20e année —— juin 2019
jean-marc warszawski —— le pianiste daniel propper commence les études musicales dans sa ville natale, stockholm, passe par la juilliard school de new york, quitte les rudes contrées frigorifiques scandinaves pour la france ensoleillée, chaude et riante. il se perfectionne au conservatoire national supérieur de paris, puis y développe une carrière commencée quelques années plus tôt au festival de salzburg. son catalogue discographique compte une bonne quinzaine de cédés.
Alain Lambert —— Tout commence sous le chapiteau Magic Mirror, devant la cathédrale en ce début d'après-midi où les cloches donnent le ton, dans le silence du début de concert, par le Moebius Ring trio de Pascal Mabit, sax alto et compositions, avec Samuel Ber à la batterie et Arthur Henn à la contrebasse à la place des deux musiciens habituels. Ce qui ne les empêche de jouer en toute complicité et en tension suspendue, avec toute l'attention côté spectateur, qui jamais ne faiblit, captivée par la sinuosité des lignes mélodiques et des impros alternées. Le saxophoniste apprécie
◆La musique manifeste contre France Musique
◆(France Musique) Des nouveaux locaux pour les archives de Pierre Henry
◆(France Info) «Habiller l'Opéra», quand les costumes racontent deux siècles d'Opéra de Paris
◆(L'union) Pour rester à Liesse-Notre-Dame, l’Académie musicale doit trouver 400 000 € de toute urgence
◆(France musique) Philippe Entremont, pianiste (2/5) : Clementi, Kuhlau, Haydn
◆(AFP) À La Havane, de jeunes musiciens cubains et américains au diapason
◆(RTS, Suisse) Lorsque des dis-ques étaient enfouis sous le Palais Garnier pour la postérité
Alain Lambert —— Shiva, dieu de la destruction, de l'illusion, tout autant que de la recréation du monde à chaque nouveau cycle, aussi dieu de la mort et des lieux de crémation, ou dieu de la danse... Et comme l'Indienne Shantala Shivalingappa porte en partie ce nom, Aurélien Bory, metteur en scène polymorphe qu'on connaît bien au théâtre de Caen, a décidé d'en jouer dans sa scénographie toujours singulière en inscrivant la chorégraphie kushipudi de la soliste dans un
Michel Rusquet —— Pavel Vranický, ou Paul Wranitzky (1756-1808) est né en Moravie. Ce violoniste fut l’élève de Joseph Martin Kraus et de Joseph Haydn et fut lui-même un bon moment au service des Esterhazy. Pendant ses vingt dernières années, il devint un des musiciens les plus en vue de Vienne, notamment en qualité de directeur des orchestres des théâtres de la cour. Comme interprète, il fut particulièrement apprécié de Haydn et de Beethoven
◆(Michel Rusquet) La musique instrumentale de Georg Druschetzky (1745-1819)
◆(La Croix) Dresde, corne d’abondance musicale
◆(Le Parisien) Percutée par une trottinette, la pianiste de l'opéra ne peut plus jouer
◆Après le forfait à épisodes de Jonas Kaufman, Sonya Yoncheva annule la première date de la Tosca à l'Opéra de Paris
◆Stella Chen Premier Prix du Concours Musical International Reine Élisabeth violon 2019 (violon)
◆(France Presse) A l'Ircam, un concert immersif de Philippe Manoury sur les réfugiés
Jean-Marc Warszawski —— Le ténor Christoph Prégardien est né à Limburg an der Lahn, jolie ville allemande typée, célèbre pour le luxe extravagant, aux frais d’une association caritative, dans lequel vivait son évêque démis en 2014, Christoph Prégardien est surtout connu pour son implication dans la musique ancienne, particulièrement les grands rôles évangéliques des passions et oratorios, passant là du chant à la direction. Mais il aborde aussi l’opéra et des répertoires plus tardifs
Michel Rusquet —— Václav, ou Wenzel, Pichl (1741-1805) est un musicien venu de Bohème, qui passa la majeure partie de sa vie au service de l’archiduc Ferdinand d’Este, d’abord à Milan, puis à Vienne.
Il composa environ neuf cents œuvres, s’intéressant à tous les genres mais avec une prédilection pour la musique de chambre.
Par l’élégance et le raffinement, sa musique est celle d’un parfait contemporain de Mozart, mais ne semble pas avoir eu
Il est issu d'une famille de négociants en métaux, en rapport avec l'industrie locale.
Il a été scolarisé dans les écoles de Meinertzhagen et d'Altena. En 1551 il intègre le lycée de Dortmund fondé en 1543 par Johann Lambach, élève de Petrus Ramus et propagateur de ses idées. En 1557, suite à une épidémie de peste, il fait un court séjour à Münster.
Dès 1555, il supervise la scolarité de trois enfants de la famille von Fürstenberg de Waterlappen, qu'il accompagne un temps à l'université de Cologne
◆Les académies jeunes chanteurs et direction de chœur de la Cité de la Voix de Vézelay.
◆24e Musicales de Montsoreau : 19 juillet au 16 août 2019
◆Picasso, opéra, chansons, aux Invalides le 17 juin 2019
◆Popular Song in the 19th Centu-ry, 30 Nov.- 2 Dec. 2019, Lucca
◆5th International Meeting of Music Theory and Analysis, 5-7 Nov. 2019, Campinas (Brasil)
Frédéric Norac —— Venu de Zurich où il est donné en version scénique jusqu’au 14 juin, l’Hippolyte et Aricie d’Emmanuelle Haïm fait l’effet d’une version express tant l’opéra de Rameau parait avoir été abrégée. Difficile de démêler ici ce qui relève de l’arbitraire de la production, de la volonté d’alléger la soirée ou des révisions successives du compositeur lui-même. Car à côté de nombreuses coupures, on découvre quelques passages dont on ne se
Michel Rusquet —— Ce Suédois d’origine allemande, dont on a fait par-fois un « Mozart suédois », a longtemps figuré au rang des laissés-pour-compte d’une époque décidément trop riche, mais grâce au disque justice a pu enfin lui être rendue, deux siècles après sa mort.
Né en Allemagne, il étudia d’abord à Mannheim, puis élargit ses horizons au droit et à la littérature en passant par les universités de
Il étudie les lettres à Saragosse puis à Salamanque (à 15 ans) jusqu'en 1492.
Il est attiré par les sciences mathématiques et astrologiques. Il étudie la théologie à Paris jusqu'en 1502.
Il enseigne les mathématiques au Collège de Beauvais.
De retour en Espagne, il est chanoine à la cathédrale de Sigüenza. Il enseigne à la chaire thomiste de la nouvelle Université d'Alcalá, jusqu'en 1523 (de 1511 à 1516, il est remplacé par Pedro de Salamanca).
◆Création de Eros Athanatos, de Richard Dubugnon, par l'Orchestre philharmonique de Radio France
◆21e Festival Bach en Combrailles, Pontaumur, Puy-de-Dôme, 11-17 août 2019
◆L’Ensemble Voces Suaves à la Sainte-Chapelle de Paris
◆Historical Notation Bootcamp, Aug. 5-9, 2019, Cornell University
◆(Loop Haïti) Une pianiste franco-Haïtienne décorée au sénat de la République Française
◆(Le Huffington Poste, Maroc) À Paris, la pianiste marocaine Nour Ayadi remporte le grand prix Cortot
◆(France Info) Le batteur de jazz américain Lawrence Leathers est mort à 37 ans, à la suite d'une agression
◆(France Info) Aretha Franklin intense et bouleversante dans le documentaire inédit «Amazing Grace»
◆(La Croix) L'Opéra de Berlin prolonge Barenboim, malgré les critiques
◆Le Grand prix de la Fondation Simone et Cino del Duca de 100.000 € attribué à Steve Reich
◆Prolongation de Susanna Mälkki, à la tête de L'Orchestre Philharmonique d'Helsinki
◆(La Marseillaise) L’excellence du Conservatoire de Marseille contrainte au chant du cygne ?
◆(Lyon Capitale) Opéra de Lyon : la ville cherche la perle rare
Jean-Marc Warszawski —— Après-guerre, mais certainement depuis l’affaire Dreyfus, avec une pointe d’acti-vité dans les années 1970, l’engagement social et politique des artistes fait partie du paysage. Pour la paix, contre le fascisme, contre la guerre d’Algérie, celle du Vietnam, pour les droits civiques aux États-Unis
Jean-Luc Vannier —— Était-ce en raison de la fin de la saison lyrique, prélude à une longue séparation ? Toujours est-il que le public de l’opéra de Marseille ne voulait point se lever et partir, mardi 4 juin, à l’issue d’une représentation particulièrement réussie de Rigoletto. Ce sont en effet d’interminables ovations qui ont — légitimement — salué cette nouvelle coproduction avec les Chorégies d’Orange de cette œuvre en 3 actes de Giuseppe Verdi. Vae victis donc aux autorités de
Frédéric Norac —— L'apprenti meunier de Wilhelm Müller et Schubert est un proche parent du Werther de Goethe, la mélancolie chronique en moins, la fougue de la première jeunesse en plus. Dans La Belle meunière, la douleur de la désillusion est à la mesure
Michel Rusquet —— « Cannabich n’est pas seulement ce Kapellmeister chez lequel Mozart eut la joie, en 1777, de partager quelques dîners assortis de plaisanteries salées. Né à Mannheim, élève de J. Stamitz (mais aussi, lors de deux voyages en Italie, de Jommelli et Sammartini), Cannabich est surtout celui qui eut l’honneur de succéder à son maître à la tête de l’orchestre de cette ville jusqu’en 1777, après quoi la cour déménagea à Munich, avec le musicien dans
◆Le 50e festival de l'Orangerie de Sceaux : 22 juin-21 juillet 2019
◆Le voyage d'été des musiciens de Radio France
L'idée de l'origine silésienne de Schobert a été adoptée après Grimm. D'autres propositions ont été faites, mais ne sont pas documentées : Gerbert, dans son Historisch-biographisches Lexicon der Tonkünstler, avance une origine strasbourgeoise, dans son autobiographie, Schubart avance Nürnberg, et Riemann le rattache à l'école dite de Manheim.
Rien n'est documenté sur de ce musicien avant son apparition à Paris en 1760 ou 1761. Il y est employé par le prince de Conti.
Il grave ses œuvres instrumentales à ses frais (peut-être chez lui), et les propos aux marchands.
Il se marie avec une Française. Ils ont deux enfants.
Michel Rusquet —— On sait en réalité peu de chose de cet Allemand né en Silé-sie, si ce n’est qu’il se fixa vers 1760 à Paris où, entré au service du prince de Conti, il acquit une grande réputation de maître du clavier, et qu’il y mourut prématurément — avec femme et enfants — pour avoir consommé des champignons vénéneux.
◆L'Alléluia vélosolesmes de Mario Hacquard
◆(Le journal de Montréal) Concours musical international de Montréal: le violoniste Hao Zhou grand gagnant
◆(AFP) Décès de Dr. John, pianiste de blues légendaire de la Nouvelle-Orléans
Michel Rusquet —— Autre « Parisien allemand » (il vécut à Paris de 1758 à sa mort), et lui aussi pionnier de l’école française de piano, ce Bavarois (il était né à Augsbourg) passerait presque pour un « dilettante » puisque, avant d’être reconnu comme un maître du clavier, il gagna surtout sa vie comme peintre en miniatures.
Autre « Parisien allemand » (il vécut à Paris de 1758 à sa mort), et lui aussi pionnier de l’école française de piano, ce Bavarois (il était né à Augsbourg) passerait presque pour un « dilettante » puisque, avant d’être reconnu comme un maître du clavier, il gagna surtout sa vie comme peintre en miniatures.
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◆(RTBF) Le portrait de la première lauréate du Concours Reine Elisabeth 2019, Stella Chen
◆(France musique) Bon anniversaire Monsieur Entremont !
◆(France culture) Le génie musical féminin via les opérettes de Pauline Viardot
Michel Rusquet —— Encore un Allemand expatrié, celui-ci, né à Man-nheim et formé entre autres auprès de Johann Stamitz, passa par l’Italie avant de s’établir définitivement en France. À partir de 1761, il fit de Bordeaux sa résidence principale et y officia notamment comme chef d’orchestre au Grand Théâtre. Outre quelques quatuors, on lui doit une trentaine de Symphonies, dont quatre séries de six (ses opus 1 à 4) remontent aux années 1758 à 1766 et valent à leur auteur une estime
Jean-Marc Warszawski —— Quand on pense musique autour de l’année 1600, Henri IV règne depuis 11 ans et régnera encore 10 ans, c’est vers Florence et Venise que se tournent les oreilles d’où se prépare la colonisation italienne des cours et des églises européennes. D’autant si on en croit le cardinal Jacques Davy du Perron, « Le roy défunt n’entendoit rien en la musique ni en la poésie et pour cela de
Michel Rusquet —— Ce musicien eut le privilège d’être l’élève de Wilhelm Friedemann Bach, puis de son frère Carl Philipp Emanuel, et s’étant trouvé un protecteur en la personne du prince Leopold iii d’Annhalt-Dessau, passa l’essentiel de son existence en Allemagne au service de celui-ci. La postérité lui a
Fils d'un fermier, il est baptisé « Matthäus ». Il est placé à l'âge de 11 ans à la maîtrise de l'abbaye bénédictine d'Irsee. Il y commence son noviciat en 1701, prend « Meinrad » comme nom de religion, étudie la philosophie et la théologie, reçoit l'ordination en 1708.
Il est alors envoyé quatre années à München pour étudier sous la direction de Giuseppe Antonio Bernabei, maître de chapelle à la cour du roi de Bavière Maximilian II.
Il est de retour au monastère d'Irsee en 1712. Il y est jusque vers
◆Schultze Johann Nicolaus Wilhelm (v. 1683-v. 1748)
◆Le week-end dernier, la Philhar-monie de l'Elbe a passé le seuil des 10 millions de visiteurs.
◆(La Croix) Raphaël Pidoux, violoncelliste au grand cœur
◆Mercredi 12 juin, l’Académie des Beaux-Arts accueille Bruno Mantovani dans la section de composition musicale.
Frédéric Norac —— 0n n’attend guère un musicien de la trempe d’Albert Roussel, grand symphoniste, émule de Vincent d’Indy et pilier de la Schola Cantorum sur les chemins buissonniers de l’opérette et de la musique légère. Ce « testament », pochade satirique sur un livret de Nino, créé en 1936 à Olomuc (ça ne s’invente pas !) et repris l’année suivante à l’Opéra-comique dans une version réduite en un acte et deux tableaux sera pour beaucoup une totale
Sa mère, Maria Sophie Warnecke (1868-1949) est d’une famille de petits agriculteurs, son père, Robert Rudolf Emil Hindemith (1870-1915), d’une famille de petits commerçants et d’artisans, est peintre-décorateur. Il veut que ses enfants deviennent des musiciens professionnels. Paul, l'aîné, a appris à jouer du violon, sa sœur Toni (1899-1966) du piano et son frère Rudolf (1900-1974) du violoncelle.
Paul Hindemith a reçu des leçons de musique à partir de 1906, l’année
Frédéric Norac —— Il ne faut pas confondre grivoiserie et vulgarité. C’est hélas ce que n’ont pas tout à fait compris Pierre-André Weitz et son complice Olivier Py. En voulant redonner vie à cette célèbre Mam’zelle Nitouche, fleuron de l’opérette française finissante et un des rares titres d’Hervé a être passé à la postérité, ils en ont souvent laminé les subtilités et noyé dans le rire gras les finesses et le caractère bon enfant. De la comédie-vaudeville d’Henri Meilhac et André Millau, ils ont bien sûr conservé le scénariov
Michel Rusquet —— Encore un Allemand expatrié, celui-ci, né à Man-nheim et formé entre autres auprès de Johann Stamitz, passa par l’Italie avant de s’établir définitivement en France. À partir de 1761, il fit de Bordeaux sa résidence principale et y officia notamment comme chef d’orchestre au Grand Théâtre. Outre quelques quatuors, on lui doit une trentaine de Symphonies, dont quatre séries de six (ses opus 1 à 4) remontent aux années 1758 à 1766 et valent à leur auteur une estime
Jean-Luc Vannier —— La Route de la Soie » musicale passait, vendredi 14 juin, par Monaco dont l’orchestre philharmonique proposait à l’auditorium Rainier III un concert « Grande Saison » estampillé « horizons lointains ». Au programme : Instant d’un opéra de Pékin, Ouverture symphonique et La joie de la souffrance, Concerto pour violon, deux œuvres du compositeur Chen Qigang créées au Festival de Pékin
Jean-Marc Warseawski —— La Bachfest de Leipzig fête bien entendu Johann Sebastian Bach, qui fut Kantor de la Thomaskirche et directeur musical de la ville, au sommet de son art, mais aussi sa vingtième session. Bach-Leipzig : une rencontre donnant donnant : une ville en pleine expansion, grand lieu d’industrie, de commerce et de foires, qui a les moyens de son apparat artistique, et un musicien hors du commun à la hauteur des exigences communales.
Frédéric Norac —— Belle idée, mais un peu risquée de vouloir associer l’image et la musique. Le visuel bien souvent a tendance à phagocyter le sonore et à le rejeter à l’arrière-plan. Pour son second concert parisien, l’ensemble La Française a imaginé un spectacle total mettant en rapport l’architecture rocaille avec son répertoire d’élection, la musique de chambre du xviiie siècle. Plus qu’une simple illustration ou qu’un décor, les photographies de Nicolas Dehove projetées sur un jeu de
◆(Libération) Franco Zeffirelli, prises en surcharge
Jean-Marc Warszawski —— Second jour de la fête à Bach de Leipzig et 22e (!) manifestation, avec le récit de la Passion mis en musique (et en texte) par Gottfried Heinrich Stölzel : Ein Lämmlein geht und trägt die Schuld (Un agneau passe et porte la faute).
La Thomaskirche est bien moins bondée qu’hier soir pour le concert d’ouverture de la Bachfest 2019. C’est moins événementiel, un compositeur aujourd’hui peu connu, un prix des places tout de même élevé, un nombre de concert et d’activités plus alléchantes les unes que les autres... Questions.
Ce compositeur, pratiquement exact contemporain de Johann
Jean-Marc Warszawski —— Aujourd’hui, second jour de la fête à Bach organisée par la Bach Archive de Leipzig : on a le choix entre plus de 20 concerts et activités diverses à partir de 9h30. Quelques cantates religieuses matinales pour se mettre bien avec les cieux qui restent cléments, des visites guidées à la maison de Mendelssohn, au musée Bach, de la ville sur les pas de Bach, la tournée de cafés, de la musique de chambre, il est déjà midi.
◆Salons parisiens de Maria Szymanowska : 2019 année Maria Szymanowska en Pologne
◆(La Croix) Vers une nomination du Français Dominique Meyer à la tête de la Scala de Milan
◆(AFP) Archives parties en fumée: Universal doit «la transpa-rence» à ses artistes pour le PDG
Jean-Marc Warszawski —— Georg Friedrich Händel est né à Halle en 1685, y a reçu sa première formation musicale, s’y est inscrit à l’université, a tenu son premier emploi d’organiste à la cathédrale avant d’aller chercher musique et carrière de Hamburg à Lübeck, de Rome à Naples et de Florence à Innsbruck, il est nommé maître de chapelle de la cour de Hannover en juin 1710, rend visite à sa famille et sans regarder en arrière ni demander son reste il est à Londres en novembre, où il fait la
◆(France musique) Quand jouer de la musique chez soi tourne à la guerre de voisinage
Jean-Luc Vannier —— « Les filles sont plus obéissantes que les garçons » ironise Jules Berry (Le diable) dans Les visiteurs du soir de Marcel Carné (1942). Des deux envoyés de Satan, seule Dominique (Arletty) réussira sa mission. C’est à l’issue du — comme toujours — somptueux gala de l’Académie Princesse Grace donné samedi 22 juin salle Garnier, que nous est venu à l’esprit ce souvenir cinématographique : sans doute
Jean-Marc Warszawski —— La pochette de ce cédé est quelque peu énigmatique. Son titre, Adieu mes très belles est repris du premier vers d’un poème anonyme mis en musique par Gilles Binchois : Adieu mes très belles amours, qui ouvre le programme, dont une première partie a cappella est dans l'esprit des restitutions historiques habituelles, mais ça ne va pas durer.
Poline Renou, soprano qui est également pianiste entrée en jazz, a été
Michel Rusquet —— Le nom de ce Français d’origine autrichienne évoque surtout aujourd’hui la prestigieuse maison de pianos qu’il créa en 1807, et on a peine à imaginer qu’il fut l’un des compositeurs le plus joués et édités (jusqu’en Amérique…) à la fin du XVIIIe siècle.
◆(Radio France Internationale) Russie: le prestigieux concours Tchaïkovski accueille des solistes du monde entier
◆La musique instrumentale d'Étienne-Nicolas Méhul (1763-1817)
◆Browne Richard (v. 1684-v. 1749)
◆Stage de danse médiévale 2019 de Bayeux: 2-4 août
◆Quatre lauréats au Concours d'orgue Olivier Messiaen 2019
◆(Russia Beyond) Un algorithme informatique russe sort un album musical, effrayant mais beau
◆(La Presse, Canada) Brad Mehldau : jazz et écrits sacrés sur le trouble américain
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◆(France Info) Enregistrements partis en fumée : une plainte col-lective déposée contre Universal Music
◆(France Info) Cinq détenues des Baumettes dansent avec Angelin Preljocaj à Montpellier
Frédéric Norac —— Il faut toute l’énergie et la versatilité d’une troupe comme celle du Théâtre du Petit Monde pour s’attaquer à dix — chanteurs et comédiens — quatorze avec les musi-ciens, à une œuvre de la taille de la Vie parisienne qui ne compte pas moins d’une vingtaine de rôles, des chœurs, des ensembles chorégraphiés et s’en sortir indemnes, à quelques décalages près dans les ensembles menés tambour battant
Michel Rusquet —— Méhul disait de lui, paraît-il, qu’il « faisait de l’esprit et non de la musique », et d’ailleurs, « toutes les histoires de la musique vous le diront, on aurait pu faire passer un carrosse à quatre chevaux entre sa ligne mélodique et sa basse. C’est dire que sa technique de composition était simplette, à la limite de l’incompétence »1 Mais justement, le talent de ce Liègeois d’origine, qui avait pourtant passé plusieurs années à Rome pour se former
Frédéric Norac —— On ne sait trop à qui s’en prendre : les librettistes Chivot et Duru et leur intrigue sans ressort, le compositeur qui semble à court d’inspiration et nous ressert sous une sauce modernisée ses vieux plats de la grande époque ou la mise en scène atone et inefficace d’Anne Kessler ? Toujours est-il qu’on a beau chercher à rire, puis à défaut à sourire, au moins à s’intéresser, on s’ennuie ferme dans le premier acte de cette Madame Favart, opéra-
◆Les 10e escapades musicales d'Arcachon seconde semaine : 20 juin-20 juillet 2019
◆(YouTube) Marc Dumont, Elsa Grether, Jonathan Marolle : L’invitation aux voyages
Frédéric Norac —— En 2006, Kzrysztof Warlikowski avait fait de la Tauride d’Iphigénie une maison de retraite où l’héroïne vieillie revivait le souvenir de ses retrouvailles avec son frère et la fin du cauchemar sanglant de sa vie de prêtresse vouée aux sacrifices humains. Dans cette production, créée la même année à San Francisco, Robert Carsen nous montre la boîte noire (au propre comme au figuré) de son esprit tourmenté par des souvenirs de violence dans une vision quasiment
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Jeudi 6 Mai, 2021