée excellente. Mais au Théâtre Saint-Martin on prépare pour 1857 un Faust à grand spectacle et Carvalho repousse le projet à une date indéterminée alors que la moitié de la partition est achevée. Gounod se tourne vers l'Opéra : pour la même raison, Royer (le directeur) décline l'offre.

Pour la troisième fois Gounod a une crise que Berlioz commente dans une de ses correspondances à Escudier du 8 octobre 1858 : Tu sais sans doute le nouveau malheur qui vient de frapper la famille Zimmermann : ce pauvre Gounod est devenu fou, il est maintenant dans la maison de santé du docteur Blanche, on désespère de sa raison.

En contrepartie du dédit sur Faust, Carvalho accepte un opéra comique d'après le Médecin malgré lui, sur un livret de Barbier et Carré qui est créé le 15 janvier 1858. La pièce est bien accueillie.

Gounod révise la partition de Sapho pour l'Opéra, la reprise de l'été 1858 n'a pas plus de succès que la création.

Bien que le spectacle Faust du théâtre Saint-Martin ait été repoussé à 1858, Carvalho change d'idée, et Gounod se remet à la composition de Faust dont la première a lieu le 19 mars 1859. Les grands éditeurs refusent Faust. Antoine Choudens achète les droits qui font la fortune de sa maison  pour 6 666 francs (Bote & Bock achètent les droits pour l'Allemagne 1 000 francs).

Faust est rapidement l'œuvre la plus populaire du répertoire lyrique international.

Charles Gounod, Faust, ouverture, Orchestre de l'Opéra national de vienne, soud la direction d'Erich Binder.
Charles Gounod, Faust, « Ballade du roi de Thulé », Victoria De Los Angeles, Orchestre de l'Opéra National de Paris, sous la direction d'André Cluytens.

Gounod et ses librettistes reçoivent une commande d'Édouard Bénazet pour un opéra comique en deux actes et quatre solistes d'après Philémon et Baucis de La Fontaine pour le théâtre d'été de Baden-Baden qui sera créé au Théâtre Lyrique le 13 février 1860.

Pour Baden-Baden il compose une œuvre en deux actes, La colombe, d'après La Fontaine.

La Reine de Saba dont la composition débute en août 1861 est créée à L'Opéra le 18 février 1862, c'est un échec qui vaut à Gounod la réputation d'anti-wagnérien.

Il commence l'adaptation de Mirèio ou Mireille de Frédéric Mistral qui l'invite en 1863 en Provence (du 21 mars au 28 mais). En septembre de la même année, sa fille Jeanne vient au monde. Mireille est créée au Théâtre-lyrique le 19 mars 1864. C'est un troisième échec.

Charles Gounod, Mireille, final. Opéra de Paris, 14 septembre 2009, Mireille (Inva Mula), Vincent (Charles Castronovo), Ourrias (Franck Ferrari), Ramon (Alain Vernhes), Taven (Sylvie Brunet), Vincenette (Anne-Catherine Gillet), Andreloun (Sébastien Droy), Ambroise (Nicolas Cavallier), Clémence (Amel Brahim-Djelloul), Le Passeur (Ugo Rabec), Orchestre et chœurs de l'Opéra de Paris, sous la direction de Marc Minkowski.

Réprésentation de Mireille dans les arènes d'Arles (1864).

Vers 1865, il jette les base d'une adaptation de Roméo et Juliette, et part travailler en Provence.

Le 12 mai 1866 il est élu à l'Académie des Beaux-Arts, le 13 août il est officier de la Légion d'honneur.

Roméo et Juliette est créé au Théâtre-lyrique le 27 avril 1867 pendant l'Exposition universelle. Le succès est immédiat et éclipse Don Carlos de Verdi programmé pour l'Exposition.

Influencé par une plasticienne, Marcello, il projette un opéra d'après Dante (L'Enfer), Francesca da Rimini. Suite à une nouvelle crise de dépression, il abandonne le projet, et tente en vain de convaincre Saint-Saëns de composer un ballet pour la représentation de son Faust à L'Opéra (tout opéra devait contenir un ballet).

Il ne prend pas part aux répétitions de la nouvelle version du Faust en raison d'un voyage à Rome qui lui inspire l'oratorio La redemption et un opéra d'après Polyeucte de Corneille.

Le successeur de Royer à la direction de l'Opéra de Paris, Émile Perrin projette de programmer cet opéra, mais aussi Roméo et Juliette. La Guerre franco-prussienne n'en permet pas la réalisation.

Dès la capitulation, Gounod émigre en Angleterre avec sa famille. Il abandonne la composition de Polyeucte au profit de Gallia une élégie biblique et de petites compositions destinées au marché domestique pour l'éditeur Novello.

Il fait la connaissance de Georgina Weldon (1837-1914) chez laquelle il s'installe après avoir décliné l'offre que lui fait  Thiers de remplacer Auber à la direction du Conservatoire, et que sa famille soit revenue à Paris au cours du printemps et de l'été 1871.

Charles Gounod, Marche funèbre d'une marionnette (1872).

Georgina Weldon.

L'activité débordante de Georgina Weldon, soprano, compositrice, activiste pour le droit des femmes, fondatrice d'œuvres de bienfaisance et d'une société chorale, semble avoir mené Gounod au surmenage.

Elle chante en 1872, à Paris les parties solistes de Gallia. En 1874, avec semble t-il bien des difficultés, Gounod la quitte subitement et revient en France, peut-être avec l'aide du docteur Blanche. Il laisse en Angleterre quelques affaires personnelles dont la partition de Polyeucte qu'il recompose de mémoire.

Jugeant avoir été atteinte dans sa réputation, Georgina Weldon séquestre ses affaires personnelles et sur la base des sommes dépensées pour l'entretien, la promotion et la publication des œuvres de Gounod, intente un procès dont l'issue lui est favorable (10 mai 1885).

Gounod entre en possession de la partition originale complète de Polyeucte après l'avoir entièrement re-écrite, il est interdit de séjour en Angleterre. La dernière apparition de Georgina Weldon sur la scène lyrique Londonienne date de 1884.

En mai 1876, Léon Carvalho qui a été nommé à la direction de l'Opéra, et commande un nouvel opéra à Gounod.

Ce sera Cinq-Mars (livret de Paul Poirson et Louis Gallet). La création le 5 avril 1877 à l'Opéra-comique est un échec. Le 4 août de la même année, il est commandeur de la Légion d'honneur et le 21 octobre il inaugure le nouvel orgue Cavallé-Coll de l'église de Saint-Clou.

Le 7 octobre 1878, la première de Polyeucte est un échec. Il a le projet d'un opéra sur la vie d'Abélard et d'Éloïse, en écrit la moitié, puis abandonne au profit du Tribut de Zamora dont la première, le 1er avril 1881 à l'Opéra de Paris est un échec. Gounod renonce à composer de la musique de théâtre.

Le 30 août 1882, à Birmingham il dirige La redemption, qui est un succès.

Le 26 août 1885, interdit de séjour sur le sol anglais, il ne peut assister à la première de Mors et Vita, Birmingham sous la direction de Hans Richter. Le 24 juillet 1887, il dirige sa Messe de Jeanne D'Arc à la cathédrale de Reims. Le 4 novembre 1888 il dirige la 500e représentation de Faust à l'Opéra de Paris.

Charles Gounod, Fantaisie sur l'hymne national russe (1886). Franz Hauk (orgue), Orchestre philharmonique d'Ingolstadt, sous la direction d'Alfredo Ibarra.

Charles Gounod, Concerto pour piano pédalier. I. Allegro moderato, II. Scherzo, III. Adagio ma non troppo, IV. Allegretto pomposo. Roberto Prosseda (piano pédalier), Orchestre Toscanini, sous la direction de Jan Latham Koenig.


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Catalogue des œuvres

Écrits

Bibliographie

Discographie

Gounod
Mors et vita
Barbara Hendricks ; Nadine Denize ; John aler ; José van Dam. Orchestre du Capitol de Toulouse, Michel Plasson dir. Disques Emi Classics, 1992.
Requiem: Sanctus ; Pie Jesu ; Angus Dei ; Epilogus ; Pars Secunda - Judicium: Somus Mortuorum, Preludio ; Tubae ad ultimum judicium ; Ressuretico Mortuorum: Cum autem venerit filius hominis ; Judex: Sedenti in throno ; Judicium electorum: Et congregabuntur ; In memoria aeterna ; Judicium rejectaneorum: Tunc dicet ; Pars tertia - Vita: Visio Sancti Joannis: Et vidi coelum novum ; Jerusalem Coelestis: Et ego joannis ; Sanctus ; Vox magna in Coelo : Et audivi vocem magnam ; Lacrimae, dolor, mors amplius non exstabunt: Et absterget ; Ecce, omnia novata!: Et dixit: qui sedebat in throno ; Ego sum alpha et omega ; Hosanna in excelsis

Charles Gounod
Les sept paroles du Christ sur la croix
Messe brève n° 7 «Aux chapelles»
Symphonie n° 2
Herman Verschraegen, orgue ; Chorale Caecilia (Frans Dubois dir.)  ; Orchestre philarmonique roumain de l'état de Transylvanie (Cluj-Napoca) ; Jean-Louis Petit, dir. Enregistré en 1978. Disque ARION, ARN 68239
Les sept paroles du Christ : 01. Prologue ; 02. Père, pardonnez-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font ; 03. Aujourd'hui même tu seras avec moi dans le Paradis ; 04. Femme, voici ton fils. Voici ta mère ; 05. Mon dieu, mon dieu, pourquoi m'avez-vous abandonné ? ; 06. J'ai soif ; 07. Tout est accompli ; 08. Père, je remets mon esprit entre tes mains — Messe brève : 09. Kyrie ; 10. Gloria ; 11. sanctus ; 12. O Salutatis ; 13. agnus dei — Symphonie n° 2 : 14. Introduction - Adagio ; 15. Larghetto non troppo
16. Scherzo (Allegro molto) ; 17. Finale

Gounod
Requiem en do majeur
Messe n° 2 en sol majeur
Quatuor Sine Nomine ; chœur de chambre roman ; Chorale du Brassus  ; André Charlet dir. Enregistré en 1992. Disques Claves 50 9326, 1993
Requiem (1893) - I Introit and Kyrie ;  Requiem - II Dies Irae ; III Sanctus ; IV Benedictus ; V Pie Jesu ; VI Agnus Dei — Messe n° 2, Op. 1 : I Kyrie eleison ;   II Gloria ; III Credo ; IV Sanctus ; V O salutaris  ; VI Agnus Dei

Roméo et Juliette
O
péra en cinq actes, sur un livret de Jules Barbier et Michel Carré. Première représentation le 27 avril 1867 au Théâtre Lyrique de Paris.
Alfredo Kraus ; Catherine Malfitano ; José van Dam ; Gino Quilico ; Ann Murray ; Gabriel Bacquier ; Jocelyne Taillon ; Charles Burles ; Kurt Ollmann ; Jean-Maris Frémeau ; Roger Trentin ; Gérard Blatt ; Maris-Christine Bruneau ; Marie-Claude Lanot ; Thierry Dran — chœur régional Midi-Pyrénées ; Orchestre National du Capitole de Toulouse ; Michel Plasson dir. Enregistré en 1984. Disque EMI Classics 17 35058 [ 3 volumes]. Argument détaillé sur le site Charles Gounod — Livret : https://www.musicologie.org/ancien/disco/romeo_&_juliette.html

Gounod
Faust
O
péra en cinq actes, sur un livret de Jules Barbier et Michel Carré.
Placido Domingo ; Mirella Freni ; Nicolai Ghiaurov ; Michèle Command ; Jocelyne Taillon ; Marc Vento — Orchestre et chœurs de l'Opéra de Paris? Georges Prêtre dir. Enregistré en 1986. Disque EMO Classics 7 47493 [3 volumes]
Disque 1 :  Introduction ; Rien! en vain j'interroge ; Ah! paresseuse fille ; Mais ce dieu que peut-il pour moi ... Me voici ! ; A moi les plaisirs  ; Vin ou bière ; O sainte médaille ; Avant de quitter ces lieux ; Pardon! ... Hein? ... Le veau d'or ; Merci de la chanson ! ; De l'enfer qui vient emousser nos armes ; Nous nous retouverons mes amis ; Ansi que la brise légère ; Ne permettrez-vous pas ma belle demoiselle. Disque 2 : Faites-lui mes aveux ; C'est ici ? ; Attendez-moi la cher docteur ; Quel trouble inconnu me pénètre ; Salut! demeure chaste et pure ; Alerte! la voilà ! ; Je voudrais bien savoir ... Il etait roi de thulé ; Un bouquet! ... O dieu! que de bijoux ; Sieneur dieu, que vois je ; Dame Marthe Schwerlein, s'il vous plait ? .. Prenez mon bras un moment ; Il etait temps ! Il se fait tard ; Tenez! elle ouvre sa fenetre ... Il m'ame ; Introduction  ; Elles ne sont plus là  ; Marguerite! ... Siebel ! ;  Si le bonheur  ; Seigneur, daignez permettre  ;  Souviens-toi du passe  ; Quand du seigneur ; Disque 3 :  Déposons les armes ; Gloire immortelle ; Allons, siebel ; Vous qui faites l'endormie ; Que voulez-vous messieurs ? ; Par ici, par ici mes amis ; Ecoute-moi bien marguerite ; Dans les bruyères ; Jusqu'aux premiers feux du matin ; Que ton ivresse, o volupté ; Intermezzo ; Va-t'en ; Mon coeur est pénétré ; Ah! c'est la voix du bien ame .. Oui c'est moi, je t'aime ; Alerte, alerte... Anges purs ... Christ est ressuscité ; Les nubiennes ; Adagio ; Danse antique ; Variations de cleopatre ; Les troyens ; Variations du miroir ; Danse de phryne  – Livret : https://www.musicologie.org/ancien/clan/faust.html

Gounod
Messe solennelle de Sainte-Cécile
Barbara Hendricks ; Laurence Dale ; Jean-Philippe Lafont — chœurs de Radio France ; Nouvel orchestre philarmonique ; Georges Prêtre dir. Enregistré en 1984 Disque EMI Classics
7 47094
01. Kyrie ; 02. Gloria ; 03. Credo ; 04. Invocation ; offertoire ; 05. Sanctus ; 06. Benedictus ;
07. Agnus Dei  ;08. Domine Salvum

Gounod
Mireille
Opéra en 5 actes et 7 tableaux, sue un livret de Michel Carré d'après le poème de Frédéric Mistral
Mirella Freni ; Alain Vanzo ; Jane Rhodes ; Gabriel Bacquier ; José van Dam ;  Christine Barbeaux ; Michèle Command ; Marc Vento ; Jean-Jacques Cubaynes — chœur et orchetre du Capitol de Toulouse : Michel Plasson, dir. Enregistré en 1980. Disque EMI Classics 749653 [2 volumes]
Volume 1 : Ouverture ; Acte 1- Chantez, chatez, Magnanarelles ; C'est donc vrai ; Est-elle jeune et belle ; Acte 2- La farandole joyese et folle ; La brise est douce et parfumee ; Place, place aux coureurs ; Eh bien...Mireille, tu nes suis donc pas ; Voici la saison, mignonne ; Que j'epuse et que j'aime un autre que Vincent ; Mon coeur ne peut changer ; Ourrias! Pourquoi fuir si vite a mon approche ; Si les filles d'Arles sont reines ; Adieu!...Permettez-moi de fuir ; Un pere parle en pere ; Acte 3- Voici le Val d'enfer ; Volume 2 : Ils s'eloignent ;  Ah! qui'ai-je fait ; Acte 4- Amis voici la maison faite ; Musette ; Le jour se leve ; Heureux petit berger ; Mireille! Qui m'appelle ; Ah! parle encore! acheve ; Introduction ; Voici la vaste plaine ; Acte 5- O vous qui du haut des cieux ; Mon coeur est plein d'un noir souci ; Ah! la voici! c'est elle rgument sur le site Charles Gounod.

Jean-Marc Warszawski
2005
Révision de la miuse en page et de l'iconographie 19 octobre 2017


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Lundi 25 Décembre, 2023