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Actualités musicales

lundi 21 octobre 2013

 

Women and the American Musical Landscape

 

21-25 octobre 2013, Tedlands

Call for Papers

The Third Frederick Loewe Symposium on American Music at the University of Redlands

 

Featuring: Joan Tower (Asher B. Edelman Professor in the Arts, Bard College), Composer in Residence Denise Von Glahn (Director of the Center for Music of the Americas, Florida State University), Scholar in Residence

Deadline: June 30, 2013

This year we welcome proposals on the role of women's voices in the creation and performance of American music. Rather than return to issues of representation, we seek to discuss how women musicians and the concept of gender have shaped American musical culture. What might we consider musical feminism given that women­as creators, performers, and "skillful listeners"­take part in diverse discourses, from environmentalism, to race, ethnicity, and class, to personal and/or national identity? In exploring this and other questions we particularly encourage proposals that consider musical process: collaboration, performance, and listening, as well as composition.

In addition to paper presentations (October 24 and 25), the panelists selected will also be integrated into a seminar-style discussion based on readings from Denise Von Glahn's _Music and the Skillful Listener: American Women Compose the Natural World_ (IUP, 2013) and conversation with Joan Tower.

Abstracts should be approximately 250 words. Please send your abstract, contact information, and required technology to Katherine_Baber at redlands.edu by June 30, 2013.

Program Committee:
Katherine Baber (University of Redlands)
Anthony Suter (University of Redlands)
Denise Von Glahn (Florida State University)

Notifications will be sent no later than July 15, 2013

Information on the 2013 and prior symposia can be found at the School of Music website : https://www.redlands.edu/academics/school-of-music/loewe-symposium.asp

Feuilleton. Le voyage au Castenet (4) : L'auteur conspire à Madrid

Épisode précédent

L'idée de commettre un acte délictueux ne m'avait jamais encore effleuré. Ou plutôt, j'avais toujours pensé qu'il n'était pas nécessaire d'entreprendre quoi que ce soit pour enfreindre la loi, car outre le fait que celle-ci doit réguler au mieux la vie sociale, elle doit encore faire peser sur chacun un sentiment de culpabilité sans lequel aucun pouvoir ne pourrait perdurer. On ne peut montrer le droit chemin qu'aux égarés, il faut donc égarer les autres pour régner soi-même
[+...] Lire la suite de cet épisode .

 

À suivre ...

Sonates pour clavecin ou pianoforte (Beck, Eckart, Méhul, Rigel)

 

Sonates pour clavecin ou pianoforte

Sonates pour clavecin ou pianoforte (1). Beck, Eckart, Méhul, Rigel (éditées par Louis Castelain). « Instrument seul », Centre de musique baroque de Versailles 2013 (CAH 200) [44 p. ; ISMM 979-0-56016-200-3 ; 26 €]

Présentation de l'éditeur ——

Ce volume rassemble quatre sonates pour clavecin ou pianoforte publiées entre 1764 et 1783, composées par des auteurs français ou étrangers ayant vécu et exercé en France durant une partie signifi cative de leur carrière. Destinées tantôt au seul clavecin, tantôt au clavecin et au pianoforte indifféremment, elles peuvent aujourd'hui se jouer sur l'un ou l'autre de ces deux instruments dans la perspective d'une interprétation historique, ou sur piano moderne dans le cadre d'une sensibilisation pédagogique aux répertoires anciens.

Le 8 septembre 1768 marque une date essentielle dans l'histoire du pianoforte en France. Le public du Concert spirituel entendit pour la première fois le pianoforte dans la salle des Cent suisses aux Tuileries. L'évènement est d'autant plus important que le Concert spirituel ne programma a priori jamais de clavecin seul ; l'impossibilité de confronter le faible volume sonore de l'instrument à une si vaste salle en était sans doute la cause. Et, bien que le pianoforte joué ce jour là par Mademoiselle Lechantre ne devait pas sonner plus fort qu'un clavecin, l'attrait de la nouveauté et surtout l'attente du public durent convaincre les organisateurs d'une telle programmation

Toutefois, en 1768 le pianoforte n'était déjà plus une nouveauté. Dès les années 1750 des facteurs parisiens vendaient des instruments en provenance d'Angleterre. En outre, l'arrivée à Paris de compositeurs d'origine germanique, avaitdéjà été l'occasion d'un renouveau dans les œuvres pour clavier. Parmi eux, Johann Gottfried Eckard écrit en 1763 ces lignes révélatrices dans l'avertissement de son opus 1 : « J'ai tâché de rendre cet ouvrage d'une utilité commune au clavecin, au clavicorde et au forté et piano. C'est par cette raison que je me suis cru obligé de marquer aussi souvent les doux et les fort, ce qui eût été inutile si je n'avais eu que le clavecin en vue. » Deux de ses compatriotes suivront le même chemin et publieront des sonates en France : Henri-Joseph Rigel à Paris, et Franz Beck à Bordeaux.

À partir de 1770, les parutions d'opus de sonates destinées tant au pianoforte qu'au clavecin, avec ou sans accompagnement — ad libitum ou obligé — de violon, se multiplient jusqu'à la Révolution, favorisées par le dynamisme de l'édition musicale parisienne et l'attente du public, amateur de nouveautés.

Concert donné à Louis XIII par les vingt-quatre violons et les douze hautbois

 

Concert donné à Louis XIV

Concert donné à Louis XIII par les vingt-quatre violons et les douze hautbois (édité par Thomas Leconte. « Orchestre », Centre de Musique baroque de Versailles 2013 (CAH 246) [matériel d'orchestre disponible, 37 p. ; ISMM 979-0-56016-246-1 ; 18,60 €]

Quinze pièces notées à cinq parties :

1. Les Ombres ; 2. 2e Air pour les mesmes ; 3. Charivaris pour les hautbois ; 4. Gavotte ensuitte ; 5. Autre charivaris de la St Julien ; 6. 2e Air ensuitte ; 7. Les Suisses. Air pour les viollons ; 8. Les Suissesses ; 9. Les Gascons ; 10.  Mr de Liancourt ; 11. Les Vallets de la faiste ; 12. Les Nimphes de la Grenouillère ; 13. Les Bergers ; 14. Gaillarde pour les hautbois ; 15. Les Amériquains.

Présentation del'éditeur ——

Ce volume propose une œuvre emblématique du répertoire de deux grandes entités de la Musique du roi, les Vingt-quatre Violons de la Chambre et les Douze Hautbois de l'Écurie, pour l'un des événements protocolaires les plus importants de l'année : la fête de la Saint-Louis, saint patron du royaume de France et, à partir du règne de Louis xiii (1610 -1643), du roi lui-même. Donner « aubade » au roi lors de cette fête, célébrée le 25 août, constitua en effet, de l'avènement de Louis xiii à la fin de l'Ancien Régime, l'une des principales prérogatives des Violons de la Chambre et des Hautbois de l'Écurie. Copié en 1690, à l'apogée du règne de Louis xiv, ce Concert donné à Louis xiii pour la Saint-Louis, unique témoin du genre pour le premier xviie siècle, constitue ainsi un précieux témoignage de musique de cérémonie pour la cour de France.

Le Concert donné à Louis xiii est conservé dans une unique source, provenant de l'ancien fonds du Conservatoire de Paris aujourd'hui déposé au département de la Musique de la Bibliothèque nationale de France.

Paul Izaret, succède à Claude Sales à la présidence de la Fondation Laborie.

 

Paul IzaretPaul Izaret. Photographie © J.-M. Péricat.

 

Le Conseil d'administration de la Fondation La Borie-en-Limousin qui s'est réuni mercredi 16 octobre, a élu son nouveau Président à l'unanimité. Paul Izaret succède à Claude Sales, quant à lui nommé Président d'honneur.

Lors de ce Conseil d'administration Paul Izaret a souligné la bonne santé financière de la Fondation, comme le bilan comptable validé au 31 août 2013 le montre.

Avec plus de 18 000 entrées depuis le 1er Juin 2013, les Jardins sonores de La Borie se sont vus félicités. La nouvelle Présidence maintient le souhait de développer cet espace touristique et de l'améliorer, ravi du succès de cette première année mais aussi conscient que l'année inaugurale n'est qu'une étape dans le développement de ce site culturel et touristique.

Enfin, maintenir voire renforcer les secteurs d'activités du lieu de création musical est un enjeu essentiel pour Paul Izaret et son équipe : les métiers et actions liées à la filière Musique et Arts sonores devront continuer d'être une mission fondamentale pour La Borie et son enjeu de développement territorial.

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