Vincent d'Indy
1851-1931
Paul Marie Théodore Vincent/
Né à Paris 27 mars 1851, mort à Paris 2 décembre 1931.
Issu d'une famille de possédants, d'aristocrates et de militaires, il garde tout au long de sa vie les habitudes, positions sociales et politiques de sa classe. Son fils Jean sera colonel. L'un de ses oncles, Saint-Ange Wilfrid d'Indy (1821-...) étudie la musique à Paris. Ses compositions sont jouées au Conservatoire et dans les salons parisiens.
Sa mère décède des suites de l'accouchement et son père se remarie en 1855. Il est en grande partie élevé par sa grand-mère, Rézia (Thérèse) d'Indy, pianiste amateur, élève de J. Peter Pixis, Jean-Louis Adam et Kalkbrenner. Elle lui donne ses premières leçons de musique.
Il est ensuite l'élève 1862 à 1865 de Louis Diémer pour le piano. A partir de 1864, il suit des cours d'harmonie avec Albert Lavignac. La même année il fait un voyage en Afrique du Sud et visite le manoir familial du Chabret à Boffres en Ardèche. Il fait y la connaissance de sa cousine Isabelle de Pampelonne.
En 1865, la famille déménage au no 7 de l'avenue de Villars (près des Invalides à Paris), où il vécut toute sa vie.
La même année il voyage dans le Nord de la France, en Belgique, à Aachen (Aix- la- Chapelle) et Cologne.
En 1867, Lavignac le dirige sur des études d'instrumentation et son oncle Saint-Ange Wilfrid lui fait connaître le traité d'instrumentation de Berlioz.
Il fait la connaissance de Ellie Mac Swiney, sa voisine qui épousera Henri Duparc en 1871 et découvre avec eux les partitions de Wagner et de Liszt.
Il commence la mise en musique des Burgraves de Robert de Bonnières (1850-1905).
En 1869 il passe les épreuves du baccalauréat et voyage en Italie, au Tyrol et en Suisse.
Il compose ses premières œuvres, les Quatre romances sans paroles, Angoisse, La Chanson des aventuriers de la Mer.
Il est engagé volontaire pendant la guerre de 1870. En 1871-1872, il suit des cours de droit.
Sur les conseils de Duparc, il montre ses compostions à César Franck qui le prend comme élève pour le fugue et la composition. En 1873, il suit sa classe d'orgue au Conservatoire de Paris.
En 1873, il est à Cologne, Eisenach, visite Liszt à Weimar, Brahms à Tützing, il se rend également à Nürnberg et à Bayreuth où il lui est permis d'observer Wagner de dos par l'entrebâillement d'une porte, il est à Leipzig, Dresden, Wien, Linz, Salzburg et München
Au conservatoire, il obtient le second accessit d'orgue en 1874 et le premier en 1875. Il quitte alors l'institution.
Jusqu'en 1878, il tient les orgues de Saint-Leu-la-Forêt, est timbalier remplaçant à l'Opéra-Comique, chef de choeurs et timbalier aux Concerts Colonnes. Dans le même temps il fait de nombreux voyages en Suisse et en Allemagne.
En 1876, il es de nouveau en Allemagne où il assiste à la troisième représentation du Ring au théâtre de Bayreuth. Il en fait un compte-rendu enthousiaste. La même année il est secrétaire de la Société Nationale de Musique.
En 1882, il crée à l'Opéra-Comique sa première œuvre lyrique, Attendez-moi sous l'orme. En 1885 il reçoit le Grand Prix de composition de la ville de Paris pour son poème dramatique Le Chant de la Cloche.
Autour du piano, tableau de Henri Latour, 1885 :
Emmanuel Chabrier au piano. De gauche à droite : Adolphe Jullien (critique), Boisseau (violoniste à l'Opéra), Camille Benoit (historien d'art), Edmond Maitre (érudit), Lascoux (magistrat), Vincent d'Indy, A. Bigeon (romancier et critique) (Musée d'Orsay)
En 1890, Après la mort de César Franck, il est élu président de la Société Nationale de Musique
En 1891 il crée son Quatuor à cordes. En 1892, il est membre de la commission chargée de réformer le conservatoire (sa contribution est publiée). La même année il reprend la classe de composition de Guiraud au Conservatoire. Il est Chevalier de la Légion d'honneur.
En 1894 il soutient la candidature de Guy Ropartz à la direction du Conservatoire de Nancy, mais lui-même n'obtient pas le poste qu'il brigue à l'Institut.
En 1895 il entreprend de nouveaux voyages soit pour préparer des concerts, soit pour y diriger. Il est à Barcelone et à Bruxelles en 1895, Aux Pays-Bas, à Bilbao, Biarritz, Montreux et Karlsruhe en 1896. Le 15 octobre il inaugure, rue Stanislas à Paris, la Schola Cantorum avec Charles Bordes et Alexandre Guilmant. La même année il est commandeur de l'Ordre de Charles III d'Espagne.
En 1897, il créé l'opéra Fervaal qui rompt avec l'imitation de la musique de Wagner et veut affirmer une particularité musicalement nationale.
Le 2 novembre 1900, la Schola Cantorum déménage rue Saint-Jacques. A cette occasion, il prononce son célèbre discours L'art n'est pas un métier :
L'Art n'est pas un métier ... Une école d'Art ne peut pas et ne doit pas être une école professionnelle ... Il faudrait bien se garder de croire en effet que, pour être musicien, il suffise de savoir jouer, même très bien, d'un instrument ou de pouvoir écrire très correctement une fugue ou une cantate. Ces études font évidemment partie de l'enseignement musical, mais elles ne constituent point l'art; j'oserai même dire que, pour celui qui s'arrête à ce degré d'instruction sans chercher l'art véritable, les connaissances acquises deviennent d'autant plus pernicieuses qu'il s'imagine être suffisamment armé pour produire ou interpréter de grandes œuvres ... Là où finit le métier, l'Art commence. Et c'est alors que la tâche des professeurs sera, non plus d'exercer les doigts, le larynx, l'écriture des élèves, de façon à leur rendre familier l'outil qu'ils auront à manier, mais de former leur esprit, leur intelligence et leur coeur, afin que cet outil soit employé à une besogne saine et élevée, et que le métier acquis puisse contribuer à la grandeur et au développement de l'art musical.
En 1903, il est chevalier du roi Léopold de Belgique et correspondant de l'Institut des Beaux Arts de Belgique.
Pendant l'affaire Dreyfus, il prend le parti des antisémites et avec Maurice Barrès, adhère à la Ligue de la Patrie Française.
De 1904 à sa mort, il dirige la Schola Cantorum.
Vincent Indy, André Messager et autres.
En 1905, il entreprend une tournée aux états-Unis à la tête de l'Orchestre symphonique de Boston, qui interprète des œuvres de César Franck, Gabriel Fauré, Claude Debussy, Paul Dukas, Ernest Chausson et d'AlberiVincent d'c Magnard.
Son épouse décède le 19 décembre 1905, peu après son retour en France. Il milite dès lors contre ce qu'il juge être la décadence, la musique contemporaine en France et en Allemagne et profite de la biographie consacrée à César Franck (1906) pour développer ses idées gothiques.
De 1906 à 1922, il est membre du jury du Conservatoire de Lyon.
Le château des Faugs.
Le cabinet de travail de Vicent d'Indy.
Le 29 février 1908, il donne un concert à Moscou.
Vincent d'Indy chef d'orchestre.
Il prépare la représentation de d'Hippolyte et Aricie de Jean-Philippe Rameau à l'Opéra de Paris, étudie la messe en si de Johann Sebastian Bach, compose le premier brouillon de la Légende de St Christophe.
En 1912 il est officier de la légion d'honneur.
Pendant la guerre de 1914-1918, il reste à Paris et fait connaissance de la pianiste Caroline Janson, qui devient son élève et en 1920 sa seconde épouse.
Il fait construire à Agay, au bord de la Méditerranée une résidence estivale.
Il est aussi membre de l'Académie royale d'Angleterre, de la Maatschappij tot Bevordering der Toonkunst (Société pour la promotion de la musique) en Hollande et de la commission pour l'enseignement de la musique de la ville de Paris.
Catalogue des œuvres
- 1869, Quatre Romances sans paroles pour piano (op. 1) [éd. 1869 Colombier ; nouvelle édition sans la quatrième Romance sous le titre «Trois romances pour piano» 1894 Loret & Freytag, puis Schott]
- 1869-1872, Les Burgraves du Rhin sur un texte de R. de Bonnières, opera [inachevé]
- 1870-1872, Symphonie en la majeur [inédite]
- 1871, Angoisse sur un poème de F. Bazenery pour chant et piano [éd., 1871 Colombier]
- 1872, Au Galop sur un poème de R. de Bonnières pour chant et piano [inédit ; recyclé sour le titre «La Chevauchée du Cid» (op. 11) scène mauresque Baryton, Choeur et piano, le 29 avril 1876 à la Société Nationale de Musique et dans une version pour orchestre le 3 février 1884 aux Concerts Colonne [éd. 1876 Hamelle]
- 1874, Ouverture des «Piccolomini», créée la 25 janvier 1874 aux Concerts Pasdeloup à Paris [éd. Durand & Schoenewerk]
- 1875-1786, Jean Hunyade (opus 5), symphonie, premier mouvement joué le 15 mai 1875 et les 3 suivants le 1 avril 1786 à la Société Nationale de Musique [inédit]
- 1876, Attente sur un poème de V. Hugo pour chant et piano (op. 3) créé à la Société Nationale de Musique [éd. 1876 Hamelle]
- 1877, Antoine et Cléopâtre (op. 6), ouverture d'orchestre, créée le 4 février 1877 aux Concerts Pasdeloup à Paris [inédit]
- 1878, Quatuor en la mineur avec piano (op. 7) créé le 28 décembre 1878 [éd. 1878 Durand]
- —, Axel [inachevé ; le livret achevé est recyclé pour Fervaal]
- —, La Forêt enchantée (op. 8) ballade symphonique, créée le 24 mars 1878, aux Concerts Pasdeloup [éd. 1878 Heugel]
- 1880, Petite Sonate pour piano dans la forme classique (op. 9) [éd. 1880 Hamelle]
- —, Plainte de Thécla sur un poème de R. de Bonnières pour chant et piano (op. 10) [éd. 1880 Hamelle]
- 1880-1887, Wallenstein (d'après Schiller ; op. 12) 3 ouvertures symphoniques. La n° 1 créée le 12 avril 1880 à la Société Nationale de Musique ; la n° 2 le 26 mars 1887, à la Société Nationale de Musique ; la n° 3 le 11 avril 1880 aux Concerts Pasdeloup, création des 3 numéros en un concert le 26 février 1888 aux Concerts Lamoureux [éd. 1888 Durand]
- 1881, Poème des montagnes (op. 15), poème symphonique pour piano [éd. 1881 Hamelle]
- 1882, Attendez-moi sous l'orme opéra comique en 1 actes sur un livret de R. de Bonnières d'après Regnard (op. 14), créé le 11 février 1882 à l'Opéra-Comique [éd. 1881 Enoch]
- —, Quatre pièces pour piano (op. 16) [éd. 1882 Hamelle]
- 1883, Clair de Lune sur un poème de Victor Hugo (op. 13), étude dramatique pour soprano et orchestre, créée le 23 avril 1883, à la Société Nationale de Musique [éd. 1883 Hamelle]
- 1884, Helvétia (op. 17), 3 valses pour piano, créées ) la Société Nationale de Musique [éd. 1884 Hamelle]
- —, L'Amour et le Crâne sur un poème de Charles Baudelaire pour chant et piano (op. 20) [éd. 1884, Loret & Freytag ; 1892, Schott]
- 1885, Le chant de la Cloche sur un texte de Vincent d'Indy (op. 18), poème dramatique, prologue et sept tableaux pour solistes, double chœur et orchestre (Grand Prix de composition de la ville de Paris 1885) créé le 25 février 1886 aux Concerts Lamoureux [éd. 1885 Hamelle]
- —, Sauge fleurie (d'après un poème de R. de Bonnières ; op. 21) poème musical pour orchestre, créé le 25 janvier 1885 aux Concerts Lamoureux [éd. 1885 Hamelle]
- —, Lied pour violoncelle et orchestre (op. 19), créé le 18 avril 1885 à la Société Nationale de Musique [éd. 1885 Hamelle]
- —, Sainte Marie-Madeleine (op. 23), cantate soprano, choeur féminin, piano et Harmonium [éd. 1885, Bruneau puis J., Durand]
- 1886, Nocturne en sol dièse majeur (op. 26) [éd. 1887 Hamelle]
- 1887, Promenade pour piano (op. 27) (1887, créée à la Société Nationale de Musique [éd. 1887 Hamelle]
- —, Suite en ré dans le style ancien pour trompette, 2 flûtes et orchestre de cordes (op. 24) créée à la Société «La Trompette» et le 5 mars 1887 à la Société Nationale de Musique [éd. Hamelle 1887]
- —, Schumanniana pour piano (op. 30) 3 numéros [éd. 1887 Hamelle]
- —, Madrigal sur un poème de R. de Bonnières pour chant yet piano (op. 4), créé le 16 avril 1887 à la Société Nationale de Musique [éd. 1887 Hamelle]
- —, Symphonie sur un chant montagnard français pour orchestre et piano, créée le 20 mars 1887 aux Concerts Lamoureux à Paris [éd Hamelle 1887]
- 1888, Trio pour piano, clarinette et violoncelle (op. 29) créé le 7 janvier 1888 à la Société Nationale de Musique [éd. 1888 Hamelle]
- —, Fantaisie sur une danse populaire française pour hautbois et orchestre (op. 31), créée le 23 décembre aux Concerts Lamoureux 1888 [éd. 1888 Durand]
- 1889, Sérénade et Valse pour petit orchestre ( op. 28), créé en 1889 aux Concerts d'Angers [éd. 1898 Hamelle]
- 1889, Tableaux de Voyage (op. 33), 13 pièces pour piano [éd. 1889 Leduc]
- —, Sur la mer (op. 32), chanson française, créée le 19 février 1889 à Bruxelles [éd. 1889 Hamelle]
- 1891, Tableaux de Voyage (op. 33) suite d' orchestre en 6 parties, créée le 17 janvier 1892 au Havre [éd. 1891 Leduc]
- —, Premier Quatuor à cordes en ré majeur op. 35, créé aux Concerts Isaÿe à Bruxelles et le 4 avril 1891 à la Société Nationale de Musique [éd. 1891 Hamelle]
- —, Karadec (op. 34), musique de scène pour le drame d'Arsène Alexandre, créé le 2 mai 1891 à la Société Nationale de Musique, sur scène en 892 au Théâtre Moderne à Paris [éd. 1891 Heugel]
- 1892, Chansons populaires recueillies dans le Vivarais et le Vercors par Vincent d'Indy [classées et annotées par Julien Tiersot «28 chansons» dans la « Revue des traditions populaires», 15 janvier et 15. février 1892 [éd. 1892 Heugel]
- 1893, Pour l'inauguration d'une statue (op. 37), cantate pour baryton soliste, chœur masculin orchestre, créée en 1893 à Valence pour les fêtes en l'honneur d'Emile Augier [inédit]
- 1894, L'art et le Peuple sur un poème de V. Hugo (op. 39) pour chœur à 4 voix masculine, créé en 1894 à Lyon, au «Concours orphéonique de l'Exposition» [éd. 1894 Hamelle]
- 1897, Lied maritime pour chant et piano (op. 43) créé le 15 février 1897, au conservatoire de Nancy, et le 2 avril 1897, à la Société Nationale de Musique [éd. 1897, Rouart-Lerolle]
- —, Ode à Valence (op. 44), chant pour soprano, chœur masculin et orchestre, créée en 1897 à Valence, pour l'accueil du président Felix Faure [inédit]
- —, Istar (op. 42) variations symphoniques pour orchestre d'après un poème assyrien, créées le 10 janvier 1897 aux Concerts Ysaÿe de Bruxelles et le 16 janvier 1898 aux Concerts Colonne de Paris [éd; 1897 Durand]
- —, Fervaal sur un texte de Vincent d'Indy (op. 40), en 1 prologue et 3 actes. Créé le 12 mars 1897 au Théâtre de la Monnaie à Bruxelles et le 10 Mai 1898 à l'Opéra-Comique de PAris [éd. 1896 Durand]
- Fervaal, troisième scène du second acte.
- 1898, Deuxième Quatuor à cordes en mi majeur (op. 45), créé le 5 mars 1898 à la Société Nationale de Musique [éd. 1898 Durand]
- —, Médée (op. 47), musique de scène pour le drame de Catulle Mendès, créé le 28 octobre 1898 au Théâtre de la Renaissance [éd. 1898 Durand]
- —, La première dent sur un poème de J. de La Laurencie (op. 48), berceuse pour Mezzosoprano et piano [éd. 1898, Durand]
- 1899, Chansons et Danses (op. 50), Divertissement pour vents (flûte, hautbois, 2 clarinettes, cor et 2 bassons) créées le 7 mars 1899 à la Société des Instruments à vent [éd. Durand 1899]
- 1900, Chansons populaires du Vivarais (op. 52), arrangées et harmonisées pour chant et piano [éd. 1900 Durand]
- 1903, Choral varié pour saxophone et orchestre (op. 55) [éd. Durand 1903]
- —, Six Chansons anciennes du Vivarais, harmonisée et transcrites par Vincent d'Indy [Fac-simile, Au Pigeonnier, Saint Félicien en Vivarais 1926 ; Chansons populaires du Vivarais (op. 101) , 1936, Durand]
- —, Marche du 76ème Régiment d'Infanterie (op. 54)
- —, L'Etranger sur un texte de Vincent d'Indy (op. 53), œuvre scènique en deux actes, créé le 7. janvier 1903 au Théâtre de la Monnaie à Bruxelles et le 4 décembre 1903 à l'Opéra de Paris [éd. 1902 Durand]
- —, Mirage sur un poème de P. Gravolet pour Mezzosoprano et piano (op. 56) [éd. 1903 Hamelle]
- 1904, Petite chanson grégorienne pour piano à 4 mains (p. 60) [dans «Album pour petits et grands» 1904, Schola Cantorum]
- —, 2ème Symphonie en si bémol majeur (op. 57), créée le 28 février 1904 aux Concerts Lamoureux à Paris [éd. 1904 Durand]
- —, Les yeux de l'Aimée sur un poème de Vincent d'Indy pour chant et piano (op. 58) créé le 3 février 1912 à la salle Pleyel [éd. Milan 1904, Gramophone Michaelis]
- 1905, Sonate en do majeur pour clarinette et violon (op. 59), créée la 3 février 1905 [éd. Durand]
- 1906, Jour d'été à la Montagne (op. 61), triptyque symphonique, créé le 18 février 1906 aux Concerts Colonne à Paris [éd. Durand 1906]
- 1907, Souvenirs (op. 62), poème symphonique à «la mémoire de la bienaimée» créé le 20 avril 1907 à la Société Nationale de Musique [éd. Durand 1907]
- —, Vocalise en mi majeur pour chant et piano (op. 64) [éd. Collection Hettich II, 1907, Leduc]
- 1908, Sonate en mi majeur pour piano (op. 63) créée le 25 janvier 1908 à la salle Pleyel, Parios [éd. 1907 Durand]
- 1909, Menuet sur le nom de Haydn pour piano (op. 65) [éd. 1909 Revue Société Internationale de Musique]
- —, Gai Soleil sur un poème de Vincent d'Indy pour chœur et canon à deux voix [éd. dans le supplément de la Revue Musicale du 15 octobre 1909]
- 1911, Rondino, pour 4 trompettes. Réstitution par Jean-Louis Couturier.
- 1918, Sept chants de Terroir pour piano à 4 mains (op. 73) {éd. 1918 Rouart-Lerolle]
- —, Sarabande et menuet (op. 72) Re-utilisation de la suite en ré majeur pour flûte, hautbois, clarinette, cor et basson [éd. Durand 1918]
- —, Cent Thèmes d'harmonie et réalisations (op. 71) [éd. 1918 Roudanez]
- —, Le Rêve de Cinyras sur un texte de X. de Courville (op. 80) comédie musicale en 3 actes, créé, la 10 juin 1927 à la La Petite Scène [éd. 1918 Rouart-Perolle]
- 1919, Sinfonia brevis de bello gallico (op. 70), créée en mai 1919 à la Société Nationale de Musique [éd. 1919 Rouart-Lerolle]
- —, Pour les enfants de tous âges (op. 74) trois tomes d'exercices pour le piano [éd. 1919 Rouart-Lerolle]
- 1920, La Légende de Saint-Christophe sur un texte de Vincent d'Indy (op. 67) drame religieux en 1 prologue, 3 actes et 7 tableaux créée le 9 juin 1920 à l'Opéra de Paris [éd. 1918 Rouart-Lerolle]
- —, Veronica (op. 76) musique de scène pour la pièce de Charles Gos [inédit]
- 1921, Poème des rivages (op. 77) suite symphonique en 4 parties, créée le 1 décembre 1921 à New York et le 26. février 1922 aux Concerts Colonne à Paris [éd. Touart-Lerolle 1921]
- 1924, Trois Chansons populaires françaises pour chœur a capella (op. 82) [éd. Rouart-Lerolle]
- 1925, Quintette pour piano, 2 violon, alto et violoncelle (op. 81), créé le 2 mai 1925 à la Société Nationale de Musique [éd. 1925 Sénart]
- 1926, Thème varié, fugue et chanson (op. 85) créés le 5 mars 1926 [éd. 1926 Rouart-Lerolle]
- —, Diptyque méditerranéen (op. 87) pour grand orchestre, créé le 5 décembre 1926 à la Société des Concerts du Conservatoire [éd. Rouart_Lerolle 1926]
- —, Contes de Fée (op. 86), Suite pour piano (éd. 1926 Rouart-Lerolle]
- —, Sonate en ré majeur pour violoncelle et piano (op. 84), créée le 5 mars 1926 à la Salle des Agriculteurs à Paris [éd. 1926 Rouart-Lerolle]
- 1927, Concerto pour piano, flûte, violoncelle et orchestre de cordes (op. 89), créés le 2 avril 1927 à la Société Nationale de Musique [éd. 1927, Rouart-Lerolle]
- —, Six chants populaires français pour chœur à capella (op. 90) [éd. 1927 Rouart-Lerolle]
- 1928, Madrigal à deux voix sur un poème de Charles d'Orléans pour Sopranon et violoncelle (op. 94) [éd. 1928 Heugel]
- —, Le bouquet de Printemps (op. 93), chant pour voix égales à capella [éd. 1928 Rouart-Lerolle]
- —, Six paraphrases pour piano sur des chansons enfantines (op. 95) [éd. 1928, Heugel]
- 1929, Sextuor pour 2 violon , 2 altos. et 2 violoncelles (op. 92), créé le 26 janvier 1929 à la Société Nationale de Musique [éd. 1929 Heugel]
- —, Les Trois fileuses (op. 97), chœur à trois voix égales [éd. 1929 Billaudot]
- 1930, Six chants populaires français pour choeur à capella (op. 100) [éd. Rouart-Lerolle}
- —, Trio en sol majeur pour piano, violon et violoncelle (op. 98) créé le 11 janvier 1930 à la Société Nationale de Musique [éd. 1930, Rouart-Lerolle]
- —, Troisième Quatuor à cordes en ré dièse majeur (op. 96), créé le 12 avril 1930 à la Société Nationale de Musique [éd. 1930 Heugel]
- —, Suite pour flûte, violon, alto, violoncelle et harpe (op. 91), créé le 17 Mai 1930 à la Société Nationale de Musique [éd. 1930, Rouart- Lerolle]
- 1931, Chanson à deux voix pour soprano et baryton en forme de canon (op. 102) [inédit].
- —, Chant de Nourrice (op. 103), choeur pour 3 gleiche St. (1931), [inédit].
—, Le Forgeron (op. 104), choeur pour 3 voix mixtes et quatuor de cordes [inédit]
- —, Fantaisie sur un vieil air de ronde française (op. 99) créée le 28 mars 1931 à la Société Nationale de Musique [éd. 1931 Heugel]
- —, La Vengeance du Mari (op. 105), Chanson pour 3 voix solistes avec choeur et orchestre [inédit]
- sd., Treize pièces brèves pour piano (op. 68) pour l'examen de la classe de piano de la Schola Cantorum [éd. sd. Editions Henn]
- sd., Douze petites pièces faciles (op. 69) pour l'examen de la classe de piano de la Schola Cantorum [sd. Editions Henn].
-
BENOIT C., La mort de Cléopâtre, scène dramatique pour soprano et orchestre. Transcription pour chant et piano [éd. sd. Bornemann]
- CASTILLON A. DE, Concerto pour piano et orchestre. Transcription d'es parties d'orchetre pour deux pianos [éd. sd. Fromont]
- CATEL, Les Bayadères, opéra en 3 actes. Transcription pour piano et chant [éd. 1880, Michaelis]
- CHAUSSON ERNEST, Chant funèbre (op. 28), Chor f. 4 Frauenst. m. Kl., instrumentiert v. V. d'Indy, o. J., Rouart-Lerolle
- CHAUSSON ERNEST, Viviane (op. 5) poème symphonique. Transcription pour piano à quatre mains [éd. sd. Bornemann]
- DESTOUCHES, Musique pour les Soupers du Roy pour orchestre. Révision [inédit]f. Orch. einger., unveröff.
- DESTOUCHES, Les Eléments ( Ballet du Roy). Transcription pour piano et chant [éd. 1882 Michaelis]
- DESTOUCHES, Oenone, cantate pour vois de soprano. Révision, créé vers 1892 aux Concerts des Champs-Elysées [inédit]
- DUPARC HENRI, La Vague et la Cloche pour chant et orchestre. TRanscription pour piano et chant [éd. sd. Rouart-Lerolle]
- GOLDSTEIN, Petite sérénade pour piano. Instrumentzation [éd. sd. J., Hamelle]
- JANNEQUIN, Le Siège de Metz. Orchestré pour chœur féminin avec accompagnement d'orgue [éd. sd. Rouart-Lerolle]
- LASSEN E., Avec tes yeux, mignonne pour piano et chant. Transcription pour piano 4 mains [éd. sd. Hamelle]
- LASSEN E., Enivrement du coeur pour piano et chant
- LEJEUNE CLAUDE, Deux choeurs a capella. Orchestré pour chœur féminin avec accompagnement d'orgue [éd. sd. Rouart-Lerolle]
- MONTEVERDI, Le Couronnement de Poppée. Transcription moderne à partir des éditions d'époque [éd. sd. Schola Cantorum]
- MONTEVERDI, Orfeo. Transcription moderen à partir de l'édition de 1607 [éd. sd. Schola Cantorum]
- RAMEAU JEAN-PHILIPPE, Zaïs. Révision d ela paretie d'orchestre et réduction pour piano [tome XVI des œuvres complètes, sd. Durand]
- RAMEAU JEAN-PHILIPPE, Dardanus. Révision de la paretie d'orchestre et réduction pour piano [tome X des œuvres complètes, 1906 Durand]
- RAMEAU JEAN-PHILIPPE, Hippolyte et Aricie. Révision de la paretie d'orchestre et réduction pour piano [tome VI des œuvres complètes, sd. Durand],
- ROSSI S., Cantiques. Trascription d'un choix de madrigaux d'après les éditions de Venise 1600-1607 [éd. 1877 Naumbourg]
- RUBINSTEIN A., Mélodie en fa majeur op. 3 n° 1 pour piano. Instrumentation [éd. sd. Hamelle]
- RUST F. W., Douze sonates pour piano. Transcription avec quelques révisions [éd. 1914 Rouart-Lerolle].
- SENAILLé, Sonates pour piano et violon. Révisionf. [éd. sd. Durand]
- SVENDSEN J., Le bouleau et l'Etang et Quel prodige, O jeune fille accorte, 2 chants avec accompagnement de piano. Transcription pour piano à quatre mains [éd. sd. Hamelle]
écrits
- A propos du Déserteur de Monsigny. Dans «Le Figaro» 19 septembre 1892
- A propos de Pelléas et Mélisande.Dans «L'Occident», juin1902
- Beethoven, Henri Laurens 1911
- Carmen. Dans «Art du Théâtre» (49) décembre 1905
- Ce que boivent les savants. Dans «La Revue», 1er janvier 1908
- César Franck, le premier des Symphonistes français. Dans «The Weekly Musical Review» 5 mars 1903
- César Franck [discour du 23 octobre 1904 pour l'inauguration du monument à la mémoire de César Franck à Paris]. . Dans «Le Courrier musical», 4 novembre 1904
- César Franck. Alcan 1906
- Charles Bordes. Dans «Tablettes de la Schola», novembre 1909
- Comment on fait une sonate [conférence du 15 janvier 1904 à l'Ecole des Hautes Etudes Sociales]
- Confidences d'hommes arrivés. Dans «La Revue», 15 mars 1904
- Contre les quinze mille francs. Dans «Comoedia», 26 janvier 1926
- Cours de Composition musicale [3 v.]. Paris, Durand. 1903 / 1909 / 1933 (ordre de parution des tomes),
- De Bach à Beethoven [Conférence à l'Institut Catholique de Paris [Chola Cantorum 1899]
- De la sophistication de l'oeuvre d'art. A propos d'Iphigénie en Aulide à l'Opéra-Comique. Dans «Comoedia», 28. décembre 1907
- Discours de rentrée à la Schola. Dans «La Tribune de St Gervais», novembre - décembre 1901
- Du sort de la musique religieuse en France devant les lois actuelles [préféce à l'oeuvre de Charles BOrdes]. Schola Cantorum 1905
- Emmanuel Chabrier [conférence du 13 février 1921 aux Petits Concerts de Lyon]
- Emmanuel Chabrier et Paul Dukas, Heugel 1920
- Encore quelques mots sur la sonate [réponse à Jean Huré]. Dans «Le Courrier musical»1er novembre 1917
- Ernest Chausson. Dans «La Tribune de St Gervais», septembre 1899
- Esthétique. Dans «Le Courrier musical», 15 janvier 1917
- Evolution symphonique. Dans «Le Figaro» 14 septembre 1900
- Faut-il diriger par cœur ? Dans «Revue musicale de Lyon», 4 février 1906
- Franz Liszt en 1873. Dans «La Revue Musicale» (Société INternationale de Musique) 15 novembre 1911
- Gabriel Fauré. Dans «Tablettes de la Schola», novembre 1924
- Hippolyte et Boris. Dans «Comoedia», 28 mai 1908
- Hippolyte couronné de Jules Bois [lettres polémiques] Dans «Comoedia», 28 décembre 1907 - 18 janvier 1908
- Histoire du 105ème Bataillon de la Garde Nationale de Paris, en l'année 1870 - 1871 par un engagé volontaire dudit bataillon, âgé de dix-neuf ans. 1872 Douniol.
- Hommage à Guilmant. Dans «Tablettes de la Schola» mai 1921
- Impressions d'Amérique. Dans «Le Courrier musical» février 1922
- Impressions d'enfance et de jeunesse. Dans «Les Annales», 1er et 15 Mai 1930
- Introduction à l'étude de Parsifal, de Wagner. Mellottée 1937 [édition partielle]
- Jeunes Musiques. Dans «L'Art Moderne», Bruxelles 23 décembre 1900
- La Critique dramatique française. Dans «Revue d'art dramatique» 20 février 1899
- La disposition de l'orchestre de l'Opéra. Dans «Comoedia», 14 octobre 1907
- La musique en 1814 [conférence du 10. mars 1914]. Dans «La Revue Hebdomadaire» 14 mars 1914
- La Musique à travers les âges. [conférence du 14 février 1904 à l'Ecole Sainte Geneviève]
- La Musique allemande. Dans «Boston Evening Transcript», novembre 1906
- La musique moderne italienne. Dans «Comoedia», 31 janvier 1910
- La Musique religieuse et la Schola. Dans «Le Guide Musical» 18 avril 1897
- La place de Charles Bordes dans l'enseignement musical. Dans «La Tribune de St Gervais», décembre 1909
- La prononciation du latin [discussion entre Saint-Saëns et d'Indy]. Dans «Tablettes de la Schola» , juin1912
- La prononciation du latin. Dans «Revue des Jeunes», 1921
- La question grégorienne en Allemagne. Dans «La Tribune de St Gervais». juillet - août 1901
- La question religieuse. Dans «Mercure de France», janvier 1908
- La Sonate [conférence à la Schola Cantorum vers 1901].. Dans «Le Courrier musical»1er mars 1902
- La Sonate [conférence du 10 mai 1907 au Havre]
- La Suite instrumentale (Scarlatti, Rameau, Bach) [conférence du , 10 mars 1903 à la Libre Esthétique de Bruxelles]
- L'Art du Chant. Dans «Musica», août 1906
- L'art en place et à sa place. Dans «La Tribune de St Gervais», septembre - décembre 1897 et janvier - mars 1898
- L'art spiritualiste [conférence du 18 février 1914 à la Société Palestrina de Paris]
- L'artiste moderne [conférence du 5 décembre 1901 à la Schola Cantorum]. Dans «L'Art Moderne», Bruxelles, novembre 1901 (Revue Musicale de Lyon, 10. mars 1907]
- L'Avenir de la musique française. Dans «Excelsior», octobre 1912
- Le cas Rust. Dans «Le Temps» avril 1913 (repris dans «Le Guide Musical», 27 avril 1913)
- Le Centenaire de Franck. Dans «Tablettes de la Schola» janvier 1923
- Le décennaire de la Schola, rue Saint Jacques. juin1910
- Le Luth [conférence du 1er mai 1912 à la Salle Pleyel]
- Le public et son évolution. Dans «Comoedia», 1er octobre 1923
- Le sifflet au concert. Vannes, 1904
- Le Théâtre lyrique. Dans «Le Guide Musical» 14 février 1897
- Le Virtuose. Dans «Le Monde Musical», juin1925
- L'éducation artistique du public contemporain. Dans «La Plume», 1903
- Les Concerts de la Schola. Dans «Le Guide Musical» 3 janvier 1904
- Les Concours du Conservatoire. Dans «L'Art Moderne», Bruxelles, septembre 1903
- Les deux messes solennelles. Dans «Tablettes de la Schola» 1910
- Les droits du compositeur et du librettistet. Dans «Musica», février 1909
- Les élèves de César Franck [conférence du 26 mars 1922 aux Petits Concerts de Lyon]
- Les laissés- pour-compte de la musique. Dans «Le Figaro», 14 septembre 1895
- Les Orphées musicaux. Dans «Tablettes de la Schola», avril 1909
- Les répétitions générales. Dans «Revue d'art dramatique», janvier 1901
- Les trois styles de Beethoven. Dans «Durendal», Bruxelles avril 1903
- L'état actuel de la musique française. Dans «La Revue bleue», 26 mars et 2 avril 1904
- L'Etranger [Interview]. Dans «L'Intransigeant», 5 décembre 1903
- Lettre sur les représentations de Lohengrin à Paris. Dans «L'Artiste», Bruxelles, 15 Mai 1887
- Lettre sur Lohengrin. Dans «Revue Wagnérienne», 1887
- Lettre ouverte à Arthur Honegger. Dans «Comoedia», 25 février 1928
- L'évolution de la musique moderne. Dans «Tablettes de la Schola» novembre ; décembre 1923
- Librettistes et musiciens. Dans «Paris», 21 octobre 1895
- L'Influence allemande. Dans «Mercure de France» janvier 1903
- L'Institut et le Prix de Rome. Dans «Le Figaro» 28 octobre 1895
- L'Institut jugé par ceux qui n'en sont pas. Dans «Le Figaro», 1er décembre 1895
- L'Institut. Dans «Le Temps» 24 octobre 1912 (repris dans «l'Echo de Paris»)
- L'oeuvre de piano de César Franck. Dans «The Musician», Boston 1903
- L'Opéra en 1887. Dans «La Province», septembre 1887
- L'oratorio moderne. Dans «La Tribune de St Gervais», mars 1899
- L'orchestration de Destouches. Dans «Le Guide Musical», 5 avril 1896
- L'orientation musicale. Dans «Musica», octobre 1902
- L'orientation musiclale. Dans «Le Courrier musical» 5 octobre 1931
- Lully, Destouches et leurs librettistes [conférence du 3 mai 1902 à l'Opéra-Comique de Paris]. Dans «Minerva», 15 Mai 1902
- Madame Bordes-Pène. Dans «Tablettes de la Schola» février 1924
- Matière et forme de l'art musicale moderne. Dans «Comoedia», 28 janvier 1924
- Meyerbeer. Dans «Echo de Paris», novembre 1891
- Musique française et Musique allemande [conférence du 16 avril 1915]. Dans «La Renaissance», 12 juin1915
- Notre Programme (en relation avec l'école de Mannheim). Dans «Tablettes de la Schola», mars 1913
- Où en est la musique française ?. Dans «Comoedia», 21 février 1928 [repris dans «Le Menestrel» du 24 février 1928=
- Parsifal. Dans «L'Olivier», Nice, décembre 1912
- Petite notice sur Orphée. Dans «Tablettes de la Schola», janvier 1910
- Polémiques musicales. Dans «Le Courrier de l'orchestre», 1er octobre 1903
- Préface pour la réédition du Couronnement de Poppée de Monteverde. Dans «La Tribune de St Gervais» janvier 1908 [Dans «Tablettes de la Schola», février 1908)
- Préface pour lédition fraçaise des Lettres intimes d'une musicienne américaine (Anny Fay). 1908
- Projet d'organisation des études du Conservatoire de Musique de Paris. Imprimerie nationale, 1892
- Projets d'hiver. Dans «Le Guid. e Musical» 16 octobre 1904
- Quatuor à cordes. Dans «La Revue Musicale» (Société INternationale de Musique) 15 mars 1909
- Réponse à Jean Wiener. Dans «Comoedia», 3 mars 1924
- Richard Wagner, Delagrave 1930
- Se libérer soi-même de la domination musicale allemande. Dans «Le Courrier musical» 27 avril 1916
- Société Nationale et SMI. Dans «Revue Pleyel», octobre 1924
- Sous la musique que faut-il mettre ? Dans «Musica», février 1911
- Sur l'opportunité de jouer les œuvres de Wagner au théâtre. Dans «L'Eclair», 25 Mai 1920
- Trois périodes de la musique dramatique, de Monteverde à Rameau [conférence du 3 décembre 1904 à la Schola Cantorum de Lyon]
- Un prétendu quintette en fa mineur. Dans «Le Guide Musical» 17 mars 1901
- Une école de musique répondant aux besoins modernes [discours d'inauguration de l'école de chant liturgique]. Schola Cantorum vers 1892 ; 1900)
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- WITKOWSKY GEORGES MARTIN (1867-1943), M. Vincent d'Indy. Dans «Revue Musicale de Lyon» 3. mars 1907
Discographie
01/
D'Indy
Jour d'été à la Montagne
Tableaux de voyage
Orchestre philarmonique des pays de Loire
Pierre Dervaux dir.
Jour d'été a la montagne, op.61 : 1. Aurore — 2. Jour (après-midi sous les pins) —3. Soir — Tableaux de voyage, op.36 : 4. Préambule — 5. En marche — 6. Le glas — 7. Lac vert — 8. La poste — 9. Rêve
EMI, CDM 7 64364, 1979
02/
D'Indy
Jour d'été à la montagne (opus 61, n° 1)
Symphonie sur un chant montagnard cevenol (opus 25 n° 2)
Orchestre philarmonique de Radio-France
Marek Janowski dir.
Catherine Colard, piano
Enregistré au théatre du Châtelet à Paris en 1990-1991
ERATO 2292 45821, 1992
Jour d'été sur la montagne : 1. Aurore — 2. Jour — 3. Soir — Symphonie sur un chant montagnard : 4. Assez lent - modérément animé - allegro — 5. Assé moséré mais sans lenteur — 6. Animé.
Jean-Marc Warszawski 28 juillet 2003
14 novembre 2005
2 mars 2009
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Samedi 9 Décembre, 2023