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Roussel Albert
1869-1937

Charles Paul Marie

Albert Roussel, d'après un dessin d'A. Bilis (1929).

bibliographie | catalogue des œuvres | discographie | documents

Né à Tourcoing 5 avril 1869, mort à Royan 23 août 1937.

Issu d'une famille d'industriels, il a un an à la mort de son père et huit à celle de sa mère. Son grand-père, Charles Roussel-Defontaine, maire de Tourcoing le recueille. À la mort de ce dernier, ce son oncle, Félix Réquillart, le prend en charge. À l'âge de 15 ans, il entre au Collège Stanislas à Paris, passe le baccalauréat, prépare l'École Navale, où il est admis en 1887.

À partir eu 1er octobre, il suit ses études sur Le Borda (ex Valmy), navire-école de 120 canons, ancré à Brest.

Le vaisseau-école La Borda.

Le 10 octobre 1889, il embarque sur un autre vaisseau-école, navigant celui-là, L'Iphigénie, pour un périple de neuf mois, au long des côtes portugaises, d'Afrique du Nord, de Grèce, jusqu'aux Antilles.

Il embarque également sur La Dévastation en 1892, en rade à Toulon, à bord de laquelle il tente sans succès de s'initier à l'harmonie, avec le traité d'harmonie d'Émile Durand

En avril 1892, il embarque sur La Melpomène pour la campagne d'été en Atlantique, la dernière frégate à voiles de la marine française. Roussel y accompagne les messes au piano (hissé sur le pont), et mène ses premières expériences de composition. Il dirige même La mascotte, opérette d'Edmond Audran, montée avec des officiers de l'équipage, chez un riche commerçant de Madère.

Il est enseigne de vaisseau en 1893, attaché au port de Cherbourg, il y fait à terre la connaissance d'officiers bon musiciens avec lesquels il travaille des sonates et des trios, particulièrement de Beethoven, Grieg, Schumann, Mendelsohn. À Noël, il entend pour la première fois une de ses compositions, un Andante pour violon, alto, violoncelle et orgue, à l'église de la Trinité de Cherbourg.

Le 23 août 1893, il embarque à bord du Styx, une canonnière cuirassée, pour Saigon (Cochinchine = Vietnam).

Au retour, il prend un long congé et s'installe à la fin de l'année 1893 à Roubaix dans sa famille.

Il suit des cours d'harmonie avec Julien Koszul, directeur de l'École nationale de musique de Roubaix. Plus tard, à Paris, il travaille le piano, l'orgue, l'harmonie, le contrepoint et la fugue avec Eugène Gigout (1844-1925).

Il est démissionnaire et versé dans le cadre de réserve le 22 juillet 1894, il se fixe à Paris en octobre.

En 1897 il présente, sous deux noms différents, 2 Madrigaux à 4 voix au concours de la SACEM qui sont primés ex aequo. Il dirige leur exécution 1898 Salle Pleyel.

En 1898, il s'inscrit aux cours de composition et d'histoire de la musique de la Schola Cantorum. Il y suit les cours d'orchestration de Vincent d'Indy. De 1902 à 1914, il y assure les cours de contrepoint, et a comme élèves Ecik Satie, Edgard Varèse (1883-1960), Roland-Manuel (1891-1966), Paul Le Flem (1881-1984).

En 1902 il est réformé de la marine pour des raisons de santé. En 1908 il épouse Blanche Preisach (18808-1962), fille d'un tourneur de pipes et d'une passementière, et en 1909, voyage aux Indes et au Cambodge, qui lui inspirent les Évocations (1910-1911).

Blanche Preisach en 1905.

En 1912-1913, il compose le ballet Le festin de l'araignée, une de ses œuvres les plus célèbres, sur un argument. G. de Voisins, d'après les Souvenirs entomologiques d' Henri Fabre. Le ballet est créé le 13 avril 1913, au théâtre des Arts de Paris. La même année, il en extrait les fragments symphoniques, créés en 1914.

En 1914 il s'engage dans l'armée de terre, en 1918 il s'installe à Perros-Guirec, achève Padmâvati commencé avant la guerre. En 1922 il achète une propriété en bord de mer à Varengeville

Composé en 1928, le psaume LXXX est créé en 1929, année de son soixantième anniversaire. La même année, il s'installe au 2 square Fauré (Paris).

En 1930 il assiste à la création aux États-Unis de sa 3e Symphonie par Koussevitzky.

Août 1936, il va se reposer à Royan à la suite d'une crise cardiaque.


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Documents

l'Hommage de Paul Landormy à Albert Roussel (1938)
Voir bibliographie

Élève du Collège Stanislas à Paris, il se prépara aux examens de l'École Navale. A 18 ans, il entrait au Borda.

Comme enseigne de vaisseau, Albert Roussel faisait, quelques années plus tard, le voyage de Cochinchine à bord de la canonnière cuirassée Le Styx.

En 1894, à 25 ans, il démissionnait pour se livrer entièrement à la musique. Il demandait des conseils d'abord à des professeurs de Roubaix, puis à l'organiste Gigoux. Enfin, en 1898, il entrait à la Schola Cantorum où il travaillait jusqu'en 1907 avec Vincent d'Indy.

A son maître, il ne ressemblait point à tous égards. Il n'en avait pas l'âme romantique. Mais il apprit de lui le culte de la forme, des vastes architectures sonores, des constructions solides et bien équilibrées. Seulement, ce qui est singulier, c'est que cet art de la sévère logique musicale il l'appliquait à exprimer des images et des émotions qui, souvent, sont celles d'un impressionniste. Albert Roussel est quelque chose comme un Debussy formé à l'école du contrepoint. Rien de plus curieux ni de plus savoureux que le contraste perpétuel entre une sensibilité très vive, très mobile, une imagination très fantaisiste et la rigidité des cadres dans lesquels l'une et l'autre s'expriment.

Ainsi le voulait Albert Roussel, par le fait même de son éducation première, mais aussi sans doute par le fait de sa nature complexe qui associait des contraires, qui s'attachait avec autant d'ardeur à la construction des belles lignes d'un vaste ensemble et à la recherche de la sensation rare, d'un accord étrange, d'un rapprochement de timbres inédit, d'un effet de couleur saisissant.

Albert Roussel se présente à la fois comme un constructeur d'édifices spacieux aux nobles proportions et comme un peintre ou un poète minutieusement appliqué à la notation des infiniment petits du sentiment et du rêve.

Il y a en lui du Loti et du Proust.

Dans ses dernières années, son style se dépouille et il aboutit à une sorte de néo-classicisme qui fait peu de part à l'évocation du réel : musique pure dans toute sa rigueur.

L'impression qui se dégage de la considération des oeuvres d'Albert Roussel est d'ailleurs celle d'une étonnante diversité. Toujours à l'affût, c'est par excellence le chasseur d'imprévu. Félicitons-nous des joies variées que nous vaut cette noble inquiétude.

Les oeuvres de jeunesse, le Trio op. 2, la Sonate piano et violon op. 11, sont écrites dans les cadres où s'enfermait volontiers d'Indy. Longs développements, vastes architectures. Roussel s'exercera plus tard à condenser sa pensée, à « faire court ». Mais on ne saurait négliger ces premières oeuvres si robustes, si fortes et d'un parfum si pénétrant. Il faudrait au moins ne point délaisser cette belle Suite pour piano op. 14 et son Prélude fantastique, hallucinant avec sa basse obstinée, d'un caractère si farouche et si dur, sa gracieuse Sicilienne, son entraînante Bourrée, sa Ronde finale endiablée.

Dans le domaine de la musique de chambre, notons avec quel bonheur Albert Roussel écrit pour la flûte. Rappelons ses quatre pièces intitulées : Pan, Tityre, Krishna, M. de la Péjaudie, - cette dernière surtout dont l'élégance et la passion surannée s'enrubannent ironiquement d'exquises broderies.

Pour la flûte encore, pour la flûte à laquelle s'adjoignent violon, alto, violoncelle et harpe, cette Sérénade (1925) qui s'impose d'emblée par les qualités les plus séduisantes. Il y a dans ces pages une poésie d'une douceur qui enchante. Dans l'Andante, notamment, sorte de nocturne d'un sentiment extrêmement délicat, le chant de la flûte s'élève à une hauteur, à une noblesse, à une grandeur que l'auteur de cette pièce si émouvante n'a peut-être jamais dépassées.

Et que dire encore de l'exquis Trio pour flûte, alto et violoncelle ?

Dans le cadre intime de la musique de chambre, Albert Roussel a encore écrit la Sonatine pour piano op. 16, un magnifique Quatuor à cordes, et tout cet extraordinaire bouquet de mélodies le Départ, le Bachelier de Salamanque, l'Ode à un jeune gentilhomme, Réponse d'une épouse sage, etc., etc., qui comptent parmi les fleurs les plus précieuses du jardin de la musique française.

Dans le domaine de la musique symphonique, Albert Roussel a su se faire la place de premier plan qui était due à sa maîtrise.

Son Poème de la Forêt, ses Évocations, sa Fête de Printemps, sa Suite en fa, ses quatre Symphonies, sa Rhapsodie flamande comptent parmi les plus belles productions de l'École française. Il faut y joindre le délicieux Festin de l'Araignée, primitivement ballet, bientôt suite symphonique.

Détachons de cet ensemble imposant, pour les considérer un moment à part, ces si curieuses Evocations qui furent inspirées à Roussel par le voyage qu'il fit en Indo-Chine en 1909 pour renouveler ses impressions de jeunesse. Les titres des 3 parties parlent d'eux-mêmes à l'imagination : I. Les Dieux dans l'ombre des Cavernes. - II. La Ville rose. - III. Aux bords du fleuve sacré.

C'est d'un art extrêmement complexe, où l'on peut démêler bien des éléments divers. D'abord on en admire, surtout dans la  première partie, la belle ordonnance, le développement savamment étudié, la majestueuse distribution des thèmes, des tonalités, des valeurs. Il y a là comme un ressouvenir du Maître dont Roussel fut le disciple, de Vincent d'Indy. Mais si l'on considère surtout la qualité et la signification des thèmes et tout ce qu'ils évoquent, on aperçoit d'importantes différences. De ces deux grands paysagistes, Vincent d'Indy et Roussel, le second a une sensibilité beaucoup plus subtile et plus diverse. D'Indy s'en tient à sa terre de France qu'il aime d'un amour profond et dont il traduit la nature intime avec une poésie intense. Il n'est nullement soucieux d'exotisme, ni d'aucune sorte de sensation rare. Mais avec quelle force pénétrante il rend le sentiment qui l'attache à son Vivarais ! Albert Roussel est toujours en quête de quelque émotion nouvelle qu'il ira chercher jusqu'aux Indes, s'il le faut. Son âme de marin vogue toujours sur les océans du rêve, en désir de quelque ailleurs non encore atteint. Il ne se repose pas dans l'amour du foyer et des lieux familiers. Il part toujours en quelque lointain voyage, fût-ce d'imagination. Ses rêves sont splendides de couleur et de volupté.

Ce ne sont pas seulement de merveilleux paysages que l'art d'Albert Roussel excelle à évoquer, ce sont aussi de séduisants spectacles de danse. La danse l'attire et le retient. Il a une prédilection pour les rythmes les plus capricieux qu'il note avec une attention émue. Il se montre extraordinairement sensible à ce genre de volupté et nous le fait éprouver à notre tour.

Un voluptueux peut-être, avant tout, semble-t-il. Et il n'est point de caractère qui le distingue davantage de Vincent d'Indy, ardent, passionné, certes, mais dont le romantisme s'oriente davantage vers les régions de l'idéal.

Jusqu'en 1923, Albert Roussel n'avait point encore écrit pour le théâtre, sinon ce charmant ballet : Le Festin de l'Araignée. On le connaissait surtout comme symphoniste. On se demandait comment son talent s'accommoderait d'une action dramatique. Louis Laloy lui fournit le livret d'un opéra-ballet en 2 actes dont le sujet est fort simple. Un roi mogol du XIIIe siècle aime la femme d'un roi hindou. Il assiège la ville et le palais. Il est vainqueur : mais en vain. Car Padmavâti a tué son époux qui voulait la persuader de se livrer au roi mogol pour sauver la cité, et elle est, après cela, montée elle-même sur le bûcher des veuves. Sujet simple, mais violemment tragique et relevé d'une foule de divertissements chorégraphiques. De ce sujet et de cette formule de l'opéra-ballet, tel que l'avait conçu Campra au XVIIIe siècle, Albert Roussel tira le meilleur parti. Sa musique est d'une sonorité prenante, d'une couleur singulière qui étonne et ravit, d'une sensibilité très fine et très aiguisée. Elle charme et elle torture par ses rythmes obsédante et toutes les images qu'elle évoque. Œuvre d'un grand musicien. Padmavâti, montée somptueusement par les soins de M. Jacques Rouché fut en même temps un spectacle captivant.

Il y aurait tant à dire encore de la Naissance de la Lyre, de Bacchus et Ariane, d'Æneas.

Je ne veux plus citer qu'un ouvrage d'Albert Roussel, le Psaume LXXX, ouvrage capital dont l'orchestre Pasdeloup et les chaeurs de la Concordia de Mulhouse sous la direction de M. Strubin ont donné récemment une magnifique exécution au Théâtre des Champs-Elysées.

Le monde entier a reconnu les hautes vertus de cet art d'Albert Roussel, art essentiellement jeune et qui a toutes les sympathies des jeunes parce que l'esprit et le coeur de Roussel sont restés perpétuellement ouverte à toutes les nouveautés. En lui nulle trace de tendances conservatrices. Se renouvelant sans cesse luimême, il suivait avec une sympathie généreuse les essais les plus audacieux de ses cadets. Comme il ne redoutait pas leur montée progressive au succès, et comme il ne faisait rien pour l'enrayer, on ne lui en voulait pas non plus d'être parvenu, par des moyens d'ailleurs si probes, à la gloire.

Il y maintint constamment la même attitude modeste et réservée. On aimait l'homme, loyal, désintéressé, scrupuleusement honnête et bon, qui faisait davantage encore apprécier l'artiste.

Il repose maintenant dans le petit cimetière de Varengeville, près de son beau domaine de Vastérival, en face la mer, qu'il aima tant, en face du large et des horizons vastes où se perdaient naguère sa pensée et son rêve.

Catalogue des oeuves

Roussel à son domicile parisien du 2 square Fauré en 1936.

Mengelberg et Albert Roussel (cliché Henri Manuel). Revue musicale avril 1929.

A Varengeville. Supplément de la « Revue musicale », novembre 1937.

Bibliographie

Discographie

03 /
Albert Roussel
Oeuvre de piano

Alain Raës, piano

Enregistré du 20 au 22 octobre 1979 au Conservatoire de musique de Roubaix 

Solstice1979, SOCD 08

Des heures passent (Op. 1) : 01 Graves, légères — 02 Joyeuse — 03 Tragiques — 04 — Champêtres — Rustiques (Op. 5) :  05 Danse au bord de l'eau — 06 Promenade sentimentale en forêt — 07 Retour de fête — Suite (Op. 14) : 08 Prélude — 09 Sicilienne — 10 Bourrée — 11 Ronde — 12-13 Sonatine (Op. 16) : 14 Prélude et fugue (Op. 46) — 15-17 Trois pièces (Op. 49)

 

01/
Roussel
Bacchus et Ariane
Le festin de l'araignée

Orchetres national de France
Georges Prêtre dir.

EMI 1986, CDC 7 47376 2 

Bacchus et Ariane, Acte I : 01 Introduction ; 02 Jeux des éphèbes et des vierges ; 03 Danse du labyrinthe ; 04 Bacchus apparaît (la danse est interrompue) ; 05 Thésée est ses compagnons se précipitent ; 06 Danse de Bacchus. Acte II : 07 Introduction ; 08Réveil d'Ariane ; 09 Bacchus danse seul ; 10 Le baiser ; 11 L'enchantement dionysiaque ; 12 Le thiase défile ; 13 Danse d'Ariane ; 14 Danse d'Ariane et de Bacchus ; 15 Bacchanale — Le Festin de l'Araignée : 16 Prélude ; 17 Entree des fourmis ; 18 Danse du papillon ; 19 Eclosion de l'éphémère ; 20 Danse de l'éphémère ; 21 Funérailles de l'éphémère ; 22 La nuit tombe sur le jardin solitaire

04/
Albert Roussel
Intégrale des oeuvres pour piano

Jean-Boguet, piano
Vienne, 1969

Intégrale des phonogrammes enregistrés avec Albert Roussel (1927-1929)

Claire Croiza, soprano
Gabrielle Ritter-Ciampi, soprano
Albert Roussel, piano, dir.

Philips 1989, 2 cédéroms  

Disque 1 : 01-02.Sonatine Op. 16 — 03-13 Des heures passent Op. 1 — 14. Prélude et fugue Op. 46 — 15-17. Trois pièces pour piano —   Disque 2 : 01-04 Suite pour piano — 05. Le jardin mouillé Op. 3 n° 3 — 1927-1929, Claire Croiza, Albert Rousse : 06. Invocation Op. 8 n° 2 — 07. Amoureux séparés Op. 12 n° 2 — 08. Light Op. 19 n° 2 — 09. Sarabande Op. 20 n° 2 — 10. Jazz dans la nuit Op. 38 Philips 1989 — 11. Le festin de l'araignée Op. 17

02/
Roussel
Évocations pour orchestre Op. 15
Résurection, prélude symphonique Op. 4 (d'après Tolstoï)

José Van Dam; Nicolaï Gedda; Nathalie Stutzmann
Orféon donostiarra
Orchestre du Capitole de Toulouse
Michel Plasson dir.

EMI 1987 

Évocation : 01 Les Dieux dans l'ombre des cavernes — 02 La ville rose — 03 Aux borde du fleuve sacré — 04 Résurection 

05/159
Albert Roussel
Les mélodies

Marie Devellereau, soprano
Yann Beuron, ténor
Laurent Naouri, baryton
Billy Eidi, piano
Étienne Plasma, flûte

Orchestre Philharmonique du Luxembourg
Jeau-Yves Ossince, dir.

Enregistré de mai à juillet 2001

Timpani, c1064 (2 volumes)

Disque 1 : QUATRE POÈMES op. 3 (Henri de Régnier 1903) : Le départ ; Vœu ; Le Jardin mouillé [2'59] Madrigal lyrique — QUATRE POÈMES op. 8 (Henri de Régnier, 1907) : Invocation ; Nuit d'automne ; Odelette — FLAMMES op. 10 (Georges Jean-Aubry, 1908) — DEUX POÈMES CHINOIS op.12  (Traduction H. P. Roché, 1907 / 1908) : À un jeune gentilhomme (Ode chinoise) — (Fu-Mi) — DEUX MÉLODIES op. 19 : Light (Georges Jean-Aubry) ; A Farewell (E. Oliphant) — DEUX MÉLODIES op. 20 (René Chalupt, 1919), Le Bachelier de Salamanque ; Sarabande — Disque 2 : DEUX POÈMES DE RONSARD op. 26 (1924) : Rossignol, mon mignon... ; Ciel, air et vents... — ODES ANACRÉONTIQUES op. 31 (Traduction Leconte de Lisle, 1926) : Ode XVI : Sur lui-même ; Ode XIX: Qu'il faut boire ; Ode XX: Sur une jeune fille — ODES ANACRÉONTIQUES op. 32 (Traduction Leconte de Lisle, 1926) : Ode XXVI : Sur lui-même ; Ode XXXIV : Sur une jeune fille ; Ode XLIV : Sur un songe — DEUX POÈMES CHINOIS op. 35 (Traduction H. P. Roché, 1927) : Deux fleurs font une broderie... (Li-Ho) ; Réponse d'une épouse sage (Chang-Chi) — VOCALISE (1927) — JAZZ DANS LA NUIT op. 38 (René Dommange, 1928) — VOCALISE- ÉTUDE (1928) — A FLOWER GIVEN TO MY DAUGHTER (James Joyce, 1931) : DEUX IDYLLES op. 44 (Traduction Leconte de Lisle, 1931) : Le Kérioklepte (Théocrite) ; Pan aimait Ekhô... (Moskhos) — DEUX POÈMES CHINOIS op. 47 (Traduction H. P. Roché, 1932) : Favorite abandonnée (Li-I) ; Vois, de belles filles... (Huang-Fu-Ian) — DEUX MÉLODIES op. 50 (René Chalupt, 1933-1934) : L'Heure du retour ; Coeur en péril — DEUX MÉLODIES op. 55 (Georges Ville, 1935) : Vieilles cartes, vieilles mains... ; Si quelquefois tu pleures... — LA MENACE op. 9 (Henri de Régnier, 1908)

06/159
Roussel

Symphonie n° 3 en sol mineur op. 42
Symphonie n° 4 en la majeur op. 53
Bacchus et Ariane : Suite n° 2

Orchestre National de France
Charles Munch, dir
 Enregistré en 1964 et 1966 à Edimbourg, Besançon et Paris.

Disques Montaigne, 1988.

Jean-Marc Warszawski
révision 14 octobre 2003
révision 22 novembre 2005
révision 17 septembre 2008


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Samedi 21 Octobre, 2023

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