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dimanche 12 avril 2015

 

Le Quatuor à cordes dans ses extrêmes

Journée d'étude

Jeudi 23 avril 2015, Lyon

Concours International de Musique de Chambre de Lyon, Université Lumière Lyon 2

Le Concours International de Musique de Chambre de Lyon (C. I. M. C. L.) a lieu cette année à l'Université Lumière Lyon 2 (Grand amphi du Campus des quais du Rhône, 18 quai Claude Bernard, 69007 Lyon) du 23 au 26 avril, il est consacré au quatuor à cordes.

Ce concours sera ouvert par une Journée d'études musicologiques, qui portera sur « Le quatuor à cordes dans ses extrêmes ».

Pour d'autres informations, rendez-vous sur le site de l'Université Lyon 2 et sur celui du Concours international de musique de chjambre de Lyon

melanie.guerimand@univ-lyon2.fr; muriel.joubert@univ-lyon2.fr ; Denis.Le-Touze@univ-lyon2.fr

Programme

8h30 : Prologue des étudiants de L3 autour du quatuor à cordes après 1945 : Four de John Cage par Ancelin Bonnet et Harold Harson ; Sept Aphorismes de Sergio Menozzi par Alexandre Robin ; Quatuor à cordes n° 2 de Kagel par Leslie Disdier et Vera Potapova ; Gran torso de Lachenmann par Johan Bonnaillie et Loïc Fangeat.

9h30 : Accueil et introduction

Modérateur : Denis Le Touzé

10h : Denis Le Touzé, (Passages XX-XXI, université Lyon 2) « l'Andante du quatuor à cordes opus 121 de Gabriel Fauré : idéal ultime d'une pensée unitaire »

On peut s'étonner de voir le nom de Gabriel Fauré, homme de mesure et de modération, associé à une réflexion sur la thématique de l'extrême. À première vue, son quatuor à cordes opus 121 n'est une « œuvre extrême » qu'en tant que, achevé peu avant sa mort, il constitue le dernier jalon de son parcours créatif. Cependant, sachant en quelle haute estime le compositeur tenait ce genre du quatuor à cordes réputé difficile, nous avons acquis la conviction, conforté par l'écoute, que ce quatuor, par sa profondeur méditative, porte au plus haut point les développements ultimes de sa pensée compositionnelle. Une analyse de l'Andante nous permettra d'en explorer plusieurs facettes (le charme, la monotonie, la mouvance, la permanence…) et d'en découvrir l'extrême intensité expressive.

Maître de conférences à l'université Lumière-Lyon 2, Denis Le Touzé enseigne et poursuit des recherches dans les domaines de l'écriture et de l'analyse musicale. Intervenant régulier dans les journées d'étude du C. I. M. C. L., il a travaillé entre autres sur les compositeurs suivants : Schubert, Debussy, Webern, Ligeti, Janáček, Gade.

10h30 : Frédéric Gonin, « D'un extrême à l'autre : l'esthétique du sublime ou de la dérision dans les quatuors à cordes de Haydn »

Le quatuor à cordes fut chez Haydn un medium de réflexion sans commune mesure. Au cœur de la démarche de ce compositeur, l'idéal d'unité apporte un éclairage essentiel sur deux facettes à la fois opposées et complémentaires de sa démarche artistique :

1. La quête du sublime, particulièrement sensible dans les mouvements lents fondés sur la variation perpétuelle d'éléments mélodiques brefs et unifiés ;

2. La dérision, qui intervient lorsque Haydn, avec esprit et humour, réduit à l'insignifiant l'élément unique de l'élaboration musicale.

Mus par ce souci commun d'unité, sublime et dérision finissent par fusionner dans un même geste compositionnel, offrant à l'auditeur cultivé une expérience esthétique aussi singulière qu'intemporelle.

Professeur agrégé d'Éducation musicale, Frédéric Gonin est docteur ès Lettres et Arts pour une thèse consacrée à l'écriture de la fugue chez Haydn et Mozart, Habilité à Diriger des Recherches, et diplômé du C. N. S. M. de Lyon (Écriture). Ses recherches sont axées autour de l'analyse et la définition des processus créateurs qui ont stimulé les compositeurs (notamment au XVIIIe siècle). Elles ont fait l'objet d'une trentaine d'articles publiés dans les principales revues de musicologie françaises, d'une dizaine de reconstitutions d'œuvres inachevées de Mozart (Editions Notissimo) et de cinq ouvrages : Manuel d'analyse harmonique et tonale (De plein vent, 2002), Exercices progressifs et créatifs d'écriture tonale (Symétrie, 2006), Processus créateurs et musique tonale (L'Harmattan, 2008), Quatre regards sur les quatuors à cordes de Haydn (Delatour France, 2012) et Joseph Haydn (Actes sud, 2014).

11h : Bernard Fournier, « Les derniers quatuors de Beethoven, une écriture de l'extrême »

En ayant recours seulement aux possibilités instrumentales du quatuor, aux seules ressources du travail de l'écriture, aux forces disruptives du langage et à une conception aventureuse de l'architecture, Beethoven se montre par excellence le compositeur de l'extrême : il fait surgir dans un lieu propre à l'expression de l'intime des forces océaniques ou des forces chtoniennes qui conduisent l'imaginaire à se mouvoir dans des paysages impensables par leur démesure, leur qualité visionnaire, leur puissance d'anticipation. Ces œuvres permettent d'écouter l'infime et le gigantesque, ce dernier l'étant d'autant plus que les moyens sont plus limités. Elles sont des musiques de l'événement où se produisent non seulement l'inattendu et le bouleversant, mais l'inouï, l'improbable, l'impensable sans que soit modifiée la nature propre du quatuor. Celui qui sait écouter et voir se trouve conduit aux confins des territoires musicaux, aux limites des promontoires les plus avancés, qu'aucune expérience de quatuor recourant à des moyens extérieurs à lui-même n'a jamais pu atteindre aussi pleinement.

Ingénieur de formation, auteur d'une thèse d'État sur Beethoven et la modernité (Paris 1993), Bernard Fournier a publié chez Fayard cinq ouvrages sur le quatuor à cordes (1999, 2000, 2004, 2010, 1014), son esthétique, son histoire et un panorama. Il s'intéresse particulièrement aux problèmes de forme et d'architecture des œuvres ainsi qu'à la conduite du discours, aux transformations qu'elle opère et aux événements qui la traversent. Il cherche à établir un lien entre les signes portés par l'écriture et l'expression, voire à en dégager un horizon de sens.

11h30 : Intervention de Sergio Menozzi (autour des Sept aphorismes pour quatuor à cordes, commande du C. I. M. C. L.)

On définit l'aphorisme littéraire comme une formule brève qui résume l'essentiel d'une pensée. C'est ce que j'ai essayé de réaliser avec mes « aphorismes musicaux ». Une idée des plus élémentaires, un geste musical des plus simples, suffisent à donner vie à un mouvement très court qui les exploite.

Bien que les mouvements soient différents par leur caractère, des éléments qui les composent sont souvent communs ; telle cellule présente ne serait-ce que fugitivement dans une pièce peut se voir développée dans une autre. Ainsi j'espère obtenir une cohérence pour que soit perceptible une forme globale malgré la brièveté des pièces composant le tout.

Bien qu'il s'agisse d'une musique écrite pour un concours, j'ai volontairement négligé la dimension de la virtuosité instrumentale. La difficulté d'exécution tient à la cohésion de l'ensemble de chambre, conçu comme une entité, pas comme quatre individualités. La complicité, la confiance, l'attente, la sensibilité commune, sont primordiales pour une parfaite réussite de cette œuvre qui laisse une grande liberté à l'interprète, la notation n'étant jamais « métrique », mais nécessitant la maîtrise de la mise en espace temporel, qui dépend de facteurs non définissables une fois pour toutes.

Né en 1960 à Bellinzona (Suisse), Sergio Menozzi étudie la clarinette au Conservatoire supérieur de Genève où il obtient, en 1983, un premier prix de virtuosité.Il est actuellement clarinette basse solo de l'orchestre de l'Opéra National de Lyon et professeur de musique de chambre au Conservatoire national nupérieur de musique de Lyon. Il fait également partie d'ensembles de musique de chambre qui se penchent sur une approche créative de l'interprétation, en étroite relation avec l'écriture. En tant que compositeur, il a écrit des œuvres de musique de chambre, instrumentales, vocales, symphoniques et des opéras.

12h : Pause Déjeuner

Modérateur : Muriel Joubert

14h : Léo Larbi (EA 1572 « Esthétique, musicologie, danse et création musicale », université Paris VIII), « La division composée : approche de trois quatuors à cordes d'Elliott Carter »

Dans ses quatuors à cordes, Elliott Carter (1908-2012) a cherché avant tout à mettre en tension, à bousculer, voire à briser l'unité présupposée des membres. En effet, chacun de ses quatuors propose, à travers une écriture contrapuntique complexe, une redistribution des rôles traditionnellement attribués aux quatre instrumentistes, poussant l'équilibre caractéristique du genre vers d'inédites limites. Ainsi, il s'agira dans cette communication d'expliciter certaines modalités esthétiques et compositionnelles de cette mise en crise de la « recherche de l'unité » à travers trois quatuors d'Elliott Carter : le Deuxième Quatuor à cordes (1959), le Troisième Quatuor à cordes (1971) et le Cinquième Quatuor à cordes (1995).

Léo Larbi a réalisé deux mémoires de Master à l'université Paris 8 Saint-Denis – Vincennes, intitulés, pour le premier, Devenirs et événements musicaux dans le Second Quatuor à cordes d'Elliott Carter et, pour le deuxième, Les échos du labyrinthe, étude du Second Quatuor à cordes de Brian Ferneyhough. Il est actuellement doctorant contractuel dans la même université et prépare une thèse, depuis octobre 2012, sous la direction de M. Jean-Paul Olive, intitulée Elliott Carter et Brian Ferneyhough : Le figural confronté au temps musical.

14h30 : Bruno Moysan (université de Versailles Saint Quentin en Yvelines), « Les Quatuors de François Meïmoun ou le risque de l'extrême »

François Meïmoun, né en 1979, est bien connu des musicologues pour avoir publié chez Aedam une étude remarquée sur le jeune Pierre Boulez. François Meïmoun en est déjà à son quatrième quatuor ce qui montre incontestablement un intérêt pour le genre. Loin de le traiter d'une manière néo-classique ou dans une attitude de retour à, plus ou moins ludique ou bricolée de type post-moderne, François Meïmoun violente le genre en y concentrant les éléments indiscutablement modernistes mais tendant vers l'explosion et la déflagration. Cette esthétique propre à François Meïmoun où se condense impatience, révolte et goût pour les situations extrêmes est indissociable d'un certain nombre de références non-musicales qui, elles aussi, côtoient les extrêmes de la violence ou de la faillite de l'intelligibilité : Antonin Artaud et Jackson Pollock notamment. L'objet de cette communication sera donc de présenter brièvement les quatre quatuors de François Meïmoun en mettant l'accent sur la réinterprétation-réécriture de l'héritage boulezien, ainsi que des références monumentalisées propres à la tradition du quatuor à cordes, en expressionnisme extrémiste.

Bruno Moysan, agrégé et docteur en musicologie, a enseigné les relations musique et politique à Sciences Po Paris (1998-2010) et au C. N. S. M. D. P. (2007-2009), le journalisme musical et les médias à Paris 8 – Saint-Denis (2011-2013). Il enseigne actuellement les relations musique et société à l'université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines. Membre du C. H. C. S. C. de l'U. V. S. Q. et membre-collaborateur de l'O. I. C. R. M. de l'université de Montréal, ses recherches portent sur Liszt et Chopin, la musique de piano romantique, les procédés de réécriture en art spécialement au XIXe siècle ainsi que sur les relations musique et politique dans les démocraties occidentales modernes et libérales.

15h : Olivier Class (Labex GREAM, université de Strasbourg), « Le Quatuor I (2005/6) de Christophe Bertrand (1981-2010) »

Le Quatuor I de Christophe Bertrand mérite un intérêt certain de par sa situation dans le parcours du compositeur. L'œuvre consiste en une suite de 11 miniatures, chacune n'excédant pas plus de deux minutes. C'est un véritable laboratoire d'expérimentations de techniques d'écriture (principalement autour du canon, mais aussi les micro-intervalles, le timbre, la virtuosité), qui seront exploitées dans des pièces ultérieures. La juxtaposition de ces miniatures pose la question de la forme d'ensemble. S'agit-il d'une sorte de recueil d'études enchaînées pour quatuor à corde, ou peut-on trouver un travail d'organisation plus conséquent quant à la macrostructure de l'œuvre ?

Flûtiste et musicologue, Olivier Class est le co-fondateur de l'Ensemble In Extremis et de L'Enveloppe, lettre d'information et d'analyse de musique contemporaine. Il a soutenu en 2006 une thèse dirigée par Pierre Michel à l'université Marc Bloch de Strasbourg : « Présence et impact des nouvelles technologies sur la composition d'opéras depuis 1945 ». En 2007, il obtient le second prix du premier concours d'écriture de la revue franco-suisse Dissonance. Il est membre du GREAM depuis 2011. Il travaille actuellement à l'édition des écrits de Jean-Claude Risset (dont un premier volume, Composer le son – Repères d'une exploration du monde sonore numérique est paru en 2014 aux éditions Hermann) et a réalisé un enregistrement monographique consacré au compositeur Christophe Bertrand (label Motus, à paraître en 2015).

15h30 : Pause

Modérateur : Mélanie Guérimand

16h : Roseline Kassap-Riefenstahl, « Les Quatuors avec voix de Raymond Murray Schafer »

Depuis l'introduction de la voix dans le Deuxième quatuor de Schœnberg, les compositeurs n'ont cessé de s'interroger sur la définition du quatuor et un nouveau répertoire, fort aujourd'hui de plus de sept cents œuvres pour quatuor à cordes avec voix, est né. Il s'agit d'un répertoire extrêmement varié, qui présente une très grande diversité de réalisation dans la manière d'intégrer la voix humaine au quatuor à cordes. S'il est rare que plus d'un quatuor au sein de la production d'un même compositeur requière la voix, le cas du Canadien Raymond Murray Schafer fait exception : sur ses douze quatuors, formant un véritable cycle dans lequel les œuvres sont reliées entre elles par des rappels scéniques et motiviques, cinq d'entre eux font appel à la voix humaine, auxquels il faut ajouter l'opéra de chambre Beauty and the Beast. Mais chaque fois, Schafer choisit une disposition différente, jouant sans cesse, parfois en trompe-l'œil, avec les limites et la définition du genre.

Docteure en musicologie et germaniste, Roseline Kassap-Riefenstahl a enseigné à l'université d'Oldenburg, ville dans laquelle elle a aussi été directrice artistique de plusieurs séries de concerts. Elle est co-auteur des volumes II et III de L'Histoire du quatuor à cordes (Fayard) et auteur de Francis Planté (1839-1934) – Un siècle de piano (Atelier des Brisants). Elle travaille actuellement à un ouvrage sur les quatuors à cordes avec voix.

16h30 : Amal Guermazi (IReMus, université Paris-Sorbonne), « La théâtralité dans le jeu de l'ensemble Le Quatuor »

Cette étude se propose d'analyser la prestation du groupe Le Quatuor, d'en dégager la théâtralité déjà existante dans ses recherches sonores puis de dresser le lien avec une théâtralisation qui n'est que le fruit d'une extension du musical/sonore. Ces recherches sonores semblent englober deux enjeux principaux : d'une part, on distingue la recherche d'un son nouveau qu'on désigne par « action instrumentale » (ceci englobe les recherches autour des timbres et des nouvelles techniques pour de nouveaux modes de jeu) ; d'autre part, on distingue le rôle grandissant de l'interprète qu'on désigne par « action humaine » (ceci s'oriente vers l'étude du musicien comme source sonore).

Suite à l'interaction entre l'aspect sonore et la dimension visuelle, gestuelle ou corporelle liée au « pur » jeu instrumental, on essaie de mettre en évidence une échappée théâtrale. L'adaptation théâtrale du jeu du Quatuor s'inscrit ainsi dans une continuité de ce qui précède et puise ainsi ses sources dans le musical à travers les connotations musicales et extra-musicales de la musique.

Amal Guermazi est doctorante en Musicologie à l'université Paris 4-Sorbonne. Elle a obtenu une Licence et un Master de recherche en Musicologie à l'université Paris 4-Sorbonne. Elle est titulaire du diplôme de Musique arabe du Conservatoire national de musique et de danse (Tunisie). Actuellement, elle est violoniste et professeur de formation musicale et d'éducation musicale à l'académie de Versailles.

Les inscriptions au Prix Pro Musicis 2015 sont ouvertes

Le prochain prix international Pro Musicis sera décerné la dernière semaine d'octobre 2015 à l'issue d'un concours qui se déroulera à Paris devant un jury d'instrumentistes et compositeurs de renommée internationale présidé par Alain Pâris.

Il s'adresse à de jeunes instrumentistes et chanteurs en cours de carrière qui souhaitent consacrer une partie de leurs activités à des "publics oubliés" dans le cadre des « concerts de partage » organisés par Pro Musicis. Chaque Lauréat (ou ensemble Lauréat) recevra une somme de (mille) 1000 € et se verra en outre offrir un concert rémunéré dans le cadre de la saison parisienne Pro Musicis, salle Cortot, auquel s'ajouteront deux concerts de partage à titre gracieux pour des publics défavorisés.

Date limite de candidature: 15 Juin 2015. Les candidats admis à concourir seront avertis au plus tard le 04/09/2015. La date exacte du concours leur sera communiquée à cette occasion.

Age limite: être né à partir du 1er Janvier 1981.

Détail des disciplines et dossiers d'inscription à consulter ou télécharger sur Pro Musicis - Le Partage de la Musique

Informations à prixpromusicis@orange.fr

Pro Musicis
72 Quai Louis Blériot
75016 Paris

2e édition du Festival Mélusine de la commanderie de Saulce

Pour la seconde annnée et quelques concerts de plus, la Commanderie du Saulce à Escolives-Sainte-Camille, dans Yonne, ouvre à nouveau ses portes et ses salons.

 

Dimanche 19 Avril à 15 h
Sérénade Russe
Quatuor Élysée
Tchaïkovski, Borodine, Rachmaninov.

Samedi 6 Juin à 20H
Frédéric Couraillon
Récital piano
Chopin, Beethoven

Festival Mélusine

Vendredi 7 Août à 20 h
Duo Arya
Agnès Graziano (piano), Dania El Zein (soprano)
Folies des grandeurs et visions fantaisistes.

Samedi 8 Août à 20 h
Éric Astoul
Récital piano
Schubert, Schumann, Chabrier, Sibelius, Liszt.

Dimanche 9 Août à 15 h
Promenade à travers un jardin musical
Cordelia Palm (violon), Éric Astoul (piano)
Mozart, Brahms, Sibelius, Suk, Ravel.

 

 

Château du Saulce, 89290 Escolives-Sainte-Camille, https://www.commanderiedusaulce.com, Contact: bertrandderoubaix@hotmail.com, Tel : 06 85 93 38 73 ; 15 €, réduit: 7,5 € pour les moins de 18 ans et les habitants d'Escolives.

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Lundi 13 Avril, 2015 1:53

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