______________________________ Graciane
Finzi, Et nous le monde, en podcast à France Musiques.
Ce drame lyrique pour récitants,
chœur et 17 instrumentistes sur un livret de Jacques Descorde, a été
écrit au cours d'échanges avec les élèves de 1ère
BAC Pro MEI (Maintenance des Equipements Industriels) du Lycée Bartholdi
de Saint-Denis dans le cadre d'un projet pédagogique en partenariat avec
le Festival de Saint-Denis.
Tout commence dans le silence,
par un texte défilant sur un écran :
L'histoire se déroule de
nos jours dans un square proche du Sacré Cœur à Paris, où
est érigée une statue à l'effigie du Chevalier de la Barre,
qui en 1766, fut victime de l'intolérance religieuse dans une affaire
où s'investirent les philosophes des Lumières au nom de la tolérance
religieuse.
Accusé d'avoir dans un premier
temps, dans la ville d'Abbeville, tailladé un crucifix puis refusé
de saluer une procession religieuse, on lui reprocha également la lecture
du Dictionnaire philosophique de Voltaire. Pour ces trois faits, il fut accusé
d'impiété et de sacrilège et condamné à subir
la question ordinaire et extraordinaire, autrement dit à être torturé,
à avoir le poing et la langue coupés, à être décapité
et brûlé avec l'exemplaire du Dictionnaire philosophique cloué
sur le torse.
Le Chevalier de la Barre avait
19 ans.
Il fut réhabilité
le 15 novembre 1793 par la Convention.
Un groupe de jeunes gens entre
dans le square, s'approche de la statue. Celle-ci s'anime et parle.
Et cela sonne ensuite d'un lyrisme
somptueux et bouleversant, qui entremêle le supplice du chevalier de la
Barre, raconté par lui-même, au quotidien de lycéens d'aujourd'hui.
L'œuvre est de bout en bout tendue, dramatique sans relâche, employant
un impressionnant déploiement de ressources dramatiques, tout en échappant
au sentiment de collage de ses 14 séquences successives. Effets de timbres,
effets mélodiques (le chœur a parfois des accents fauréens), de
clusters, effets de la déclamation, effet d'un texte fort, effets de
perspective par la présence contrastée des lycéens, qui
auraient peut-être pu tenir un rôle structurant plus important.
Et nous le monde a été
créé le 6 mai 2011 en l'Amphithéâtre X de l'Université
Paris VIII dans le cadre d'un projet pédagogique du Chœur de Radio France.
L'œuvre a été retransmise par France Musiques le 23 mai, on peut
encore l'écouter en podcast quelque temps : https://is.gd/z8TtXn
ou https://is.gd/2Cc1Uq (après
les informations !)
Jacques Descorde, récitant Yannis Bougeard, récitant Élèves du lycée Bartholdi
de Saint-Denis Chœur de Radio France Musiciens de l'Orchestre National
de France Mélanie Lévy-Thiébaut,
direction
mardi 24 mai 2011
______________________________ Jusqu'au 12 juillet à Paris
avant les francopholies à la Rochelle, Joséphine ose
De la musique, mais pas que, de
la danse, mais pas que, des larmes un peu, du rire elle en espère beaucoup
: Joséphine ose. Jusqu'au 12 juillet 2011, tus les mardis à 19h45
au Sentier des Halles à Paris. Le 13juillet, Francofolies de la Rochelle.
Reprise au Sentier des Hazlle le 13 nseptembre 2011.
mardi 24 mai 2011
______________________________ Festival Musique et Passions de
Clermont-l'Hérault : un 6e concert le 29 mai
Les « Amis des orgues de
Clermont-l'Hérault » vous convient au sixième concert du
quatrième « Festival Musiques et Passions », dimanche 29
mai 2011 à 18h.00.
Ce concert sera donné dans
l'église Saint-Paul de Clermont-l'Hérault par l'Ensemble vocal
Claire Garrone.
Au programme : Giovanni Gabrieli
: Jubilate Deo omnis terra ; Claudio Monteverdi : Laetaniae della Beata Vergine
; Crucifixus ; Hans Leo Hassler : Exsultate Deo ; Heinrich Schütz : Die
Himmel erzählen die Ehre Gottes ; Ach Herr, straf mich nicht in deinem
Zorn ; Johann Hermann Schein : Wende dich, Herr, und sei mich gnädig ;
Alessandro Scarlatti : Exsultate Deo ; Quirino Gasparini : Plangam dolorem meum
; Henry Purcell : Hear my prayer, o Lord ; Remember not, Lord, our offences
; Johann Christoph Bach : Fürchte dich nicht ; Johann Ludwig Bach : Das
ist meine Freude.
Claire Garrone a suivi une formation
de chef de chœur auprès des plus grands maîtres d´Europe.
Elle a enseigné comme professeur de chant choral au Conservatoire de
rayonnement régional de Montpellier. Après avoir assuré
la formation vocale des jeunes choristes et des jeunes solistes de chœur à
Opéra Junior, elle a enseigné « la voix » en musicothérapie
à l´université Montpellier III. Elle forme les chefs de
chœur pour participer à des festivals et à des académies
d´été. Dans la formation des choristes, elle attache une
grande importance au développement de leur autonomie.
Créé à Montpellier
en 1980, l'Ensemble vocal Claire Garrone est composé d'une trentaine
d'amateurs motivés pour explorer le répertoire infini du chant
choral. Étude de la prosodie des langues utilisées, formations
allant du grand chœur jusqu'au quatuor, travail sur la justesse, la rigueur
rythmique et sur la relation voix-mouvements. Telles sont les orientations actuelles
de Claire Garrone, dont l'exigence sollicite un véritable engagement
de chaque choriste
______________________________ La Voix est Libre, festival d'improvisation
« multiartistique »
La 8e édition du festival
La Voix est Libre propose de mardi à jeudi aux Bouffes du Nord, à
Paris, une douzaine de créations basées sur l'improvisation entre
musiciens, comédiens, danseurs, peintre, jongleur, avec un lien étroit
entre musiques et textes.
Ce festival revendiquant une grande
liberté de ton réunira notamment Bernard Lubat (batterie, chant,
piano), les contrebassistes Hélène Labarrière et Joëlle
Léandre, électrons libres du jazz avant-gardiste, le comédien
Denis Lavant et le danseur Sébastien Jacobs.
Bernard Lubat tentera de coordonner
mardi une formation hybride, composée entre autres du trompettiste Jacques
Coursil, du slameur-contrebassiste Dgiz, des danseurs Mathieu Desseigne et Antoinette
Gomis.
Leur création Débordanses
est un hommage à la prose d'Edouard Glissant, disparu en février.
L'intervention de l'écrivain martiniquais à l'ouverture du festival
en 2007 sera projetée en préambule de cette édition. Il
y affirmait qu'« une langue vit du frémissement de toutes les langues
qui la travaillent secrètement ».
Cette soirée de mardi consacrera
le lien entre musiques et textes, avec les chanteurs iranien Alireza Ghorbani
et tunisien Dorsaf Hamadani qui interpréteront les poésies du
Perse Omar Khayyam, libre penseur du 11e siècle.
Parmi les temps forts de mercredi,
Cécile Duval et Guylaine Cosseron donneront chair aux textes de l'écrivain
Charles Pennequin, qui manie l'humour noir et l'absurde.
Parmi les sept duos au programme
de la soirée de jeudi, baptisée Collisions, figure celui entre
le comédien Denis Lavant et le musicien Wilfried Wendling (électronique)
pour une performance de théâtre sonore.
mardi 24 mai 2011
______________________________ Décès du chef d'orchestre
Dietfried Bernet
Le chef d'orchestre autrichien
Dietfried Bernet, qui a notamment été chef invité à
l'Opéra royal de Copenhague, est décédé à
l'âge de 71 ans dans la nuit de dimanche à lundi, a annoncé
sa veuve à l'agence de presse autrichienne APA.
Elève des chefs d'orchestre
magyaro-autrichien Hans Swarowsky et grec Dimitri Mitropoulos, il avait commencé
sa carrière dès l'âge de 18 ans en dirigeant des concerts
dans la prestigieuse salle du Musikverein à Vienne. A 22 ans, il avait
été le lauréat du Concours international de chef d'orchestre
de Liverpool (Grande-Bretagne).
En 1974, il était devenu
Directeur général de la musique de la ville de Mayence (ouest
de l'Allemagne) et avait fait ses débuts à la baguette au prestigieux
Festival de Salzbourg, en Autriche.
De 1995 à 2000, il avait
été le chef invité de l'Opéra royal de Copenhague,
tout en étant aussi à la baguette de grands orchestres comme l'Orchestre
philharmonique de Londres, l'Orchestre philharmonique de Berlin, l'Orchestre
symphonique de Chicago ou l'Orchestre symphonique de Vienne. Il a aussi dirigé
des opéras au Covent Garden de Londres, à l'Opéra allemand
et à l'Opéra d'état à Berlin, ainsi qu'au Théâtre
San Carlo à Naples (Italie).
mardi 24 mai 2011
______________________________ Décès de Joseph
Brooks, compositeur de musique de cinéma
L'auteur-compositeur de musique
de cinéma, scénariste et réalisateur Joseph Brooks, qui
avait remporté un Oscar en 1977, est mort dimanche à New York
à l'âge de 73 ans, a annoncé la police, précisant
qu'il s'agissait apparemment d'un suicide.
Brooks était dans l'attente
de l'ouverture de son procès pour viol de femmes qu'il aurait attirées
dans son appartement prétextant des auditions. Il avait plaidé
non coupable, selon des sources judiciaires.
Un porte-parole de la police a
indiqué qu'il avait été retrouvé par un ami dans
son appartement de Manhattan vers 12h30. « Apparemment il s'agit d'un suicide
»,
a précisé ce porte-parole. Joseph Brooks se serait suicidé
avec une serviette de bain nouée autour du cou et un sac plastique sur
la tête, suspendu à un sac d'hélium, selon les enquêteurs
cités par la presse.
En 1977, Joseph Brooks avait remporté
l'Oscar de la meilleure chanson originale pour « You light up my life
»,
dans le film du même nom qu'il avait réalisé. Il avait également
remporté un Grammy pour cette chanson.
En 2009, Brooks avait plaidé
non coupable de viol et agressions sexuelles à l'encontre de 13 femmes,
selon la presse new-yorkaise. La date de son procès n'avait pas encore
été fixée.
Un de ses fils, Nicholas Brooks,
24 ans, a été inculpé il y a quelques mois de tentative
de meurtre après le décès de sa petite amie Sylvie Cachay,
une styliste de maillots de bains d'origine péruvienne retrouvée
morte à l'hôtel SoHo House en décembre. Il a plaidé
non-coupable.
mardi 24 mai 2011
______________________________ Pour ses 25 ans, le festival «
Chalon dans la rue » célèbrera l'image
Théâtre de rue, pyrotechnie,
performances en tous genres...le festival « Chalon dans la rue » (20
au 24 juillet) souffle cette année ses 25 bougies en célébrant
l'image sous toutes ses formes, ont annoncé lundi les organisateurs.
« Ce ne sont pas moins de dix
projets sur vingt qui tentent l'aventure, le pari, de mêler l'image, sous
des formes aussi plurielles que possible, à leurs écritures »,
a déclaré le directeur artistique du festival, Pedro Garcia, lors
de la présentation du programme avant d'évoquer Nicéphore
Niépce, l'inventeur de la photographie, né à Chalon-sur-Saône.
« C'est aussi un peu de l'esprit
de Niépce qui rôde. L'inventeur, l'utopiste, l'artiste, chercheur
et curieux. L'image, nous la lui devons et les artistes de cette édition
la célébrerons à leur manière », a-t-il ajouté.
La programmation de la 25e édition
fait appel à des « poids lourds des arts de la rue » qui se situent
« au plus près des préoccupations sociales » avec des
sujets tels que « les flux migratoires africains », « le glissement
de l'activité industrielle vers l'est », « l'écologie
»
ou « le témoignage d'un photo-reporter de guerre », selon les
organisateurs.
On pourra notamment admirer la
« pyrotechnie musicale » des « Commandos Percu » ou la compagnie
« Transe Express » qui avait fait l'ouverture des jeux Olympiques d'Albertville,
en 1992.
« Chalon dans la rue
»,
qui a accueilli 220.000 spectateurs en 2010, mobilisera vingt compagnies dans
le in et 159 dans le off, avec une dizaine de pays représentés
(Belgique, Espagne, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Corée, Italie,
Suède, Portugal, Grande-Bretagne). La majorité des spectacles
sont gratuits.
Depuis sa création en 1987,
cette manifestation s'est imposée comme la plus importante du genre avec
le festival d'Aurillac, en août.
mardi 24 mai 2011
______________________________ Apple se prépare à
lancer un service de comptes musicaux en ligne
Le groupe informatique Apple semble
se préparer à lancer un service de comptes musicaux en ligne,
accessible à partir d'une série d'appareils connectés,
qui pourrait à la différence de services concurrents d'Amazon
et Google bénéficier du soutien des maisons de disques.
Selon la presse et des blogs américains,
Apple pourrait présenter ce service dans deux semaines, à l'occasion
de sa conférence annuelle pour développeurs qui s'ouvre le 6 juin
à San Francisco, après avoir négocié avec au moins
trois des quatre plus grandes « majors » du disque.
L'avantage d'un tel compte musical
stocké sur les serveurs d'Apple, selon le principe de l'informatique
dématérialisée, serait d'éviter aux internautes
d'avoir à synchroniser leurs tablettes ou baladeurs avec le disque dur
d'un ordinateur, toute leur collection musicale étant désormais
accessible en ligne.
Apple se lancerait sur ce terrain
à la suite d'Amazon et de Google.
Le distributeur en ligne Amazon
a déjà lancé fin mars ses services « Cloud Drive
»
et « Cloud Player » qui permettent à des abonnés de stocker
leurs collections musicale et vidéo sur les serveurs d'Amazon, d'où
elle est accessible sur ordinateur ou sur des appareils fonctionnant sous le
système Android de Google.
Google s'est lui même lancé
sur le créneau au début du mois avec son service « Google
Music », qui permet aux internautes de gérer en ligne leur collection
musicale, pour la jouer sur ordinateur, sur téléphone ou sur tablette.
Google Music, lancé en version
bêta et sur invitation, n'est toutefois pas un service de vente, seulement
un service de gestion de collection, et suppose que les internautes chargent
sur le service leur collection préexistante.
Le service d'Apple s'annonce plus
complet, notamment grâce à l'existence d'iTunes, la boutique en
ligne qui a fait d'Apple un des plus grands disquaires du monde, avec plus de
200 millions de clients et plus de dix milliards de morceaux vendus depuis 2003.
En outre Apple aurait déjà
conclu des accords avec EMI, Sony et Warner Music Group, tandis que des négociations
se poursuivraient avec Universal, pour le nouveau service d'écoute en
ligne: ces accords permettraient aux internautes d'avoir immédiatement
accès en ligne à leur collection iTunes, selon le New York Times.
« Avec ces accords, Apple aura
le dessus sur la musique en ligne, bien qu'il soit le dernier à se lancer
»,
résumait MG Siegler sur le blog d'informations spécialisées
TechCrunch.
« Apple va sans doute être
en mesure de faire quelque chose d'essentiel pour que décolle la musique
en ligne: proposer une synchronisation (automatique) de la collection (existante)
sans qu'il soit besoin d'effectuer de chargement », ajoutait M. Siegler.
Le New York Times estimait quant
à lui que ce service musical pourrait être intégré
au service sur abonnement MobileMe, qui permet aux propriétaires d'ordinateurs
Macintosh d'accéder à des dossiers stockés sur les serveurs
d'Apple.
Apple pourrait aussi reprendre
des caractéristiques du défunt site Lala, qu'il a acheté
en décembre 2009, et qui permettait de stocker des collections musicales
en ligne.
mardi 24 mai 2011
______________________________ Les films de la semaine
« Infiltration », tourné
près de Jérusalem, montre des jeunes Israéliens de tous
les milieux qui doivent apprendre à faire la guerre. Le jeune Brésilien
Tambourine de « Play a song for me » est confronté à d'étranges
souvenirs, les trois adolescentes de « Rêves volés » vivant
dans une favela rêvent d'un monde meilleur, « Senna » retrace
la vie du coureur automobile alors que les héros de « Very bad trip
2 » partent, eux, pour un voyage exotique en Thaïlande.
« Le complexe du castor
»
(The Beaver), de Jodie Foster avec Jodie Foster, Mel Gibson (1h30, Etats-Unis)
- Déprimé, Walter incarné par Mel Gibson s'éloigne
de sa famille jusqu'à ce que sa femme le chasse de la maison. Il s'accroche
alors à la marionnette d'un castor qui devient un autre lui-même
mais dont il ne peut plus se passer.
« La défense Lincoln
»
(The Lincoln Lawyer), de Brad Furman avec Matthew McConaughey, Ryan Philippe,
William H. Macy (1h58, Etats-Unis) - Adapté du roman éponyme de
Michael Connelly, « La défense Lincoln » est l'histoire d'un
avocat de Los Angeles, interprété par Matthew McConaughey,
qui a passé sa vie à défendre des dealers et des chauffeurs,
avant de se voir confier la défense d'un playboy accusé d'avoir
violé et défiguré une femme.
« Infiltration » (Hitganvut
yechidim), de Dover Kosashvili avec Gay Adler, Oz Zehavi (1h56, Israël)
- Six ans après son dernier long métrage, le réalisateur
israélien adapte au cinéma un roman de Yeoshua Kenaz écrit
en 1896. De jeunes recrues israéliennes, aussi diverses que les composantes
de la diaspora juive, vivent ensemble pendant trois mois de l'été
1955, dans une base du désert du Néguev. Le film a été
tourné près de Jérusalem.
« Play a song for me
»
(Os famosos e os duendes de morte), de Esmir Filho avec Henrique Filho (1h41,
France - Brésil) - Tambourine, qui habite une petite ville brésilienne,
est un adolescent fanatique de Bob Dylan. Il ne communique avec le monde extérieur
que via internet jusqu'à ce que des mystérieux personnages le
plongent dans un monde au-delà du réel.
« Rêves volés
»
(Sonhos Roubados), de Sandra Werneck avec Nanda Costa, Amamda Diniz (1h30, Brésil)
- Trois adolescentes qui vivent dans une favela de Rio de Janeiro se prostituent
occasionnellement en rêvant à un monde meilleur.
« Senna », de Asif Kapadia,
documentaire (1h44) - Recourant à des images inédites extraites
des archives de la Formule 1, ce film documentaire relate la vie du pilote mythique
Ayrton Senna depuis la saison 1984 jusqu'à sa mort dix ans plus tard.
« Very bad trip 2 » (The
Hangover Part 2), de Todd Philips avec Bradley Cooper, Zach Galifianakis (1h40,
Etats-Unis) - Phil, Stou, Doug et Alan partent pour un voyage exotique en Thaïlande
à l'occasion du mariage de Stu. Les choses ne se passent pas comme prévu.