Music, Contexts and Performances in Ethiopia : Continuity, Transformations, Revolutions ?
Dans le cadre de la 18e International Conference on Ethiopian Studies, qui aura lieu à Dire Dawa (Ethiopie) du 29 octobre au 2 Novembre 2012, un panel sur le thème "Music, Contexts and Performances in Ethiopia: Continuity, Transformations, Revolutions ?" est organisé (texte de présentation ci-dessous) :
The introduction of recording technology and the major socio-political changes that occurred since the end of the 19th century in Ethiopia have deeply impacted the musical practices, redesigning the musical scene in urban non-religious contexts mostly. However, some repertoires seem to be relatively less modified. As the start of in-depth scientific studies and wide-scale recordings of Ethiopian music dates back about half a century (mostly focusing on Amhara music, but also on Hamer, Tigrinia, Dorze, etc.),
it is now possible, for the first time, to integrate a substantiated short-term historical dimension to the ethnomusicological endeavour. From an emic point of view, the historical dimension can also be considered as important, as the past and the tradition (or the innovation) is a reference framework for a musical performances participants in which musicians and audience position themselves.
From patrimonialization to modernization, from focalization on identity to recontextualization, from traditionalism to technicalization, this panel will address music in Ethiopia with regard to the historical processes into which these musical repertoires and practices are being integrated, including both emic and etic points of view. Methodological approaches as well as results are to be discussed, in order to encourage collaborative work, multidisciplinary perspective, and fruitful discussion of theoretical
positions. Contributions on other aspects of performance such as dance fitting with the description of this panel, will also be considered."
La date limite d'envoi des résumés des propositions (en anglais, 400-500 mots) est fixée au 15 mars 2012.
Dianne Reeves, Herbie Hancock, Wayne Shorter, Chick Corea, Brad Mehldau à Pleyel
Dianne Reeves ouvre demain un cycle exceptionnel de concerts de musique de jazz à la salle Pleyel à Paris, où durant lequel on pourra entendre Herbie Hancock, Wayne Shorter, Chick Corea, Brad Mehldau.
Dianne Reeves est passée par le rythm'n blues et la disco, puis a été attirée par les musiques brésiliennes tout en restant très blues.
Herbie Hancock, Chick Corea, Wayne Shorter, ont joué avec Miles Davis. Puis Hanckok s'est distingué à la tête des Headhunters, alors que shorter était l'éminence grise entre deux titans du mythique Weather Report.
Maxime Le Forestier invité d'honneur des 25e Nuits de Champagne à Troyes
Les 25e Nuits de Champagne, du 28 octobre au 3 novembre, rendent un hommage à Maxime Le Forestier, dans une programmation mêlant chansons françaises et chant choral.
Maxime Le Forestier, de retour aux Nuits après 18 ans, a participé à la programmation du festival en invitant ses amis.
Dimanche, 700 élèves de 22 collèges du département ont interprété les titres les plus célèbres de Maxime Le Forestier, Mon frère, Passer ma route, San Francisco, alors qu'aujourd'hui Alain Souchon sera sur scène.
Puis on entendra Hubert-Félix Thiéfaine, Camille, Juliette, Orelsan, Brigitte, Barcella, 77 Bombay street, Shaka Ponk, Stuck in The Sound.
Des concerts gratuits sont organisés dans six bars du centre ville de Troyes tout au long du festival.
Le « Grand Choral » de 800 amateurs, venus pour certains d'autres pays francophones, commencera dès lundi les répétitions pour préparer les trois concerts de clôture du 2 et 3 novembre, avec une vingtaine de titres réharmonisés dont la plupart en duo avec Maxime Le Forestier.
Un « Simon Boccanegra » puissant et équilibré ouvre la saison lyrique à l'Opéra de Nice, par Jean-Luc Vannier
Année Giuseppe Verdi oblige avec, en 2013, le bicentenaire de la
naissance du compositeur italien, l'Opéra de Nice ouvrait mercredi 24
octobre sa saison lyrique avec la première de Simon Boccanegra.
En attendant le lever de rideau, le mélomane pouvait également
découvrir à cette occasion le foyer entièrement rénové de
l'établissement de la rue Saint-François-de-Paule : finies les attentes
interminables pour accéder à l'unique bar dans ce qui ressemblait à un
hall de gare désertique. Plusieurs buffets du restaurant « Le Grand
Balcon », sont désormais disséminés ici et là entre des petits salons
aux fauteuils d'un rouge si vif qu'on les imaginerait aisément occupés
par quelques cocotes emplumées du xixe siècle.