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Hahn Reynaldo
1874-1947

Reynaldo Hahn Reynaldo Hahn par Frederico de Madrazo.

Tu aimes la musique par dessus tout et je regrette de tout mon cœur de n'être pas comme toi. Il y a bien des choses que j'aime tout  autant... J'aime l'art dans son ensemble, dans la vision de tous les arts réunis... [...] Je n'ai jamais ressenti [...] une émotion intérieure en écoutant une œuvre symphonique [...] même de Beethoven, même de Mozart. Je ne suis ému qu'au théâtre, ou lorsqu'il y a des paroles. [...] devant une oeuvre instrumentale je n'éprouve que de l'admiration, mai je ne m'y mêle pas. Une phrase musicale me charme et me ravit mais ne m'émeut jamais : il n'y a que les sentiments qui m'émeuvent.

Reynaldo Hahn au pianiste Édouard Rissler

Reynaldo Hahn

Chanson d'avril (Bizet / Bouilhet). Reynaldo Hahn, s'accompagnant au piano (Columbia D 2021, 1928)

Né à Caracas, le 9 août 1875 ;  mort à Paris le 28 janvier 1947.

Sa mère est issue d'une famille espagnole installée au Vénézuela depuis le xviiie siècle, son père, Carlos Hahn, commerçant, né àHambourg a immigré jeune au Vénézuela. La famille vit dans une grande aisance.

Reynaldo est le plus jeune de 12 enfant, il a trois ou quatre ans quand ses parents s'installent à Paris en 1878, 6 rue du Cirque.

En 1883, il publie chez Delanchy à Paris L'inspiration, une valse pour le piano.

Il entre au Conservatoire en octobre 1885. Il suit les classes de Grandjany pour le solfège, de Descombes pour le piano, puis à partir de 1887, celles de Théodore Dubois et de Lavignac pour l'harmonie, de Massenet, comme élève privé, pour la composition.

Il obtient une troisième médaille de piano en 1888. Il effectue plusieurs voyages en Allemagne en 1889. Il obtient une première médaille de solfège au Conservatoire en 1890.

Il compose des chansons dont certaines deviennent célèbres, et crée chez Alphonse Daudet son cycle Chansons grises sur les poèmes de Verlaine (composition entre 1887et 1890), en présence du poète (avec la soprano Sybil Anderson). Baryton léger, il s'accompagnait au piano.

En 1891, il obtient le 1er accessit en harmonie au Conservatoire dans la classe de Lavignac.

Massenet lui déconseille de se présenter au Prix de Rome : étranger et fortuné, ses camarades auraient sentiment qu'il prend leur place, mais il l'introduit dans le monde musical.

Au printemps 1894 il fait la connaissance de Marcel Proust. Il ont une liaison amoureuse qui dure juqu'en 1896, mais l'amitié et l'intimité les liera jusqu'à la mort de Proust en 1922.

Reynaldo Hahn (...) la tête légèrement renversée en arrière, la bouche mélancolique, un peu dédaigneuse, laissant s'échapper le flot rythmé de la voix la plus belle, la plus triste et la plus chaude qui ne fut jamais, cet « instrument de musique de génie » qui s'appelle Reynaldo Hahn étreint tous les cœurs, mouille tous les yeux, dans le frisson d'admiration qu'il propage au loin et qui nous fait trembler, nous courbe tous l'un après l'autre, dans une silencieuse et solennelle ondulation des blés sous le vent.

Marcel Proust, La cour aux lilas et l'atelier aux roses : le salon de Mme Madeleine Lemaire.

En 1895, Heugel publie une collection de 20 chansons qui le rendent populaire. À la suite de cette publication, Pierre  Loti  lui demande d'adapter pour l'opéra sont récit autobiographique Le mariage de Loti, qui est créé en mars 1898 sous le titre de L'île du Rêve, à l'Opéra-Comique de Paris.

En 1896 il fait la connaissance de Sarah Bernard.

Après le décès de son père en 1897, il s'installe avec sa mère rue Alfred de Vigny à Paris.

Reynaldo Hahn

En 1898, il fait la connaissance de Catulle Mendès,chez la princesse Mathilde. Il séjourne à Aix-la-Chapelle (Aachen en Allemagne).

En 1899 il est critique musical au journal « La Presse »,de 1904 à 1905 au journal « La Flèche ».

L'échec public de son opéra La Carmélite en 1902, le conduit, jusqu'à la fin de la première guerre mondiale à abandonner la musique de scène.

Avec Marcel Proust et Sarah Bernhardt, ses amisintimes, il prend la défense de Dreyfus, victime de l'antisémitisme, et ses représentations publiques furent souvent troublées par desprovocateurs, même après 1906 quand fut reconnue l'innocence de Dreyfus.Cette même année, il dirige Don Juan à Salzbourg et séjourne à Munich.

De 1908-1910, il est critique musical à « Foemina ».

Il est naturalisé français en 1912, la même année samère décède. Il effectue son service militaire en 1913. Mobilisé le 2 août 1914, il est envoyé à Melun et demande à être muté au front en qualité d'interprète. L'armée anglaise refuse son service. Il est caporal le 17 avril 1917 puis sergent au 31e régiment d'infanterie, puis à la 10e division d'infanterie. Il est nommé pendant 6 mois au chiffre au ministère de la guerre l'année suivante. Il a deux citations et la Croix de Guerre. Au front il compose un cycle de cinq chansons sur des poèmes de Robert Louis Stevenson et esquisse son opéra inspiré du Marchand de Venise de Shakespeare.

Reynaldo Hahn en 1916 Reynaldo Hahn en répétition en 1916, la cigarette au coin des lèvres,comme Proust le décrit.

Je ne pourrai jamais souscrire à l'exclusivité patriotique. J'ai vécu en Allemagne, en Angleterre, en Italie, en Russie, ailleurs encore. Ici, et là, ailleurs, j'ai aimé, souffert, travaillé, pensé. J'y ai vu et entendu des choses admirables et je ne peux, du jour au lendemain, brûler ce que j'ai encensé. Que l'on combatte l'Allemagne avec toutes les forces possibles — ce que, d'ailleurs, on ne fait pas — c'est un devoir. Mais qu'on la raille, qu'on la bafoue, qu'on oublie sa grandeur intellectuelle et les services qu'elle a rendus au monde, c'est indigne et cela me répugne, parce que la liberté de l'esprit est la seule dont un homme puisse être vraiment fier. Si, demain, nous devenions les ennemis des Anglais, je n'en aimerais pas moins Dickens et Shakespeare. Mais nous sommes conduits aux abîmes par des gens qui ont juré d'aller jusqu'au bout, tout en restant dans leur fauteuil ! Quel mal aura fait le très loyal, le très estimable, le très nigaud Déroulède : honnête homme, exécrable poète, patriote maladroit et néfaste, il a traversé la vie comme un grand enfant sage, recueillant le fruit de ses sonneries, non de clairon, mais de cornet à piston, mort avant d'avoir vu le résultat de ses gambades tricolores !

Reynaldo Hahn pendant la guerre, après la 20 janvier 1914. Dans GAVOTY BERNARD, Reynaldo Hahn, le musicien de la belle époque.  Dans « Musique », Paris, Buchet-Chastel 1976, p. 235.

Reynaldo Hahn en 1916Reynaldo Hahn dans le grenier d'Auzéville en 1916.

Il a créé à Paris Don Giovanni (qu'il a aussi dirigé à Salzbourg) et la Flûte enchantée de Mozart. En hiver 1919 il dirige l'Opéra du Casino de Cannes. Il participe à l'édition monumentale des œuvres de Jean-Philippe Rameau. En 1923  son opérette Ciboulette connaît un très grand succès.

Il est critique musical à l'« Excelsior » de 1919 à 1921. En 1920, à la création de l'École Normale de Musique à Paris par Alfred Cortot, il est nommé professeur d'interprétation du chant. En 1921 il prépare un livre sur Sarah Bernhard.

En 1924, il est promu Officier de la Légion d'honneur

En 1925, il compose la musique de Mozart, une comédie musicale (livret de Guitry avec Yvonne Printemps son épouse dans le rôle-titre).

Il compose à la fin des années 20 son œuvre orchestrale la plus connue, le concerto pour piano, qui est créé par Magda Tagliaferro puis enregistré avec Hahn à la direction de l'orchestre.

Magda Tagliaferro et Reynaldo Hahn.

Film de 1932.

Il collabore une seconde fois en 1933 avec Sacha Guitrypour O mon bel inconnu. La même année, on filme son opérette Ciboulette. Il est ciritique musical au journal « Le Figaro »

En 1936, il est membre du Conseil supérieur de la radio

Reynaldo Hahn, concerto pour piano en mi majeur. Magda Tagliaferro (piano), direction Reynaldo Hahn. Enregistrement de 1937. 1. Improvisation, 2. Danse, 3. Rêverie, Toccata et Finale.

Pendant le régime fasciste de Vichy (1940-1944), sa musique est interdite, et il doit se cacher. Il s'installe en 1940 dans le Midi avec Guy Ferrand. De 1941 à 1942 il est à Cannes (zone libre).

En 1942, la reprise de Ciboulette au théâtre Marigny à Paris est interdite par les autorités sous prétexte d'antécédents familiaux juifs. Il engage des démarches pour prouver son ascendance aryenne. Il s'installe à Monte-Carlo, et effectue une tourné en « zone libre » avec Ninon Vallin.

En 1945, il est directeur de l'Opéra de Paris où il fait redécouvrir les œuvres de Méhul. Le 26 mars il est élu àl'Institut.

Reynaldo Hahn Reynaldo Hahn par Lucie Lambert (1907).

Etrait de REYNALDO HAHN, L'oreille au guet. Gallimard, Paris 1937. p. 211-213

L'ARDOISE DE BECKMESSER

CHEFS-D'ŒUVRE. - Si, par chef-d'œuvre, on entend unouvrage qui, fût-il inégal, déborde de génie, ou même un ouvrage moins génial où le talent se manifeste fréquemment, un ouvrage capital qui résume ou affirme la personnalité d'un grand artiste, mettant en lumièreses qualités particulières et ses défauts caractéristiques, mais où, enfin, la beauté l'emporte, il y a beaucoup de chefs-d'œuvre.

Par contre, si, en qualifiant un ouvrage dechef-d'oeuvre, on veut indiquer qu'il est parfait, achevé, que la critique n'y peut rien trouver à redire, — la critique objective, bien entendu, celle qui ne se réclame que de la raison, — alors, il y a très peu dechefs-d'œuvre ; oui, vraiment très peu. En outre, ce genre de chefs-d'œuvre est souvent méconnu par la foule, parce qu'il implique chez l'auteur des sacrifices qui privent son ouvrage de ces choses qui forcent le succès traits saillants, formules frappantes, morceaux bien déterminés qui alertent l'attention, se gravent dans le souvenir et finissent par situer l'ouvrage dans l'appréciation générale.

Car le souci de la perfection, de l'équilibre, des nuances, des valeurs, du fini dans le détail, impose à la fois un soin qui, presque toujours, entrave les élans et cette suprême distinction qui répudie ce qui est « voyant », qui réprouve ce qui est disproportionné, qui blâme tout effet obtenu au détriment du goût et de la vérité. Ce qui revient à dire que cette conception du chef-d'œuvre est difficilement compatible avec la réussite populaire.

On peut cependant citer des exceptions, comme, parexemple, Les Noces de Figaro, où, à part certaine petite vocalise (bien charmante pourtant) de Suzanne, le critique le plus pointilleux peut difficilement trouver quelque chose, même d'infime, à critiquer. On peut citer également l'Orphée de Gluck, si, toutefois, on n'épilogue pas trop sur le premier chœur des Enfers qui, à mon humble avis, n'est pas digne des sublimités qui le précèdent et le suivent. La surprise et les menaces des ombres ténébreuses s'expriment, ce me semble, bien sagement et sur un rythme bien régulier (au détriment de la prosodie, du moins dans la version française.) Quant à « l'affreux hurlement de Cerbère écumant », il n'a jamais, je pense, fait peur à personne...

Par contre, Don Juan et La Flûte enchantée, ces prodiges, appartiennent plutôt à la catégorie de chefs-d'œuvre que j'ai mentionnée tout d'abord, ainsi que les quatre autres chefs-d'œuvre de Gluck — avec cette distinction, pourtant, qu' Iphigénie en Tauride est bien plus proche de la perfection que les trois autres. Iphigénie en Aulide, Alceste et Armide, malgré les fulgurations qui les illuminent, offrent au Beckmesser le moins hargneux bien des prétextes à coups de craie, quand ce ne serait, dans Alceste, que l'air « Divinités du Styx », réputé lui-même un chef-d'œuvre et souvent proposé comme un modèle parfait de musique dramatique.

Les quatre premières mesures de la ritournelle ont dela grandeur et le commencement de l'air est magnifique, avec brusque interruption qui sépare l'apostrophe : « Divinités du Styx » et ces mots : « Ministres de la Mort », prononcés avec effroi. Mais on ne comprend guère l'arrêt prolongé sur de. Oui, pourquoi « Ministres DE... la Mort » ? Voilà la questionque Beckmesser croirait pouvoir poser aigrement au chevalier Gluck... La phrase qui suit est d'un mouvement superbe : « Je n'invoquerai point votre pitié cruelle ! » Mais la réplique de l'orchestre est bien lourde, bien pataude : pan pan pan ! - pan pan pan ! « Je n'invoquerai point... » répète Alceste ; et l'orchestre reprend, un peu plus haut : pan, pan pan ! pan pan pan ! Et Alceste recommence, plus haut également : « Je n'invoquerai point... » Cette montée en arpège sur la même harmonie soulignant les mêmes paroles veut peut-être indiquer l'obstination inébranlable de l'héroïne ; mais n'est-elle pas un peu puérile et surtout bien monotone ? Enfin, Alceste termine sa phrase : « Votre pitié cruelle ! » sur un si bémol aigu, ce qui est d'un bel effet vocal, mais, si l'on y réfléchit, d'un accent bien arbitraire. Puis elle répète, en retombant sur l'octave inférieure : « Votre pitié cruelle ! » ce qui, musicalement, est une conclusion ferme, mais ce qui, pour le simple bon sens, est franchement inexplicable. Voici, en effet, le compte de ce qu'Alceste a proféré dans sa fière harangue : « Divinités du Styx, Divinités du Styx,Ministres de la Mort, je n'invoquerai point votre pitié cruelle. Je n'invoquerai point... Je n'invoquerai point... votre pitié cruelle! Votre pitié cruelle ! » Avouons-le, si Beckmesser signalait rageusement comme absurde la répétition de ces trois derniers mots, il n'aurait pas tout à fait tort. Car on pourrait à la rigueur comprendre qu'Alceste répétât toute sa phrase (mon Dieu, une fois de plus ou de moins...) : «Je n'invoquerai point votre pitié cruelle ! » Mais larépétition des trois seuls  derniers mots ne peut se justifier d'aucune façon.

Ce qui suit est d'une expression profondément touchante. Mais quand Alceste recommence par deux fois « Divinités du Styx », et s'interrompt à nouveau pour ajouter d'un ton lugubre : « Ministre DE- la Mort ! », on est tenté de trouver qu'elle abuse... Les mesures suivantes sont adorables, d'une tendresse ou d'une douceur infinies. Il est regrettable que l'exclamation : « Une vertu si naturelle ! » ne soit pas marquée par un arrêt, par une harmonie, par je ne sais quoi, enfin, qui la détache des paroles suivantes.

Je sais bien qu'à toutes ces chicanes on pourrait répondre que le texte primitif d'Alceste était en italien et que, dès lors, elles ne comptent pas ; mais c'est dans le texte français que le morceau est admiré, prôné, cité comme modèle. De plus, on s'étonne que Gluck, en révisant la version française du bailli Du Rollet, ne se soit pas montré plus exigeant en ce qui concerne ces divers passages.

Continuons. Que dire du presto : « Je sens une forcenouvelle, etc. », avec ses pan pan pan à l'orchestre et son dessin vocalde coupe symétrique, périodique et qui se présente quatre fois identiquement, deux fois en la, deux fois en si bémol, allant ainsi bien correctement de la dominante à la tonique et revenant ensuite à ladominante - savez-vous pourquoi ? pour permettre à Alceste de recommencert oute la première partie de l'air, depuis « Divinités du Styx » jusqu'à « Votre pitié cruelle ». Si, après cela, les dieux infernaux n'ont pascompris qu'elle « n'invoquerait point leur pitié cruelle », c'est vraiment qu'ils n'y mettent pas de bonne volonté !


rectangle textes


Catalogue des œuvres

Une soirée chez Madeleine Lemaire.

Écrits

Bibliographie

Discographie

Reynaldo HahnReynaldo Hahn, Le bal de Béatrice d'Este, Concerto, provençal, Sérénade, Divertissement pour une fête de nuit. Ensemble Initium, Orchestre des Pays de Savoie, Nicolas Chalvin (direction). Timpani 2015 (1C1231).

Lire la présentation par Jean-Marc Warszawski

 

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Songs by Reynaldo Hahn
Felicity Lott
Susan Bickley
Ian Bostridge
Stephen Varcoe
Graham Johnson
Graham Johnson, piano
Chris Gould, piano
Hypérion CDA67142 (2 disques) 1996 

Disque 1 : Si mes vers avaient des ailes (Hugo) ; Paysage (Theuriet) ; Rêverie (Hugo) ; Offrande (Verlaine) ; Mai (Coppée) ; Infidelité (Gautier) ; Seule (Gautier) ; Les Cygnes (Renaud) ; Nocturne (Lahor) ; Trois jours de vendange (Daudet) ; D'une prison (Verlaine) ; Séraphine (Heine) ; L'heure exquise (Verlaine) ; Fêtes galantes (Verlaine) ; DOUZE RONDELS : Le Jour (De Banville) ; Je me metz en vostre mercy (D'Orléans) ; Le Printemps (De Banville) ; L'Air (De Banville) ; La Paix (De Banville) ; Gardez le trait de la fenêtre (D'Orléans) ; La Pêche (De Banville) ; Quand je fus pris au pavillon (D'Orléans) ; Les Etoiles (De Banville) ; L'Automne (De Banville) ; La Nuit (De Banville). Disque 2 :  Le souvenir d'avoir chanté (Mendès) ; Quand la nuit n'est pas étoilée (Hugo) ; Le plus beau présent (Magre) ; Sur l'eau (Prud'homme) ; Le rossignol des lilas (Dauphin) ; A Chloris (De Viau) ; Ma jeunesse (Vacaresco) ; Puisque j'ai mis ma lèvre ... (Hugo) ; ETUDES LATINES (De Lisle) : Lydie Néère Salinum Thaliarque ; Lydé ; Vile potabis ; Tyndaris Pholoé Phidylé Phyllis ; La Nymphe de la Source (anonymous) ; Au rossignol (De Saix) ; Je me souviens (De Saix) ; Air de la lettre ; from `Mozart' (Guitry) ; C'est très vilain d'être infidèle [de '0h mon bel inconnu] (Guitry) ; C'est sa banlieue Y a des arbres ... (de Ciboulette (De Flers, De Croisset) ; Nous avons fait un beau voyage (de Ciboulette) ; La Dernière Valse [de Une Revue] (Donnay, Duvemois)

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Reynaldi Hahn
Quintette pour quatuor à cordes et piano en fa mineur
Quatuor à cordes en la mineur
Quatuor à cordes en fa majeur
Quatuor Parisii
Alexandre Tharaud, piano
Naïve / Auvidis 1999 V4848

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Reynaldo Hahn
Mélodies

Mady Mesplé
Dalton Baldwin, piano 

EMI  CDC 7 49840 1989

 

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Reynaldo hahn
Intégrale de l'œuvre pour 2 pianos (1)

Huesyin Sermet, piano
Kun Woo Paik, piano

Valois / Audivis V 4658

01-03. Tros préludes sur des airs irlandais - 04-11. Sept berceuses - 12. Caprice mélancolique - 13. Pour bersce un convalescent - 14-25. Le ruban dénoué.

Enregistré à l'auditorium Maurice Ravel en juin 1991.

Reynaldo Hahn avec le docteur Robert Proust, le frère de Marcel Proust.

Jean-Marc Waszawski
31 mars 2003
révision 5 mai 2003
révision 3-12 avril 2005
Révision 20 juillet 2011
Remis en page, révision de l'iconographie et des exemples sonores, 3 septembre 2016.
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Dimanche 11 Février, 2024