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Berlioz Hector
1803-1869

Berlioz

[discographie] [écrits] [correspondance] [catalogue des œuvres] [bibliographie]

Né à la La Côte-Saint-André (Isère), 11 décembre 1803 (20 Frimaire An XII) ; mort à Paris, 8 mars 1869.

À l'âge de dix ans, il est placé dans une école religieuse, mais son père, médecin, assure l'essentiel de son éducation, particulièrement en littératures française et latine et en géographie. Il lui donne également des rudiments de flageolet, lui fait donner des cours de flûte et de guitare par des professeurs de la ville.

Vers treize ou quatorze ans, il lit les traités d'harmonie de Rameau et de Catel, compose ses premières pièces pour flageolet, et un quintette pour flûtes et cordes sur un pot-pourri de mélodies italiennes (perdu, sauf une mélodie qui est donnée en second sujet dans l'ouverture des Francs Juges, et une autre écrite sur un poème de Florian (Je vais donc quitter pour jamais), reprise dans l'ouverture de la Symphonie fantastique).

Il réalise également des copies de romances populaires de Dalayrac, Boieldieu ou Berton, en y ajoutant parfois un accompagnement de guitare, ou ses propres romances. A 15 ans, il propose en vain plusieurs œuvres à des éditeurs parisiens.

Après avoir obtenu son baccalauréat à Grenoble en mars 1821, il entre à l'école de médecine de Paris. Il passe une partie de son temps lire et à copier des œuvres musicales à la Bibliothèque du Conservatoire. Il est introduit an 1822 auprès de Lesueur.

Il écrit sa première œuvre pour grand orchestre, la cantate Le cheval arabe (perdu). Six romances, qui sont publiées. En 1823 il compose un opéra sur Estelle et Némorin de Florian, d'après des écrits qui avaient enchanté son enfance, et un oratorio latin (Le passage de la mer Rouge), qu'il prétend dans ses Mémoires avoir brûlé.

En 1824, il compose la Messe solennelle pour l'église Saint-Roch, dont la création, le 27 décembre sous la direction de Valentino est un échec, mais en juillet de 1825, la même représentation détermine Berlioz, selon la formule de Le Sueur, à être non pas « un docteur de pharmacie, mais un grand compositeur ». Il prétend avoir détruit cette messe, mais elle a été retrouvée en 1992.

Berlioz

Il abandonne ses études de médecine, et entre en conflit avec ses parents qui lui coupent partiellement les subsides. Il survit grâce à l'amitié de ses amis, de quelques élèves. Il est quelque temps chanteur dans le chœur du Théâtre des nouveautés, et écrit des articles occasionnels pour les journaux, ce qui sera par la suite la source essentielle de ses revenus

Son ami le plus proche à cette époque, étudiant en droit, Humbert Ferrand, lui donne le texte de la Révolution grecque en 1825, et le livret de l'opéra Les francs juges en 1826.

La même année il entre au Conservatoire dans la classe de composition de Lesueur et dans celle de contrepoint et de fugue de Reicha. 1826 marque aussi le début de l'aventure du Prix de Rome, qui revient cette année-là à Claude Paris. En 1827, c'est Jean-Baptiste Guiraud qui remporte le Prix, tandis que l'œuvre présentée par Berlioz, la cantate La Mort d'Orphée, est déclarée injouable (elle sera donnée l'année suivante).

Cette année 1827 est importante pour Berlioz : la représentation d'Hamlet au théâtre de l'Odéon à Paris l'inspire profondément. Il y découvre à la fois Shakespeare et l'actrice Harriet Smithson, qui lui donnent d'une part maintes idées d'arguments, un modèle d'héroïne et l'objet de grand amour.

Il découvre également Goethe, grâce à la traduction de Faust par Gérard de Nerval et compose les Huit scènes de Faust (ébauche de la Damnation). En 1828, alors qu'il découvre les symphonies de Beethoven, il obtient le premier des deux seconds Prix de Rome pour Herminie (mélodie reprise dans la Symphonie Fantastique) derrière Guillaume Ross-Despréaux. Il donne à Paris son premier concert de musique purement orchestrale.

En 1829, il n'obtient aucun Prix avec la cantate la Mort de Cléopâtre (année sans premiers prix). À la cinquième tentative de 1830 il obtient le premier Prix, avec la cantate La mort de Sardanapale dont on ne conserve que quelques fragments. Dans ses mémoires Berlioz fait une sévère critique sur la procédure d'attribution du prix de Rome (5 musiciens sur un jury de 40 personnes).

Au début de l'année 1830, il compose la Symphonie fantastique qui est créée le 5 décembre, à la Société des concerts du Conservatoire de Paris, sous la direction de François Antoine Habeneck.

Le 3 octobre 1833 il épouse Harriet Smithson, à l'ambassade de Grande-Bretagne, Franz Liszt est leur premier témoin (ils se séparent en 1844, elle meurt en 1854, Berlioz se remarie alors avec la cantatrice Marie Recio, sa compagne depuis 12 ans).

Le 5 décembre 1837, La Grande Messe des morts, est créée à l'église des Invalides de Paris, sous la direction de François Antoine Habeneck.

Le 10 septembre 1838, Benvenuto Cellini, opéra en deux actes sur un livret de Léon de Wailly et d'Auguste Barbier (assistés par Alfred de Vigny), d'après les Mémoires de Benvenuto Cellini, créé à l'Opéra de Paris, est un échec.

Le 24 novembre 1839, il dirige la création de Roméo et Juliette, symphonie dramatique, sur un texte d'Émile Deschamps d'après Shakespeare, à la Société des concerts du Conservatoire de Paris.

28 juillet 1840, il dirige (avec un sabre et en unifrome) la création de La Grande Symphonie funèbre et triomphale, pour célébrer le dixième anniversaire de la révolution de 1830, au pied de la colonne de Juillet (place de la Bastille).

Il compose Les Nuits d'été, six mélodies sur des poèmes de Théophile Gautier extraits de la Comédie de la mort.

En 1841, il commence lé rédaction d'une série d'articles pour la « Revue et gazette musicale », articles qui feront la matière de son Grand traité d'instrumentation publié en 1843.

À l'automne 1842, il fait sortir en cachette ses partitions et quitte le domicile conjugal, et fuit en Allemagne avec son nouveau grand amour, Marie Recio, une cantatrice « qui miaule comme un chat » selon Berlioz lui-même.

Le 3 février 1844, il crée Le carnaval Romain, Salle Herz à paris. Il organise et dirige le concert de clôture de l'Exposition de l'industrie avec sur scène 500 à 1020 choristes et instrumentistes (œuvres d’Aubert, Spontini, Halévy, Rossini, Beethoven, Gluck, Weber).

Il entreprend de nombreux voyages à l'étranger où sa musique est mieux accueillie qu'à Paris (Belgique, Allemagne, Autriche, Angleterre,) Le 6 décembre 1846, La damnation de Faust est créée à l'Opéra-Comique de Paris sous sa direction est un échec. Couvert de dettes, il part pour la Russie l'années suivante. La tournée est financièrement bénéfique, il réitère sans succès l'expérience en Angleterre, il est de nouveau à Paris prendant les événements de 1848, alarmé par l'état de santé d'Harriet Smithson qui est paralysée (elle meurt en 1854).

Le 2 décembre 1852, son Te Deum est joué pour le sacre de Napoléon III.

Dans les années 1850, grâce à sa positon à la cour de Weimar, Liszt popularise la musique de Berlioz en Allemagne, particulièrement en organisant une « semaine Berlioz » en 1852 au cours de laquelle on produit Benvenuto Cellini (modifié en 4 actes pour public allemand), Roméo et Juliette, et deux parties de La damnation de Faust (qui sera dédicacée à Liszt, et ce dernier dédicacera en 1854 sa Symphonie Faust à Berlioz). Ses relations avec Liszt le poussent à poursuivre dans le grand opéra, avec les Les Troyens en 1858.

La mort de son père en octobre 1854, lui apporte par héritage quelque aisance financière. Il épouse Marie Recio.

Il dirige la création de sa trilogie L'enfance du Christ, sur ses propres textes, le 10 décembre 1854 à Paris (Le songe d'Hérode, La fuite en Égypte, L'arrivée à Saïs).

Au Théâtre municipal de Baden-Baden, il dirige la création de son opéra-comique Béatrice et Bénédict, le 9 août 1862.

4 novembre 1863, la seconde partie des des Troyens est créée au Théâtre-Lyrique, à Paris (la première intégrale esr donné à Londres en 1969).

En 1865, 1 200 exemplaires de ses Mémoires révisées, sont stockés au Conservatoire ou distribués à quelques amis intimes. Elles sont destinées à être rendues publiques après sa mort.

Après avoir été officier dans la marine de Guerre, son fils, Louis, capitaine au long cours, meurt de la fièvre jaune à La Havane en 1867.

Berlioz est enterré au Cimetière de Montmartre à Paris.

Berlioz

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Catalogue des œuvres

Holoman D. Kern et Minnick Jonathan, Catalogue of the Works of Hector Berlioz. Deuxième édition, dématérialisée, 2018, revision mars 2021 (Bärenreiter-Verlag, Kassel 1987) [+ Version PDF]

Hector berliozSymphonie fantastique, premier thème (l'idée fixe)

Hector berlioz Symphonie fantastique, second thème

Hector berliozHarold en Italie, ouverture

 

Benvenuto Cellini, ouvertureBenvenuto Cellini, ouverture

Carnaval romainCarnaval romain, ouverture, thème (cor anglais)

Écrits

Berlioz


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Bibliographie

Correspondance

Discographie

Hector Berlioz,Hector Berlioz, Enregistrements inoubliables, Beecham, Martinon, Monteux, Münch, Scherchen, coffret de 11 volumes, Cascavelle 2019 (VEL 1590)

[+...] Lire une présentation détaillée

 

 

Hector Berlioz, RequiemHector Berlioz, Requiem. Orchestre National de l'Opéra de Paris, Choeurs de la Radiodiffusion Télévision Française, Dir des choeurs René Alix, Ténor, Jean Giraudeau, Direction, Hermann Scherchen. Disque Ades 14.085 (2 cédéroms), 1968 / 1986.

 

 

Béatrice et BénédictHector Berlioz, Béatrice et Bénédict, opéra-comique, livret d'Hector Berlioz, d'après Beaucoup de bruit pour rien de William Shakespeare. London Symphony Orchestra, John Alldis Choir, Colin Davis dir..
Christiane Eda-Pierre, soprano ; Janet Baker, mezzo-soprano ; Helen Watts, contralto ; Robert Tear, tenor ; Thomas Allen, baryton ; Jules Bastin, Basse ; Robert Lloyd, basss ; Richard Van Allan, récitant.
Enregistré à Londres en 1977, Philips, 416 952 (2 volumes)

Disque 1

  1. Overture, Acte 1
  2. Acte 1 - Le More est en fuite!
  3. Acte 1 - Je vais le voir
  4. Acte 1 - Comment le dédain pourrait-il mourir?
  5. Acte 1 - Me marier! Dieu me pardonne!
  6. Acte 1 - Mourez, tendres époux!
  7. Acte 1 - Ah! Je vais l'aimer!
  8. Acte 1 - Vous soupirez madame. . . Nuit paisible at sereine
  9. Entr'acte
  10. Acte 2 - Le vin de Syracuse
  11. Acte 2 - Dieu! Que viens-je d'entendre?

Disque 2

  1. Acte 2 - Je vais d'un coeur aimant
  2. Acte 2 - Viens! viens de l'hyménée
  3. Acte 2 - Dieu qui guidas nos bras
  4. Acte 2 - L'amour est un flambeau

Berlioz, Béatrice et BénédictHector Berlioz, Béatrice et Bénédict, opéra-comique, lLivret de'ector Berlioz d'après Beaucoup de bruit pour rien de William Shakespeare. Opéra de Lyon, John Nelson, dir.
Susan Graham, Sylvia Mc Nair, Catjerine Robbin, Gilles Cachemaille, Gabriel Bacquier, Vincent Le Texier, Philippe Magnant.
Enregistré en mars 1991, ERATO 2292-45773 (2 volumes)

Disque 1

  1. Overture, Acte 1
  2. Le More est en fuite!
  3. Enfin cette guerre est treminée
  4. Choeur : Le more est en fuite
  5. Sicilienne
  6. Air : Je vais le voir
  7. Recevez mes félicitations général
  8. Comment le dédain pourrait-il mourir ?
  9. Ma fille suivez moi !
  10. Me marier ? Dieu me pardonne !
  11. Je vous quitte Messieurs. Vous me convertirez ?
  12. Mourez, tendres époux!
  13. Ah ! Mon Dieu vous me beuglez cet épithalame
  14. Épithalame grotesque : Mourrez tendres époux
  15. Comment ? Mourrez ?
  16. Ah! Je vais l'aimer!
  17. Voici la belle Hero
  18. Vous soupirez madame. . . Nuit paisible et sereine

Disque 2

  1. Entracte, Sicilienne
  2. Acte 2 - Du vin ! Du vin
  3. Improvisation et chanson à boire
  4. Dieu ! Que vins-je d'entendre ?
  5. Qu'as-tu donc Béatrice ,
  6. n° 11 Trio : Je vais d'un coeur aimant
  7. On nous attend cher Ursule
  8. Choeur lointain : Viens! viens de l'hyménée
  9. Ciel !
  10. Marche nuptiale
  11. Tout est-il prêt ?
  12. n° 14 Enseigne : Ici on voit Bénédict l'homme marié
  13. n° 15 : L'amour est un flambeau

 

Berlioz, Messe Solennelle.Hector Berlioz, Messe Solennelle. Orchestre révolutionnaire et romantique, Monteverdi Choir, John Eliot Gardiner dir.

Donna Brown, soprano ; Jean-Luc Viala, Ténor ; Gilles Cachemaille Basse.
Enregistré le 3 octobre 1993, Cathédrale de Westminster, Disque Philips 442 137.

  1. Introduction
  2. Kyrie
  3. Gloria
  4. Gratias
  5. Quoniam
  6. Credo
  7. Incarnatus
  8. Crucifixus
  9. Resurrexit (original)
  10. Motet pour l'Offertoire
  11. Sanctus
  12. O salutaris
  13. Agnus Dei
  14. Domine, salvum
  15. Resurrexit (révisé)

 

La damnation de Faust. Hector Berlioz, La damnation de Faust. Texte de Hector Berlioz, Almire Gandonnières, Gérard de Nerval, London Symphonie Orchestra, Colin Davis dir., London Symphony Orchestra Chorus, Ambrosian Singers, Wansworth School Boys'Choir.

Faust, Nicolai Gedda, Méphistophélès, Jules Bastin, Marguerite, Joesphine Veasey, Brander, Richerd Van allan, Voix Célests, Gillian Knight.

Enregistré en 1973, Disque Philips 416 396 / 39

Disque 1

  1. Le vieil hiver
  2. Les bergers quittent leurs troupeaux...Mais d'un éclat guerrier
  3. Marche hongroise
  4. Sans regrets j'ai quitté les riantes campagnes
  5. Christ vient de ressusciter!
  6. Hélas! doux chants du ciel
  7. Ô pure émotion!
  8. A boire encor!
  9. Certain rat, dans une cuisine...Amen
  10. Vrai Dieu, messieurs
  11. Une puce gentile
  12. Assez! fuyons ces lieux
  13. Voici des roses
  14. Dors! heureux Faust
  15. Ballet des Sylphes
  16. Margarita!
  17. Villes entourées
  18. Prélude: La retraite
  19. Merci, doux crépuscule!

Disque 2

  1. Je l'entends!
  2. Que l'air est étouffant!
  3. Autrefois un roi de Thulé
  4. Esprits des flammes inconstantes
  5. Menuet des Follets...Maintenant chantons à cette belle
  6. Devant la maison
  7. Grands dieux!...Ange adoré
  8. Allons, il est trop tard!...Je connais donc enfin
  9. D'amour l'ardente flamme
  10. Au son des trompettes
  11. Nature immense
  12. A la voûte azurée
  13. Dans mon choeur retentit sa voix
  14. Has! Irimiru Karabrao!...Tradioun merxil
  15. Alors, l'Enfer se tut
  16. Laus! Laus!...Remonte au ciel, âme naïve

 

Benvenuto CelliniHector Berlioz, Benvenuto Cellini
Opéra comique Livret de Léon Wailly et Auguste Barbier, d'après les mémoires de Benvenuto Cellini (1500-1571, composé en 1837, révisé deux fois en 1852, création à l'Opéra de Paris le 10 septembre 1838.

BBC Symphony Orchestra, Chorus of the Royal Opera House Covent Graden, Colin Davis dir.
Enregistré à LOndres en 1972, Philips, 416 956 / 957 / 958, 3 volumes

 

Les TroyensHector Berlioz, Les Troyens
Livret de Berlioz d'après Virgile, Orchestra and Chorus of the Royal Opera House, Couvent Garden, Colin Davis dir.
Enregistré à LOndres en 1969, Philips, 416 432, , 4 volumes

Jon Vickers, Enée, Joséphine Veasey, Didon, Berit Lindholm, Cassandre, Peter Glossop, Chorèbe.

Disque 1

  1. Ha! ha! Après dix ans
  2. Les Grecs ont disparu...Malheureux Roi!...Chorèbe...C'est Lui!
  3. Reviens à toi, vierge adorée!...Pauvre âme égarée!
  4. Dieux protecteurs de la ville éternelle
  5. Combat de ceste - Pas de lutteurs
  6. Andromaque et son fils!
  7. Du peuple et des soldats
  8. Châtiment effroyable!
  9. Que la déesse nous protège...A cet object sacré formez cortège
  10. Non, je ne verrai pas la déplorable fête
  11. De mes sens éperdus...

Disque 2

  1. Introduction orchestrale...O lumière de Troie!...Ah!...fuis, fils de V énus
  2. Quelle espérance encor est permise...Le salut des vaincus est de n'enp lus attendre
  3. Ah! puissante Cybèle
  4. Tous ne périront pas...O digne soeur d'Hector
  5. Complices de sa gloire...Le trésor! le trésor!
  6. De Carthage les cieux
  7. Gloire à Didon
  8. Nous avons vu finir sept ans à peine...Chers Tyriens
  9. Entrée des constructeurs
  10. Entrée des matelots
  11. Entrée des laboureurs
  12. Peuple! tous les hinneurs...Gloire à Didon
  13. Les chants joyeux...Sa voix fait naître dans mon sein
  14. Echappés à grand peine...Errante sur les mers.
  15. J'éprouve une soudaine et vive impatience
  16. Auguste reine, un peuple errant et malheureux
  17. J'ose à peine annoncer la terrible nouvelle!...Annonce à nos Troyensl 'entreprise nouvelle...Des armes! des armes!

Disque 3

  1. Chasse royale et orage - Pantomime
  2. Dites, Narbal, qui cause vos alarmes?
  3. De quels revers menaces-tu Carthage...Vaine terreur
  4. Marche pour l'entrée de la reine
  5. Pas des Almées
  6. Danse des Esclaves
  7. Pas d'Esclaves nubiennes
  8. Assez, ma soeur...O blonde Cérès
  9. Pardonne, Iopas...O pudeur! Tous conspire
  10. Mais bannissons ces tristes souvenirs...Tout n'est que paix et charme
  11. Nuit d'ivresse et d'extase infinie!

Disque 4

  1. Vallon sonore
  2. Préparez tout, il faut partir enfin...Chaque jour voit grandir la colère des dieux
  3. Par Bacchus! ils sont fous avec leur Italie!...
  4. Inutiles regrets!...Ah! quand viendra l'instant des suprêmes adieux
  5. Enée!...
  6. Debout, Troyens, éveillez-vous, alerte!...Alerte!...entendez-vouz, amis, la voix d'Enée?
  7. Errante sur tes pas...Italie!
  8. Va, ma soeur, l'implorer
  9. En mer, voyez! six vaisseaux!...Dieux immortels! il part!...
  10. Ah! Ah! Je vais mourir...
  11. Adieu, fière cité
  12. Dieux de l'oubli, dieux du Ténare...S'il faut enfin qu'Enée aborde en Italie
  13. Pluton...semble m'être procipe...
  14. Ah! au secours! au secours! la reine s'est frappée

 

L'Enfance du ChristHector Berlioz, L'Enfance du Christ
London Symphonie Orchestra, Jophn Alldis Choir, Colin Davis dir.
Enregistré en 1971, Philips, 416 949, 2 volumes

  1. Disque 1
  2. Dans la crêche, en ce temps, Jésus venait de naître
  3. Marche nocturne
  4. Qui Vient ?
  5. Toujours ce rêve ! . . .   misère des rois !
  6. Seigneur !
  7. Les sages de Judée
  8. Évolutions cabalistiques
  9. La voix dit vrai, Seigneur
  10. Eh bien, par le fer qu'ils périssent !
  11. Mon cher fils, donne cette herbe tendre
  12. Joseph! Marie ! Écoutez-nous

Disque 2

  1. Ouverture
  2. Il s'en va loin la terre
  3. Le repos de la Sainte Famille...  Les pélerins  étant venus
  4. Depuis trois jours, malgré  l'ardeur du vent
  5. Dans cette ville immense
  6. Entrez, entrez, pauvres Hébreux ! . . . Grands dieux ! Quelle détresse
  7. Les Ismaëlites se dispersent
  8. Sur vos traits fatigués
  9. Trio pour deux flûtes et harpe : Allegro moderato - Andante espressivo
  10. ... Allegro vivo
  11. ... Andante
  12. Vous pleurez, jeune mère
  13. Lento . . . Ce fut ainsi que par un infidèle
  14. mon  âme, pour toi que reste-t-il   faire

 

Harold En ItalieHector Berlioz, Harold En Italie (op 16)
Radio-Sinfonie Orchester, Frankfurt, Yuri Bashmet, violon, Eliahu Inba, dir.
Enregistré en 1988l, Denon 73207

  1. Harold aux montagnes. Scenes de mélancolie, de bonheur, et de joie
  2. Marche des pélerins chantant la prière du soir
  3. Sérénade d'un montagnard des Abruzzes a sa maîtresse
  4. Orgie de brigands. Souvenirs des scènes précédentes

 

Harold en ItalieHector Berlioz, Harold en Italie, Transcription pour piano et alto par Franz Liszt, Jean-François Heisser, Bruno Pasquier
Harmonia Mundi 901246, 1988

  1. Harold aux montagnes. Scènes de mélancolie, de bonheur, et de joie
  2. Marche des pélerins chantant la prière du soir
  3. Sérénade d'un montagnard des Abruzzes a sa maîtresse
  4. Orgie de brigands. Souvenirs des scènes précédentes

Symphonie FantastiqueHector Berlioz, Symphonie Fantastique opus 14 (Épisode de la vie d'un artiste), Tristia
The Cleveland Orchestra & Chorus, (Chorus Master: Gareth Morrell), PIERRE BOULEZ, dir
Deutsche Grammophon, 1997

Symphonie Fantastique

  1. Rêveries-Passions - Largo-Allegro agitato e appassionato assai
  2.  Un bal  - 
  3. Scène aux champs - Adagio
  4. Marche au supplice - Allegretto non troppo
  5. Songe d'une nuit du Sabbat -  Larghetto - Allegro - Dies irae - Ronde du Sabbat -

Tristia op. 18

Jean-Marc Warszawski
Révision  12 janvier 2008
Révision 23 juin 2016
Révision 13 août 2017
© Musicologie.org


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Lundi 6 Février, 2023